Jazz live
Publié le 2 Oct 2013

Jean-Rémi Guédon fête les 20 ans d’Archimusic

À la Java, à Paris, 105 rue du Faubourg du Temple, le saxophoniste Jean-Rémi Guédon fête aujourd’hui et demain (1er et 2 octobre), les 20 ans d’une drôle d’aventure qu’il mène envers et contre tout et qui, née d’une rencontre entre jazz et classique, s’aventure aujourd’hui en Afrique, aux Antilles autant qu’en terre de philosophie.

La Java, Paris (75), le 1er octobre 2013.

 

Jean-Rémi Guédon (composition, direction, saxes ténor et soprano) et le Grand Ensemble Archimusic : Vincent Arnoult (hautbois, cor anglais), Nicolas Fargeix (clarinette), Emmanuelle Brunat (clarinette basse), Vincent Reynaud (basson), Fabrice Martinez (trompette), Yves Rousseau (contrebasse), David Pouradier-Duteil (batterie).

Invités : Élise Caron (voix et chant), Maryse Ngalua (chant, guitare), Alexandre Authelain (clarinette), Cyril Hernandez (percussions).

 

La Java, un vieux bal musette en sous-sol : c’est là que Django Reinhardt, encore banjoïste, jouait en octobre 1928 avec l’accordéoniste Maurice Alexander, lorsque leur rendit visite le “Paul Whiteman anglais”, Jack Hylton, avec la ferme intention de le débaucher. Django rentra le cœur et la tête remplis de rêves de gloire, vers sa verdine stationnée dans la zone au nord de la Porte de Clignancourt. Mais ce matin 26 octobre, le destin l’attendait sous la forme d’un incendie qui allait le brûler atrocement… On connaît la suite (si vous ne la connaissez pas, reprenez votre numéro 610 de Jazzmag ou réservez votre samedi 2 février au Pavillon Carré Baudoin, à l’angle des Pyrénnées et de Ménimontant : je vous raconterai).

 

La Java, Django, Maurice Alexander (qui se rendait à ses concerts en avion)… que du rêve. Archimusic, c’est une machine à rêve sur laquelle pédale depuis 20 ans Jean-Rémi Guédon, entraînant une équipe de fidèles ou moins fidèles compagnons. Hier, il nous accueillait sous la mezzanine qui surplombe l’accès au double escalier descendant à la Java. Tombant de la mezzanine, des fugues boisées, signées Poulenc, Stravinsky et Jean-Rémi Guédon, jouées en solo, en duo, en trio par la moitié “classique” d’Archimusic qui est la rencontre d’un quatuor à vents (4 anches, soit 2 simples et 2 doubles) et un quartette de jazz. Le répertoire, à l’image de l’univers de Guédon : la légèreté selon Kundera ou, plus précisément, selon Stravinsky (c’est Guédon qui m’a fait découvrir le recueil de conférences du compositeur réunis dans La Poétique musicale, écrits qui, avec Les Testaments trahis de Kundera, n’a cessé d’éclairer  mon travail critique).

 

1ère partie : un accueil en java, évidemment, avec deux invités, parmi les animateurs du lieu, le clarinettiste Alexandre Authelain et le percussionniste Cyril Hernandez. Puis des extraits du spectacle Sade Songs avec Élise Caron sur des textes du Marquis de Sade. 2ème partie : la chanteuse Maryse Ngalula originaire de Kinshasa chante seule accompagnée de sa guitare puis d’Archimusic qui clôt la soirée par une folle jam session. Je ne vous raconte pas dans le détail… le bureau m’attend. Mais 20 ans après, Archimusic tient toujours le pari du rêve, dans un mélange de sens du détail et du gros trait et qu’illustre en premier lieu le jeu de son leader dont le saxophone sait se fondre dans la finesse des partitions que lui inspirent ses idoles compositeurs (Stravinsky en tête) et ses compagnons du classique, puis tout aussitôt faire sonner un ténor presque bruiteur qui doit à Archie Shepp et à Albert Ayler. Le tout porté par la rythmique grasse et granuleuse de ses vieux compagnons de la première heure, Yves Rousseau et David Pouradier-Duteil, un tandem rythmique qui a plus de 20 ans !

