Afternoon in Paris
Un dimanche franco-étatsunien free aux meilleurs sens du terme : libre et gratuit.
Fred Jackson, Stéphane Payen (saxophone alto), Edward Perraud, Frank Rosaly (dm, percussions).
Mona Bismarck American Center, 34 avenue de New York. Paris, 21 juin.
Oui, free au sens d’entrée libre et de musique aussi libre(ment improvisée). Avec, ce qui ne gâchait rien et exhaussait cette vertu essentielle, un climat de douceur champêtre printanière agrémenté de bambins et de vêtures quasi estivales. Comme pour nous rappeler ces reportages et pochettes de disques “live” at Music Inn ou dans le jardin du MOMA, sans parler de l’American Center du boulevard Raspail (l’Art Ensemble, Steve Lacy, Braxton, Ginsberg, Ted Joans…) à quoi ce Mona Bismarck American Center commence à succéder de façon prometteuse… Dans l’ensemble (spectateurs et musiciens), la moyenne d’âge est d’ailleurs plus printanière qu’hivernale, et d’emblée les quatre instrumentistes imposent une vivacité irrésistible, favorisée-excitée par le double jeu des idiophones. En même temps, à suivre l’action du double duo (manière d’abrégé du double quartette dont l’inventeur vient de nous laisser à nos foules de solitudes), on pourrait avoir le sentiment d’assister à une pièce de théâtre où les couples se font, se défont, se croisent et s’échangent, mélangeant leurs textes et leurs accents. Si Perraud creuse dès les premières minutes ses envies de jouer et de multiplier les timbres et les manières, Rosaly ne tardera pas à prendre du volume et diversifier ses techniques et son rapport aux éléments de sa panoplie, notamment de la bouche à la peau et autres réjouissantes impertinences. Quant aux souffleurs, c’est apparemment sans effort, qu’ils confirmeront la fonction déjà éprouvée de The Bridge qui leur a permis de peaufiner et d’approfondir ce transatlantisme fondamental et, du même coup, d’accroître le nombre de locuteurs virtuoses de cet esperanto : la nouvelle musique improvisée. Et puis, last but not least, surprise délicieusement espérée et mélancoliquement écoutée : un conclusif et très respectueux Lonely Woman entonné par le quartette dont l’un des altistes (Jackson) nous confirmait plus tard qu’il était né, comme Ornette Coleman, à Fort Worth (Texas).
Philippe Carles
Photo Alexandre Pierrepont
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Un dimanche franco-étatsunien free aux meilleurs sens du terme : libre et gratuit.
Fred Jackson, Stéphane Payen (saxophone alto), Edward Perraud, Frank Rosaly (dm, percussions).
Mona Bismarck American Center, 34 avenue de New York. Paris, 21 juin.
Oui, free au sens d’entrée libre et de musique aussi libre(ment improvisée). Avec, ce qui ne gâchait rien et exhaussait cette vertu essentielle, un climat de douceur champêtre printanière agrémenté de bambins et de vêtures quasi estivales. Comme pour nous rappeler ces reportages et pochettes de disques “live” at Music Inn ou dans le jardin du MOMA, sans parler de l’American Center du boulevard Raspail (l’Art Ensemble, Steve Lacy, Braxton, Ginsberg, Ted Joans…) à quoi ce Mona Bismarck American Center commence à succéder de façon prometteuse… Dans l’ensemble (spectateurs et musiciens), la moyenne d’âge est d’ailleurs plus printanière qu’hivernale, et d’emblée les quatre instrumentistes imposent une vivacité irrésistible, favorisée-excitée par le double jeu des idiophones. En même temps, à suivre l’action du double duo (manière d’abrégé du double quartette dont l’inventeur vient de nous laisser à nos foules de solitudes), on pourrait avoir le sentiment d’assister à une pièce de théâtre où les couples se font, se défont, se croisent et s’échangent, mélangeant leurs textes et leurs accents. Si Perraud creuse dès les premières minutes ses envies de jouer et de multiplier les timbres et les manières, Rosaly ne tardera pas à prendre du volume et diversifier ses techniques et son rapport aux éléments de sa panoplie, notamment de la bouche à la peau et autres réjouissantes impertinences. Quant aux souffleurs, c’est apparemment sans effort, qu’ils confirmeront la fonction déjà éprouvée de The Bridge qui leur a permis de peaufiner et d’approfondir ce transatlantisme fondamental et, du même coup, d’accroître le nombre de locuteurs virtuoses de cet esperanto : la nouvelle musique improvisée. Et puis, last but not least, surprise délicieusement espérée et mélancoliquement écoutée : un conclusif et très respectueux Lonely Womanentonné par le quartette dont l’un des altistes (Jackson) nous confirmait plus tard qu’il était né, comme Ornette Coleman, à Fort Worth (Texas).
