Miroir, Miroir, et Journal Intime/Marc Ducret à Perpignan
Depuis que le nouveau et magnifique théâtre de l’Archipel-Le Carré a ouvert a Perpignan, les gens sortent, ils vont au théâtre, à la danse, au spectacle, au jazz, et tant mieux si ce dernier se présente sous la forme d’un duo entre un pianiste et une trapéziste face à un miroir, puis sous les aspects d’un trio de cuivres en dialogue avec un guitariste tout à fait électrisé et électrisant. Car il ne suffit pas d’ouvrir des lieux à grands frais, encore faut-il mettre à leur tête des opérateurs ayant un vrai projet de diffusion et de formation des publics, là où la plupart se contentent de donner en pâture aux clients ce qu’ils sont supposés attendre parce qu’ils ont vu ça à la télé ou lu la chose dans Télérama. Ben oui, ça commence…
« Miroir, Miroir », Mélissa Von Vepy (trapèze), Stephan Oliva (p)
« Extension des feux », Journal Intime invite Marc Ducret, Frédéric Gastard (bass-s), Matthias Mahler (tb), Sylvain Bardiau (tp), Marc Ducret (el-g)
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Depuis que le nouveau et magnifique théâtre de l’Archipel-Le Carré a ouvert a Perpignan, les gens sortent, ils vont au théâtre, à la danse, au spectacle, au jazz, et tant mieux si ce dernier se présente sous la forme d’un duo entre un pianiste et une trapéziste face à un miroir, puis sous les aspects d’un trio de cuivres en dialogue avec un guitariste tout à fait électrisé et électrisant. Car il ne suffit pas d’ouvrir des lieux à grands frais, encore faut-il mettre à leur tête des opérateurs ayant un vrai projet de diffusion et de formation des publics, là où la plupart se contentent de donner en pâture aux clients ce qu’ils sont supposés attendre parce qu’ils ont vu ça à la télé ou lu la chose dans Télérama. Ben oui, ça commence…
« Miroir, Miroir », Mélissa Von Vepy (trapèze), Stephan Oliva (p)
« Extension des feux », Journal Intime invite Marc Ducret, Frédéric Gastard (bass-s), Matthias Mahler (tb), Sylvain Bardiau (tp), Marc Ducret (el-g)
Et ça commence avec Stephan Oliva qui s’assoie au piano, immobile, concentré, sa compagne de scène arrive, grande, fine, élégante, le regard vers le public, comme étonnée d’être là. Un miroir est suspendu derrière elle, rivé à un trapèze qu’on devine à peine, c’est un miroir formé de douze petits miroirs carrés collés les uns aux autres, elle va d’abord se regarder, nous regarder, le public se mire doublement à travers elle, les mises en abyme commencent, elles vont se prolonger, se transformer. Miroir, mon beau miroir, suis-je belle ? Pas de réponse. Stephan Oliva commente l’approche avec délicatesse. Et soudain, d’un coup sec, elle brise un des miroirs centraux et va donc pouvoir commencer à traverser le plan de la réflection. On pense à Lewis Carroll, mais aussi au stade du miroir, à Lacan, au corps morcelé, à la jouissance de se mirer dans l’unité. C’est bien ça d’ailleurs, car Mélissa fait apparaître des bribes d’elle-même, une jambe ici, un pied là, commencent alors des évolutions qui tiennent autant de la technique du trapèze que de celle de la contorsion. Là, on commence à rêver et à se demander si l’on rêve, Stephan est parfait de présence et de discrétion à la fois, les passages vont se succéder, le miroir se renverse, de l’autre côté c’est un miroir aussi (plus éclaté, brisé en quelque sorte), le trapèze permet quelques balancements, ça se termine trop vite, on aurait encore profité de ces espaces de liberté qui semblent si faciles à habiter. Créé en Avignon en 2009, ce moment poétique est un superbe cadeau du jazz à l’art tout court.
Nous avons suivi « Journal Intime » cet été à plusieurs reprises, toujours avec plaisir, et une certaine stupéfaction tant leur musique est énergique, demande un engagement physique total, et exige du public une attention soutenue. Avec Marc Ducret, ça le fait aussi, et de très belle manière. Frédéric Gastard a composé un répertoire spécifique, plutôt dans l’intensité et la vaillance des cuivres au début, plus ourlé vers la fin (deux belles suites). On apprécie vraiment les parties arrangées, les ostinatos, les effets de sonneries, comme des cloches à la volée, les duos entre Ducret et Mahler, ou entre le même et Gastard, les déboulés de grogne de Bardiau à la trompette. Ce soir à 18.00 présentation du livre de Michel Arcens (« John Coltrane, la musique sans raison »), par Jacques Aboucaya et en présence de l’auteur, puis ciné concert « Koko le clown » avec Guy Villerd et Jean Bolcato.