 

Si vous vous rendez à la Java, le programme Sade fera place au Rêve de Nietzsche, que réalise déjà un peu Sade Songs, fusionner texte et musique, fondre en musique l’expression de la rage folle de Sade ou des idées de Nietzsche. La voix sera alors celle du slammeur Jimmy Justine. Mais vous retrouverez l’Archimusic au grand complet et découvrirez le trompettiste Fabrice Martinez qui vaut vraiment le détour. Seconde partie comme la veille avec Maryse Ngalula.

 

Archimusic continuera à fête ses 20 ans les 4 et 5 octobre à Saint-Fargeau-Ponthierry, et le 15 à Guyancourt autour d’une fantaisie numérique à laquelle l’ensemble travaille en résidence depuis 2012. Maryse Ngalula et Guédon seront en duo à Enghien-les-Bains le 12.


Franck Bergerot

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À la Java, à Paris, 105 rue du Faubourg du Temple, le saxophoniste Jean-Rémi Guédon fête aujourd’hui et demain (1er et 2 octobre), les 20 ans d’une drôle d’aventure qu’il mène envers et contre tout et qui, née d’une rencontre entre jazz et classique, s’aventure aujourd’hui en Afrique, aux Antilles autant qu’en terre de philosophie.

La Java, Paris (75), le 1er octobre 2013.

 

Jean-Rémi Guédon (composition, direction, saxes ténor et soprano) et le Grand Ensemble Archimusic : Vincent Arnoult (hautbois, cor anglais), Nicolas Fargeix (clarinette), Emmanuelle Brunat (clarinette basse), Vincent Reynaud (basson), Fabrice Martinez (trompette), Yves Rousseau (contrebasse), David Pouradier-Duteil (batterie).

Invités : Élise Caron (voix et chant), Maryse Ngalua (chant, guitare), Alexandre Authelain (clarinette), Cyril Hernandez (percussions).

 

La Java, un vieux bal musette en sous-sol : c’est là que Django Reinhardt, encore banjoïste, jouait en octobre 1928 avec l’accordéoniste Maurice Alexander, lorsque leur rendit visite le “Paul Whiteman anglais”, Jack Hylton, avec la ferme intention de le débaucher. Django rentra le cœur et la tête remplis de rêves de gloire, vers sa verdine stationnée dans la zone au nord de la Porte de Clignancourt. Mais ce matin 26 octobre, le destin l’attendait sous la forme d’un incendie qui allait le brûler atrocement… On connaît la suite (si vous ne la connaissez pas, reprenez votre numéro 610 de Jazzmag ou réservez votre samedi 2 février au Pavillon Carré Baudoin, à l’angle des Pyrénnées et de Ménimontant : je vous raconterai).

 

La Java, Django, Maurice Alexander (qui se rendait à ses concerts en avion)… que du rêve. Archimusic, c’est une machine à rêve sur laquelle pédale depuis 20 ans Jean-Rémi Guédon, entraînant une équipe de fidèles ou moins fidèles compagnons. Hier, il nous accueillait sous la mezzanine qui surplombe l’accès au double escalier descendant à la Java. Tombant de la mezzanine, des fugues boisées, signées Poulenc, Stravinsky et Jean-Rémi Guédon, jouées en solo, en duo, en trio par la moitié “classique” d’Archimusic qui est la rencontre d’un quatuor à vents (4 anches, soit 2 simples et 2 doubles) et un quartette de jazz. Le répertoire, à l’image de l’univers de Guédon : la légèreté selon Kundera ou, plus précisément, selon Stravinsky (c’est Guédon qui m’a fait découvrir le recueil de conférences du compositeur réunis dans La Poétique musicale, écrits qui, avec Les Testaments trahis de Kundera, n’a cessé d’éclairer  mon travail critique).