Philippe Carles
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Fred Jackson, Stéphane Payen (saxophone alto), Edward Perraud, Frank Rosaly (dm, percussions).
Mona Bismarck American Center, 34 avenue de New York. Paris, 21 juin.
Oui, free au sens d’entrée libre et de musique aussi libre(ment improvisée). Avec, ce qui ne gâchait rien et exhaussait cette vertu essentielle, un climat de douceur champêtre printanière agrémenté de bambins et de vêtures quasi estivales. Comme pour nous rappeler ces reportages et pochettes de disques “live” at Music Inn ou dans le jardin du MOMA, sans parler de l’American Center du boulevard Raspail (l’Art Ensemble, Steve Lacy, Braxton, Ginsberg, Ted Joans…) à quoi ce Mona Bismarck American Center commence à succéder de façon prometteuse… Dans l’ensemble (spectateurs et musiciens), la moyenne d’âge est d’ailleurs plus printanière qu’hivernale, et d’emblée les quatre instrumentistes imposent une vivacité irrésistible, favorisée-excitée par le double jeu des idiophones. En même temps, à suivre l’action du double duo (manière d’abrégé du double quartette dont l’inventeur vient de nous laisser à nos foules de solitudes), on pourrait avoir le sentiment d’assister à une pièce de théâtre où les couples se font, se défont, se croisent et s’échangent, mélangeant leurs textes et leurs accents. Si Perraud creuse dès les premières minutes ses envies de jouer et de multiplier les timbres et les manières, Rosaly ne tardera pas à prendre du volume et diversifier ses techniques et son rapport aux éléments de sa panoplie, notamment de la bouche à la peau et autres réjouissantes impertinences. Quant aux souffleurs, c’est apparemment sans effort, qu’ils confirmeront la fonction déjà éprouvée de The Bridge qui leur a permis de peaufiner et d’approfondir ce transatlantisme fondamental et, du même coup, d’accroître le nombre de locuteurs virtuoses de cet esperanto : la nouvelle musique improvisée. Et puis, last but not least, surprise délicieusement espérée et mélancoliquement écoutée : un conclusif et très respectueux Lonely Woman entonné par le quartette dont l’un des altistes (Jackson) nous confirmait plus tard qu’il était né, comme Ornette Coleman, à Fort Worth (Texas).
Philippe Carles
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Fred Jackson, Stéphane Payen (saxophone alto), Edward Perraud, Frank Rosaly (dm, percussions).
Mona Bismarck American Center, 34 avenue de New York. Paris, 21 juin.
Oui, free au sens d’entrée libre et de musique aussi libre(ment improvisée). Avec, ce qui ne gâchait rien et exhaussait cette vertu essentielle, un climat de douceur champêtre printanière agrémenté de bambins et de vêtures quasi estivales. Comme pour nous rappeler ces reportages et pochettes de disques “live” at Music Inn ou dans le jardin du MOMA, sans parler de l’American Center du boulevard Raspail (l’Art Ensemble, Steve Lacy, Braxton, Ginsberg, Ted Joans…) à quoi ce Mona Bismarck American Center commence à succéder de façon prometteuse… Dans l’ensemble (spectateurs et musiciens), la moyenne d’âge est d’ailleurs plus printanière qu’hivernale, et d’emblée les quatre instrumentistes imposent une vivacité irrésistible, favorisée-excitée par le double jeu des idiophones. En même temps, à suivre l’action du double duo (manière d’abrégé du double quartette dont l’inventeur vient de nous laisser à nos foules de solitudes), on pourrait avoir le sentiment d’assister à une pièce de théâtre où les couples se font, se défont, se croisent et s’échangent, mélangeant leurs textes et leurs accents. Si Perraud creuse dès les premières minutes ses envies de jouer et de multiplier les timbres et les manières, Rosaly ne tardera pas à prendre du volume et diversifier ses techniques et son rapport aux éléments de sa panoplie, notamment de la bouche à la peau et autres réjouissantes impertinences. Quant aux souffleurs, c’est apparemment sans effort, qu’ils confirmeront la fonction déjà éprouvée de The Bridge qui leur a permis de peaufiner et d’approfondir ce transatlantisme fondamental et, du même coup, d’accroître le nombre de locuteurs virtuoses de cet esperanto : la nouvelle musique improvisée. Et puis, last but not least, surprise délicieusement espérée et mélancoliquement écoutée : un conclusif et très respectueux Lonely Womanentonné par le quartette dont l’un des altistes (Jackson) nous confirmait plus tard qu’il était né, comme Ornette Coleman, à Fort Worth (Texas).