Philippe Méziat
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Depuis que le nouveau et magnifique théâtre de l’Archipel-Le Carré a ouvert a Perpignan, les gens sortent, ils vont au théâtre, à la danse, au spectacle, au jazz, et tant mieux si ce dernier se présente sous la forme d’un duo entre un pianiste et une trapéziste face à un miroir, puis sous les aspects d’un trio de cuivres en dialogue avec un guitariste tout à fait électrisé et électrisant. Car il ne suffit pas d’ouvrir des lieux à grands frais, encore faut-il mettre à leur tête des opérateurs ayant un vrai projet de diffusion et de formation des publics, là où la plupart se contentent de donner en pâture aux clients ce qu’ils sont supposés attendre parce qu’ils ont vu ça à la télé ou lu la chose dans Télérama. Ben oui, ça commence…
« Miroir, Miroir », Mélissa Von Vepy (trapèze), Stephan Oliva (p)
« Extension des feux », Journal Intime invite Marc Ducret, Frédéric Gastard (bass-s), Matthias Mahler (tb), Sylvain Bardiau (tp), Marc Ducret (el-g)
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Depuis que le nouveau et magnifique théâtre de l’Archipel-Le Carré a ouvert a Perpignan, les gens sortent, ils vont au théâtre, à la danse, au spectacle, au jazz, et tant mieux si ce dernier se présente sous la forme d’un duo entre un pianiste et une trapéziste face à un miroir, puis sous les aspects d’un trio de cuivres en dialogue avec un guitariste tout à fait électrisé et électrisant. Car il ne suffit pas d’ouvrir des lieux à grands frais, encore faut-il mettre à leur tête des opérateurs ayant un vrai projet de diffusion et de formation des publics, là où la plupart se contentent de donner en pâture aux clients ce qu’ils sont supposés attendre parce qu’ils ont vu ça à la télé ou lu la chose dans Télérama. Ben oui, ça commence…
« Miroir, Miroir », Mélissa Von Vepy (trapèze), Stephan Oliva (p)
« Extension des feux », Journal Intime invite Marc Ducret, Frédéric Gastard (bass-s), Matthias Mahler (tb), Sylvain Bardiau (tp), Marc Ducret (el-g)
Et ça commence avec Stephan Oliva qui s’assoie au piano, immobile, concentré, sa compagne de scène arrive, grande, fine, élégante, le regard vers le public, comme étonnée d’être là. Un miroir est suspendu derrière elle, rivé à un trapèze qu’on devine à peine, c’est un miroir formé de douze petits miroirs carrés collés les uns aux autres, elle va d’abord se regarder, nous regarder, le public se mire doublement à travers elle, les mises en abyme commencent, elles vont se prolonger, se transformer. Miroir, mon beau miroir, suis-je belle ? Pas de réponse. Stephan Oliva commente l’approche avec délicatesse. Et soudain, d’un coup sec, elle brise un des miroirs centraux et va donc pouvoir commencer à traverser le plan de la réflection. On pense à Lewis Carroll, mais aussi au stade du miroir, à Lacan, au corps morcelé, à la jouissance de se mirer dans l’unité. C’est bien ça d’ailleurs, car Mélissa fait apparaître des bribes d’elle-même, une jambe ici, un pied là, commencent alors des évolutions qui tiennent autant de la technique du trapèze que de celle de la contorsion. Là, on commence à rêver et à se demander si l’on rêve, Stephan est parfait de présence et de discrétion à la fois, les passages vont se succéder, le miroir se renverse, de l’autre côté c’est un miroir aussi (plus éclaté, brisé en quelque sorte), le trapèze permet quelques balancements, ça se termine trop vite, on aurait encore profité de ces espaces de liberté qui semblent si faciles à habiter. Créé en Avignon en 2009, ce moment poétique est un superbe cadeau du jazz à l’art tout court.
Nous avons suivi « Journal Intime » cet été à plusieurs reprises, toujours avec plaisir, et une certaine stupéfaction tant leur musique est énergique, demande un engagement physique total, et exige du public une attention soutenue. Avec Marc Ducret, ça le fait aussi, et de très belle manière. Frédéric Gastard a composé un répertoire spécifique, plutôt dans l’intensité et la vaillance des cuivres au début, plus ourlé vers la fin (deux belles suites). On apprécie vraiment les parties arrangées, les ostinatos, les effets de sonneries, comme des cloches à la volée, les duos entre Ducret et Mahler, ou entre le même et Gastard, les déboulés de grogne de Bardiau à la trompette. Ce soir à 18.00 présentation du livre de Michel Arcens (« John Coltrane, la musique sans raison »), par Jacques Aboucaya et en présence de l’auteur, puis ciné concert « Koko le clown » avec Guy Villerd et Jean Bolcato.