 

1ère partie : un accueil en java, évidemment, avec deux invités, parmi les animateurs du lieu, le clarinettiste Alexandre Authelain et le percussionniste Cyril Hernandez. Puis des extraits du spectacle Sade Songs avec Élise Caron sur des textes du Marquis de Sade. 2ème partie : la chanteuse Maryse Ngalula originaire de Kinshasa chante seule accompagnée de sa guitare puis d’Archimusic qui clôt la soirée par une folle jam session. Je ne vous raconte pas dans le détail… le bureau m’attend. Mais 20 ans après, Archimusic tient toujours le pari du rêve, dans un mélange de sens du détail et du gros trait et qu’illustre en premier lieu le jeu de son leader dont le saxophone sait se fondre dans la finesse des partitions que lui inspirent ses idoles compositeurs (Stravinsky en tête) et ses compagnons du classique, puis tout aussitôt faire sonner un ténor presque bruiteur qui doit à Archie Shepp et à Albert Ayler. Le tout porté par la rythmique grasse et granuleuse de ses vieux compagnons de la première heure, Yves Rousseau et David Pouradier-Duteil, un tandem rythmique qui a plus de 20 ans !

 

Si vous vous rendez à la Java, le programme Sade fera place au Rêve de Nietzsche, que réalise déjà un peu Sade Songs, fusionner texte et musique, fondre en musique l’expression de la rage folle de Sade ou des idées de Nietzsche. La voix sera alors celle du slammeur Jimmy Justine. Mais vous retrouverez l’Archimusic au grand complet et découvrirez le trompettiste Fabrice Martinez qui vaut vraiment le détour. Seconde partie comme la veille avec Maryse Ngalula.

 

Archimusic continuera à fête ses 20 ans les 4 et 5 octobre à Saint-Fargeau-Ponthierry, et le 15 à Guyancourt autour d’une fantaisie numérique à laquelle l’ensemble travaille en résidence depuis 2012. Maryse Ngalula et Guédon seront en duo à Enghien-les-Bains le 12.


Franck Bergerot

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À la Java, à Paris, 105 rue du Faubourg du Temple, le saxophoniste Jean-Rémi Guédon fête aujourd’hui et demain (1er et 2 octobre), les 20 ans d’une drôle d’aventure qu’il mène envers et contre tout et qui, née d’une rencontre entre jazz et classique, s’aventure aujourd’hui en Afrique, aux Antilles autant qu’en terre de philosophie.

La Java, Paris (75), le 1er octobre 2013.

 

Jean-Rémi Guédon (composition, direction, saxes ténor et soprano) et le Grand Ensemble Archimusic : Vincent Arnoult (hautbois, cor anglais), Nicolas Fargeix (clarinette), Emmanuelle Brunat (clarinette basse), Vincent Reynaud (basson), Fabrice Martinez (trompette), Yves Rousseau (contrebasse), David Pouradier-Duteil (batterie).

Invités : Élise Caron (voix et chant), Maryse Ngalua (chant, guitare), Alexandre Authelain (clarinette), Cyril Hernandez (percussions).

 

La Java, un vieux bal musette en sous-sol : c’est là que Django Reinhardt, encore banjoïste, jouait en octobre 1928 avec l’accordéoniste Maurice Alexander, lorsque leur rendit visite le “Paul Whiteman anglais”, Jack Hylton, avec la ferme intention de le débaucher. Django rentra le cœur et la tête remplis de rêves de gloire, vers sa verdine stationnée dans la zone au nord de la Porte de Clignancourt. Mais ce matin 26 octobre, le destin l’attendait sous la forme d’un incendie qui allait le brûler atrocement… On connaît la suite (si vous ne la connaissez pas, reprenez votre numéro 610 de Jazzmag ou réservez votre samedi 2 février au Pavillon Carré Baudoin, à l’angle des Pyrénnées et de Ménimontant : je vous raconterai).

