Lubat & Co : Â, Toulouse !
La compagne y lut bas. Le compas nie les bas. Le campanile ou pas. La campagne, il l’use… bah ! Le champagne, ici bas. Tabul eingapmoc al. Ô, le « Camping Bullat ». Mal-goût ? Incapable !
Vendredi 21 mars 2014, Le Mandala, Toulouse (31), 21h30
La Compagnie Lubat – « Chansons enjazzées »
Thomas Boudé (elg, verbe), Bernard Lubat (p, objets, verbe), Jules Rousseau (elb, verbe), Louis Lubat (dm, verbe).
Bernard Lubat bien encadré
Les deux dernières prestations scéniques de Bernard Lubat auxquelles j’ai pu assister m’avaient enchanté. Celle donnée dans un Mandala archi-bondé m’a laissé sur ma faim. Pourtant les ingrédients étaient les mêmes que ceux utilisés par Lubat au cours d’un mémorable concert en piano solo de 2011 (voir blog ici) : en alternance, du verbe, des chansons, du jazz, de l’improvisation. Le déroulé du premier set (le seul auquel j’ai pu assister) qui suit en donnera un aperçu :
Verbe
[Bernard Lubat :] « Entre jazz et chanson, c’est la baston : le couple parfait, un vrai couple-gorge. »
Tandis que Bernard Lubat poursuit ses explorations langagières, commentaires musicaux par ses trois jeunes partenaires.
Musique
Le maître de la Compagnie passe au piano (un quart de queue loué pour l’occasion) et lance un thème « alla Monk ».
Verbe
[Bernard Lubat :] « On se complique la vie à vouloir la rendre simple, alors que c’est si simple de la compliquer. »
Musique
Bernard Lubat la mesure en scat, bientôt rejoint par ses compagnons. Tournerie modal, chanson enjazzée, solo de piano, solo de guitare, re-chanson enjazzée.
Verbe
[Bernard Lubat :] « Encenseur pour les fauchés […] entre popu-plaire et éli-triste […] il faut payer la note… bleue. »
Comment taire en musique ? temps dit : « que Bernard passe au pis ». Ah ? No !
Musique
Rythmique latine (biguine ?). [Au fait, est-ce que Lubat a déjà joué avec Sonny Rollins ?]
Verbe
[Bernard Lubat :] « Beprour brabrabelioutch uhuili spratch […] allez-y vous aussi […] entraînez-vous à dire n’importe quoi… comme d’habitude ! […] C’est ça la démagogie participative. […] Les mots sont des masques qui n’ont rien à cacher. »
Musique
St Just Blues (blues bilingue de 1789 à nos jours) (cf. premier disque de la Compagnie Lubat dé Gasconha [1994]), avec un grand très bon solo de piano.
Pause
Alors pourquoi cela n’a pas marché ? Thomas Boudé est un honnête guitariste, Jules Rousseau n’hésite pas dans son tracé. Peut-être aurais-je préféré que Bernard tiennent les lubaguettes ?
Lubat & Co
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La compagne y lut bas. Le compas nie les bas. Le campanile ou pas. La campagne, il l’use… bah ! Le champagne, ici bas. Tabul eingapmoc al. Ô, le « Camping Bullat ». Mal-goût ? Incapable !
Vendredi 21 mars 2014, Le Mandala, Toulouse (31), 21h30
La Compagnie Lubat – « Chansons enjazzées »
Thomas Boudé (elg, verbe), Bernard Lubat (p, objets, verbe), Jules Rousseau (elb, verbe), Louis Lubat (dm, verbe).