Philippe Méziat
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Depuis que le nouveau et magnifique théâtre de l’Archipel-Le Carré a ouvert a Perpignan, les gens sortent, ils vont au théâtre, à la danse, au spectacle, au jazz, et tant mieux si ce dernier se présente sous la forme d’un duo entre un pianiste et une trapéziste face à un miroir, puis sous les aspects d’un trio de cuivres en dialogue avec un guitariste tout à fait électrisé et électrisant. Car il ne suffit pas d’ouvrir des lieux à grands frais, encore faut-il mettre à leur tête des opérateurs ayant un vrai projet de diffusion et de formation des publics, là où la plupart se contentent de donner en pâture aux clients ce qu’ils sont supposés attendre parce qu’ils ont vu ça à la télé ou lu la chose dans Télérama. Ben oui, ça commence…
« Miroir, Miroir », Mélissa Von Vepy (trapèze), Stephan Oliva (p)
« Extension des feux », Journal Intime invite Marc Ducret, Frédéric Gastard (bass-s), Matthias Mahler (tb), Sylvain Bardiau (tp), Marc Ducret (el-g)
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Depuis que le nouveau et magnifique théâtre de l’Archipel-Le Carré a ouvert a Perpignan, les gens sortent, ils vont au théâtre, à la danse, au spectacle, au jazz, et tant mieux si ce dernier se présente sous la forme d’un duo entre un pianiste et une trapéziste face à un miroir, puis sous les aspects d’un trio de cuivres en dialogue avec un guitariste tout à fait électrisé et électrisant. Car il ne suffit pas d’ouvrir des lieux à grands frais, encore faut-il mettre à leur tête des opérateurs ayant un vrai projet de diffusion et de formation des publics, là où la plupart se contentent de donner en pâture aux clients ce qu’ils sont supposés attendre parce qu’ils ont vu ça à la télé ou lu la chose dans Télérama. Ben oui, ça commence…
« Miroir, Miroir », Mélissa Von Vepy (trapèze), Stephan Oliva (p)
« Extension des feux », Journal Intime invite Marc Ducret, Frédéric Gastard (bass-s), Matthias Mahler (tb), Sylvain Bardiau (tp), Marc Ducret (el-g)
Et ça commence avec Stephan Oliva qui s’assoie au piano, immobile, concentré, sa compagne de scène arrive, grande, fine, élégante, le regard vers le public, comme étonnée d’être là. Un miroir est suspendu derrière elle, rivé à un trapèze qu’on devine à peine, c’est un miroir formé de douze petits miroirs carrés collés les uns aux autres, elle va d’abord se regarder, nous regarder, le public se mire doublement à travers elle, les mises en abyme commencent, elles vont se prolonger, se transformer. Miroir, mon beau miroir, suis-je belle ? Pas de réponse. Stephan Oliva commente l’approche avec délicatesse. Et soudain, d’un coup sec, elle brise un des miroirs centraux et va donc pouvoir commencer à traverser le plan de la réflection. On pense à Lewis Carroll, mais aussi au stade du miroir, à Lacan, au corps morcelé, à la jouissance de se mirer dans l’unité. C’est bien ça d’ailleurs, car Mélissa fait apparaître des bribes d’elle-même, une jambe ici, un pied là, commencent alors des évolutions qui tiennent autant de la technique du trapèze que de celle de la contorsion. Là, on commence à rêver et à se demander si l’on rêve, Stephan est parfait de présence et de discrétion à la fois, les passages vont se succéder, le miroir se renverse, de l’autre côté c’est un miroir aussi (plus éclaté, brisé en quelque sorte), le trapèze permet quelques balancements, ça se termine trop vite, on aurait encore profité de ces espaces de liberté qui semblent si faciles à habiter. Créé en Avignon en 2009, ce moment poétique est un superbe cadeau du jazz à l’art tout court.
Nous avons suivi « Journal Intime » cet été à plusieurs reprises, toujours avec plaisir, et une certaine stupéfaction tant leur musique est énergique, demande un engagement physique total, et exige du public une attention soutenue. Avec Marc Ducret, ça le fait aussi, et de très belle manière. Frédéric Gastard a composé un répertoire spécifique, plutôt dans l’intensité et la vaillance des cuivres au début, plus ourlé vers la fin (deux belles suites). On apprécie vraiment les parties arrangées, les ostinatos, les effets de sonneries, comme des cloches à la volée, les duos entre Ducret et Mahler, ou entre le même et Gastard, les déboulés de grogne de Bardiau à la trompette. Ce soir à 18.00 présentation du livre de Michel Arcens (« John Coltrane, la musique sans raison »), par Jacques Aboucaya et en présence de l’auteur, puis ciné concert « Koko le clown » avec Guy Villerd et Jean Bolcato.