 

La Java, Django, Maurice Alexander (qui se rendait à ses concerts en avion)… que du rêve. Archimusic, c’est une machine à rêve sur laquelle pédale depuis 20 ans Jean-Rémi Guédon, entraînant une équipe de fidèles ou moins fidèles compagnons. Hier, il nous accueillait sous la mezzanine qui surplombe l’accès au double escalier descendant à la Java. Tombant de la mezzanine, des fugues boisées, signées Poulenc, Stravinsky et Jean-Rémi Guédon, jouées en solo, en duo, en trio par la moitié “classique” d’Archimusic qui est la rencontre d’un quatuor à vents (4 anches, soit 2 simples et 2 doubles) et un quartette de jazz. Le répertoire, à l’image de l’univers de Guédon : la légèreté selon Kundera ou, plus précisément, selon Stravinsky (c’est Guédon qui m’a fait découvrir le recueil de conférences du compositeur réunis dans La Poétique musicale, écrits qui, avec Les Testaments trahis de Kundera, n’a cessé d’éclairer  mon travail critique).

 

1ère partie : un accueil en java, évidemment, avec deux invités, parmi les animateurs du lieu, le clarinettiste Alexandre Authelain et le percussionniste Cyril Hernandez. Puis des extraits du spectacle Sade Songs avec Élise Caron sur des textes du Marquis de Sade. 2ème partie : la chanteuse Maryse Ngalula originaire de Kinshasa chante seule accompagnée de sa guitare puis d’Archimusic qui clôt la soirée par une folle jam session. Je ne vous raconte pas dans le détail… le bureau m’attend. Mais 20 ans après, Archimusic tient toujours le pari du rêve, dans un mélange de sens du détail et du gros trait et qu’illustre en premier lieu le jeu de son leader dont le saxophone sait se fondre dans la finesse des partitions que lui inspirent ses idoles compositeurs (Stravinsky en tête) et ses compagnons du classique, puis tout aussitôt faire sonner un ténor presque bruiteur qui doit à Archie Shepp et à Albert Ayler. Le tout porté par la rythmique grasse et granuleuse de ses vieux compagnons de la première heure, Yves Rousseau et David Pouradier-Duteil, un tandem rythmique qui a plus de 20 ans !

 

Si vous vous rendez à la Java, le programme Sade fera place au Rêve de Nietzsche, que réalise déjà un peu Sade Songs, fusionner texte et musique, fondre en musique l’expression de la rage folle de Sade ou des idées de Nietzsche. La voix sera alors celle du slammeur Jimmy Justine. Mais vous retrouverez l’Archimusic au grand complet et découvrirez le trompettiste Fabrice Martinez qui vaut vraiment le détour. Seconde partie comme la veille avec Maryse Ngalula.

 

Archimusic continuera à fête ses 20 ans les 4 et 5 octobre à Saint-Fargeau-Ponthierry, et le 15 à Guyancourt autour d’une fantaisie numérique à laquelle l’ensemble travaille en résidence depuis 2012. Maryse Ngalula et Guédon seront en duo à Enghien-les-Bains le 12.


Franck Bergerot

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À la Java, à Paris, 105 rue du Faubourg du Temple, le saxophoniste Jean-Rémi Guédon fête aujourd’hui et demain (1er et 2 octobre), les 20 ans d’une drôle d’aventure qu’il mène envers et contre tout et qui, née d’une rencontre entre jazz et classique, s’aventure aujourd’hui en Afrique, aux Antilles autant qu’en terre de philosophie.

La Java, Paris (75), le 1er octobre 2013.

 

Jean-Rémi Guédon (composition, direction, saxes ténor et soprano) et le Grand Ensemble Archimusic : Vincent Arnoult (hautbois, cor anglais), Nicolas Fargeix (clarinette), Emmanuelle Brunat (clarinette basse), Vincent Reynaud (basson), Fabrice Martinez (trompette), Yves Rousseau (contrebasse), David Pouradier-Duteil (batterie).

Invités : Élise Caron (voix et chant), Maryse Ngalua (chant, guitare), Alexandre Authelain (clarinette), Cyril Hernandez (percussions).