Bernard Lubat bien encadré
Les deux dernières prestations scéniques de Bernard Lubat auxquelles j’ai pu assister m’avaient enchanté. Celle donnée dans un Mandala archi-bondé m’a laissé sur ma faim. Pourtant les ingrédients étaient les mêmes que ceux utilisés par Lubat au cours d’un mémorable concert en piano solo de 2011 (voir blog ici) : en alternance, du verbe, des chansons, du jazz, de l’improvisation. Le déroulé du premier set (le seul auquel j’ai pu assister) qui suit en donnera un aperçu :
Verbe
[Bernard Lubat :] « Entre jazz et chanson, c’est la baston : le couple parfait, un vrai couple-gorge. »
Tandis que Bernard Lubat poursuit ses explorations langagières, commentaires musicaux par ses trois jeunes partenaires.
Musique
Le maître de la Compagnie passe au piano (un quart de queue loué pour l’occasion) et lance un thème « alla Monk ».
Verbe
[Bernard Lubat :] « On se complique la vie à vouloir la rendre simple, alors que c’est si simple de la compliquer. »
Musique
Bernard Lubat la mesure en scat, bientôt rejoint par ses compagnons. Tournerie modal, chanson enjazzée, solo de piano, solo de guitare, re-chanson enjazzée.
Verbe
[Bernard Lubat :] « Encenseur pour les fauchés […] entre popu-plaire et éli-triste […] il faut payer la note… bleue. »
Comment taire en musique ? temps dit : « que Bernard passe au pis ». Ah ? No !
Musique
Rythmique latine (biguine ?). [Au fait, est-ce que Lubat a déjà joué avec Sonny Rollins ?]
Verbe
[Bernard Lubat :] « Beprour brabrabelioutch uhuili spratch […] allez-y vous aussi […] entraînez-vous à dire n’importe quoi… comme d’habitude ! […] C’est ça la démagogie participative. […] Les mots sont des masques qui n’ont rien à cacher. »
Musique
St Just Blues (blues bilingue de 1789 à nos jours) (cf. premier disque de la Compagnie Lubat dé Gasconha [1994]), avec un grand très bon solo de piano.
Pause
Alors pourquoi cela n’a pas marché ? Thomas Boudé est un honnête guitariste, Jules Rousseau n’hésite pas dans son tracé. Peut-être aurais-je préféré que Bernard tiennent les lubaguettes ?
Lubat & Co
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La compagne y lut bas. Le compas nie les bas. Le campanile ou pas. La campagne, il l’use… bah ! Le champagne, ici bas. Tabul eingapmoc al. Ô, le « Camping Bullat ». Mal-goût ? Incapable !
Vendredi 21 mars 2014, Le Mandala, Toulouse (31), 21h30
La Compagnie Lubat – « Chansons enjazzées »
Thomas Boudé (elg, verbe), Bernard Lubat (p, objets, verbe), Jules Rousseau (elb, verbe), Louis Lubat (dm, verbe).
Bernard Lubat bien encadré
Les deux dernières prestations scéniques de Bernard Lubat auxquelles j’ai pu assister m’avaient enchanté. Celle donnée dans un Mandala archi-bondé m’a laissé sur ma faim. Pourtant les ingrédients étaient les mêmes que ceux utilisés par Lubat au cours d’un mémorable concert en piano solo de 2011 (voir blog ici) : en alternance, du verbe, des chansons, du jazz, de l’improvisation. Le déroulé du premier set (le seul auquel j’ai pu assister) qui suit en donnera un aperçu :
Verbe
[Bernard Lubat :] « Entre jazz et chanson, c’est la baston : le couple parfait, un vrai couple-gorge. »
Tandis que Bernard Lubat poursuit ses explorations langagières, commentaires musicaux par ses trois jeunes partenaires.
Musique
Le maître de la Compagnie passe au piano (un quart de queue loué pour l’occasion) et lance un thème « alla Monk ».
Verbe
[Bernard Lubat :] « On se complique la vie à vouloir la rendre simple, alors que c’est si simple de la compliquer. »
Musique
Bernard Lubat la mesure en scat, bientôt rejoint par ses compagnons. Tournerie modal, chanson enjazzée, solo de piano, solo de guitare, re-chanson enjazzée.