Philippe Méziat
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Depuis que le nouveau et magnifique théâtre de l’Archipel-Le Carré a ouvert a Perpignan, les gens sortent, ils vont au théâtre, à la danse, au spectacle, au jazz, et tant mieux si ce dernier se présente sous la forme d’un duo entre un pianiste et une trapéziste face à un miroir, puis sous les aspects d’un trio de cuivres en dialogue avec un guitariste tout à fait électrisé et électrisant. Car il ne suffit pas d’ouvrir des lieux à grands frais, encore faut-il mettre à leur tête des opérateurs ayant un vrai projet de diffusion et de formation des publics, là où la plupart se contentent de donner en pâture aux clients ce qu’ils sont supposés attendre parce qu’ils ont vu ça à la télé ou lu la chose dans Télérama. Ben oui, ça commence…
« Miroir, Miroir », Mélissa Von Vepy (trapèze), Stephan Oliva (p)
« Extension des feux », Journal Intime invite Marc Ducret, Frédéric Gastard (bass-s), Matthias Mahler (tb), Sylvain Bardiau (tp), Marc Ducret (el-g)
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Depuis que le nouveau et magnifique théâtre de l’Archipel-Le Carré a ouvert a Perpignan, les gens sortent, ils vont au théâtre, à la danse, au spectacle, au jazz, et tant mieux si ce dernier se présente sous la forme d’un duo entre un pianiste et une trapéziste face à un miroir, puis sous les aspects d’un trio de cuivres en dialogue avec un guitariste tout à fait électrisé et électrisant. Car il ne suffit pas d’ouvrir des lieux à grands frais, encore faut-il mettre à leur tête des opérateurs ayant un vrai projet de diffusion et de formation des publics, là où la plupart se contentent de donner en pâture aux clients ce qu’ils sont supposés attendre parce qu’ils ont vu ça à la télé ou lu la chose dans Télérama. Ben oui, ça commence…
« Miroir, Miroir », Mélissa Von Vepy (trapèze), Stephan Oliva (p)
« Extension des feux », Journal Intime invite Marc Ducret, Frédéric Gastard (bass-s), Matthias Mahler (tb), Sylvain Bardiau (tp), Marc Ducret (el-g)
Et ça commence avec Stephan Oliva qui s’assoie au piano, immobile, concentré, sa compagne de scène arrive, grande, fine, élégante, le regard vers le public, comme étonnée d’être là. Un miroir est suspendu derrière elle, rivé à un trapèze qu’on devine à peine, c’est un miroir formé de douze petits miroirs carrés collés les uns aux autres, elle va d’abord se regarder, nous regarder, le public se mire doublement à travers elle, les mises en abyme commencent, elles vont se prolonger, se transformer. Miroir, mon beau miroir, suis-je belle ? Pas de réponse. Stephan Oliva commente l’approche avec délicatesse. Et soudain, d’un coup sec, elle brise un des miroirs centraux et va donc pouvoir commencer à traverser le plan de la réflection. On pense à Lewis Carroll, mais aussi au stade du miroir, à Lacan, au corps morcelé, à la jouissance de se mirer dans l’unité. C’est bien ça d’ailleurs, car Mélissa fait apparaître des bribes d’elle-même, une jambe ici, un pied là, commencent alors des évolutions qui tiennent autant de la technique du trapèze que de celle de la contorsion. Là, on commence à rêver et à se demander si l’on rêve, Stephan est parfait de présence et de discrétion à la fois, les passages vont se succéder, le miroir se renverse, de l’autre côté c’est un miroir aussi (plus éclaté, brisé en quelque sorte), le trapèze permet quelques balancements, ça se termine trop vite, on aurait encore profité de ces espaces de liberté qui semblent si faciles à habiter. Créé en Avignon en 2009, ce moment poétique est un superbe cadeau du jazz à l’art tout court.
Nous avons suivi « Journal Intime » cet été à plusieurs reprises, toujours avec plaisir, et une certaine stupéfaction tant leur musique est énergique, demande un engagement physique total, et exige du public une attention soutenue. Avec Marc Ducret, ça le fait aussi, et de très belle manière. Frédéric Gastard a composé un répertoire spécifique, plutôt dans l’intensité et la vaillance des cuivres au début, plus ourlé vers la fin (deux belles suites). On apprécie vraiment les parties arrangées, les ostinatos, les effets de sonneries, comme des cloches à la volée, les duos entre Ducret et Mahler, ou entre le même et Gastard, les déboulés de grogne de Bardiau à la trompette. Ce soir à 18.00 présentation du livre de Michel Arcens (« John Coltrane, la musique sans raison »), par Jacques Aboucaya et en présence de l’auteur, puis ciné concert « Koko le clown » avec Guy Villerd et Jean Bolcato.
Philippe Méziat