 

La Java, un vieux bal musette en sous-sol : c’est là que Django Reinhardt, encore banjoïste, jouait en octobre 1928 avec l’accordéoniste Maurice Alexander, lorsque leur rendit visite le “Paul Whiteman anglais”, Jack Hylton, avec la ferme intention de le débaucher. Django rentra le cœur et la tête remplis de rêves de gloire, vers sa verdine stationnée dans la zone au nord de la Porte de Clignancourt. Mais ce matin 26 octobre, le destin l’attendait sous la forme d’un incendie qui allait le brûler atrocement… On connaît la suite (si vous ne la connaissez pas, reprenez votre numéro 610 de Jazzmag ou réservez votre samedi 2 février au Pavillon Carré Baudoin, à l’angle des Pyrénnées et de Ménimontant : je vous raconterai).

 

La Java, Django, Maurice Alexander (qui se rendait à ses concerts en avion)… que du rêve. Archimusic, c’est une machine à rêve sur laquelle pédale depuis 20 ans Jean-Rémi Guédon, entraînant une équipe de fidèles ou moins fidèles compagnons. Hier, il nous accueillait sous la mezzanine qui surplombe l’accès au double escalier descendant à la Java. Tombant de la mezzanine, des fugues boisées, signées Poulenc, Stravinsky et Jean-Rémi Guédon, jouées en solo, en duo, en trio par la moitié “classique” d’Archimusic qui est la rencontre d’un quatuor à vents (4 anches, soit 2 simples et 2 doubles) et un quartette de jazz. Le répertoire, à l’image de l’univers de Guédon : la légèreté selon Kundera ou, plus précisément, selon Stravinsky (c’est Guédon qui m’a fait découvrir le recueil de conférences du compositeur réunis dans La Poétique musicale, écrits qui, avec Les Testaments trahis de Kundera, n’a cessé d’éclairer  mon travail critique).

 

1ère partie : un accueil en java, évidemment, avec deux invités, parmi les animateurs du lieu, le clarinettiste Alexandre Authelain et le percussionniste Cyril Hernandez. Puis des extraits du spectacle Sade Songs avec Élise Caron sur des textes du Marquis de Sade. 2ème partie : la chanteuse Maryse Ngalula originaire de Kinshasa chante seule accompagnée de sa guitare puis d’Archimusic qui clôt la soirée par une folle jam session. Je ne vous raconte pas dans le détail… le bureau m’attend. Mais 20 ans après, Archimusic tient toujours le pari du rêve, dans un mélange de sens du détail et du gros trait et qu’illustre en premier lieu le jeu de son leader dont le saxophone sait se fondre dans la finesse des partitions que lui inspirent ses idoles compositeurs (Stravinsky en tête) et ses compagnons du classique, puis tout aussitôt faire sonner un ténor presque bruiteur qui doit à Archie Shepp et à Albert Ayler. Le tout porté par la rythmique grasse et granuleuse de ses vieux compagnons de la première heure, Yves Rousseau et David Pouradier-Duteil, un tandem rythmique qui a plus de 20 ans !

 

Si vous vous rendez à la Java, le programme Sade fera place au Rêve de Nietzsche, que réalise déjà un peu Sade Songs, fusionner texte et musique, fondre en musique l’expression de la rage folle de Sade ou des idées de Nietzsche. La voix sera alors celle du slammeur Jimmy Justine. Mais vous retrouverez l’Archimusic au grand complet et découvrirez le trompettiste Fabrice Martinez qui vaut vraiment le détour. Seconde partie comme la veille avec Maryse Ngalula.

 

Archimusic continuera à fête ses 20 ans les 4 et 5 octobre à Saint-Fargeau-Ponthierry, et le 15 à Guyancourt autour d’une fantaisie numérique à laquelle l’ensemble travaille en résidence depuis 2012. Maryse Ngalula et Guédon seront en duo à Enghien-les-Bains le 12.


Franck Bergerot