Verbe
[Bernard Lubat :] « Encenseur pour les fauchés […] entre popu-plaire et éli-triste […] il faut payer la note… bleue. »
Comment taire en musique ? temps dit : « que Bernard passe au pis ». Ah ? No !
Musique
Rythmique latine (biguine ?). [Au fait, est-ce que Lubat a déjà joué avec Sonny Rollins ?]
Verbe
[Bernard Lubat :] « Beprour brabrabelioutch uhuili spratch […] allez-y vous aussi […] entraînez-vous à dire n’importe quoi… comme d’habitude ! […] C’est ça la démagogie participative. […] Les mots sont des masques qui n’ont rien à cacher. »
Musique
St Just Blues (blues bilingue de 1789 à nos jours) (cf. premier disque de la Compagnie Lubat dé Gasconha [1994]), avec un grand très bon solo de piano.
Pause
Alors pourquoi cela n’a pas marché ? Thomas Boudé est un honnête guitariste, Jules Rousseau n’hésite pas dans son tracé. Peut-être aurais-je préféré que Bernard tiennent les lubaguettes ?
Lubat & Co
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La compagne y lut bas. Le compas nie les bas. Le campanile ou pas. La campagne, il l’use… bah ! Le champagne, ici bas. Tabul eingapmoc al. Ô, le « Camping Bullat ». Mal-goût ? Incapable !
Vendredi 21 mars 2014, Le Mandala, Toulouse (31), 21h30
La Compagnie Lubat – « Chansons enjazzées »
Thomas Boudé (elg, verbe), Bernard Lubat (p, objets, verbe), Jules Rousseau (elb, verbe), Louis Lubat (dm, verbe).
Bernard Lubat bien encadré
Les deux dernières prestations scéniques de Bernard Lubat auxquelles j’ai pu assister m’avaient enchanté. Celle donnée dans un Mandala archi-bondé m’a laissé sur ma faim. Pourtant les ingrédients étaient les mêmes que ceux utilisés par Lubat au cours d’un mémorable concert en piano solo de 2011 (voir blog ici) : en alternance, du verbe, des chansons, du jazz, de l’improvisation. Le déroulé du premier set (le seul auquel j’ai pu assister) qui suit en donnera un aperçu :
Verbe
[Bernard Lubat :] « Entre jazz et chanson, c’est la baston : le couple parfait, un vrai couple-gorge. »
Tandis que Bernard Lubat poursuit ses explorations langagières, commentaires musicaux par ses trois jeunes partenaires.
Musique
Le maître de la Compagnie passe au piano (un quart de queue loué pour l’occasion) et lance un thème « alla Monk ».
Verbe
[Bernard Lubat :] « On se complique la vie à vouloir la rendre simple, alors que c’est si simple de la compliquer. »
Musique
Bernard Lubat la mesure en scat, bientôt rejoint par ses compagnons. Tournerie modal, chanson enjazzée, solo de piano, solo de guitare, re-chanson enjazzée.
Verbe
[Bernard Lubat :] « Encenseur pour les fauchés […] entre popu-plaire et éli-triste […] il faut payer la note… bleue. »
Comment taire en musique ? temps dit : « que Bernard passe au pis ». Ah ? No !
Musique
Rythmique latine (biguine ?). [Au fait, est-ce que Lubat a déjà joué avec Sonny Rollins ?]
Verbe
[Bernard Lubat :] « Beprour brabrabelioutch uhuili spratch […] allez-y vous aussi […] entraînez-vous à dire n’importe quoi… comme d’habitude ! […] C’est ça la démagogie participative. […] Les mots sont des masques qui n’ont rien à cacher. »
Musique
St Just Blues (blues bilingue de 1789 à nos jours) (cf. premier disque de la Compagnie Lubat dé Gasconha [1994]), avec un grand très bon solo de piano.
Pause
Alors pourquoi cela n’a pas marché ? Thomas Boudé est un honnête guitariste, Jules Rousseau n’hésite pas dans son tracé. Peut-être aurais-je préféré que Bernard tiennent les lubaguettes ?
Lubat & Co