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Fred Jackson, Stéphane Payen (saxophone alto), Edward Perraud, Frank Rosaly (dm, percussions).
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Oui, free au sens d’entrée libre et de musique aussi libre(ment improvisée). Avec, ce qui ne gâchait rien et exhaussait cette vertu essentielle, un climat de douceur champêtre printanière agrémenté de bambins et de vêtures quasi estivales. Comme pour nous rappeler ces reportages et pochettes de disques “live” at Music Inn ou dans le jardin du MOMA, sans parler de l’American Center du boulevard Raspail (l’Art Ensemble, Steve Lacy, Braxton, Ginsberg, Ted Joans…) à quoi ce Mona Bismarck American Center commence à succéder de façon prometteuse… Dans l’ensemble (spectateurs et musiciens), la moyenne d’âge est d’ailleurs plus printanière qu’hivernale, et d’emblée les quatre instrumentistes imposent une vivacité irrésistible, favorisée-excitée par le double jeu des idiophones. En même temps, à suivre l’action du double duo (manière d’abrégé du double quartette dont l’inventeur vient de nous laisser à nos foules de solitudes), on pourrait avoir le sentiment d’assister à une pièce de théâtre où les couples se font, se défont, se croisent et s’échangent, mélangeant leurs textes et leurs accents. Si Perraud creuse dès les premières minutes ses envies de jouer et de multiplier les timbres et les manières, Rosaly ne tardera pas à prendre du volume et diversifier ses techniques et son rapport aux éléments de sa panoplie, notamment de la bouche à la peau et autres réjouissantes impertinences. Quant aux souffleurs, c’est apparemment sans effort, qu’ils confirmeront la fonction déjà éprouvée de The Bridge qui leur a permis de peaufiner et d’approfondir ce transatlantisme fondamental et, du même coup, d’accroître le nombre de locuteurs virtuoses de cet esperanto : la nouvelle musique improvisée. Et puis, last but not least, surprise délicieusement espérée et mélancoliquement écoutée : un conclusif et très respectueux Lonely Woman entonné par le quartette dont l’un des altistes (Jackson) nous confirmait plus tard qu’il était né, comme Ornette Coleman, à Fort Worth (Texas).
Philippe Carles
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Fred Jackson, Stéphane Payen (saxophone alto), Edward Perraud, Frank Rosaly (dm, percussions).
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Oui, free au sens d’entrée libre et de musique aussi libre(ment improvisée). Avec, ce qui ne gâchait rien et exhaussait cette vertu essentielle, un climat de douceur champêtre printanière agrémenté de bambins et de vêtures quasi estivales. Comme pour nous rappeler ces reportages et pochettes de disques “live” at Music Inn ou dans le jardin du MOMA, sans parler de l’American Center du boulevard Raspail (l’Art Ensemble, Steve Lacy, Braxton, Ginsberg, Ted Joans…) à quoi ce Mona Bismarck American Center commence à succéder de façon prometteuse… Dans l’ensemble (spectateurs et musiciens), la moyenne d’âge est d’ailleurs plus printanière qu’hivernale, et d’emblée les quatre instrumentistes imposent une vivacité irrésistible, favorisée-excitée par le double jeu des idiophones. En même temps, à suivre l’action du double duo (manière d’abrégé du double quartette dont l’inventeur vient de nous laisser à nos foules de solitudes), on pourrait avoir le sentiment d’assister à une pièce de théâtre où les couples se font, se défont, se croisent et s’échangent, mélangeant leurs textes et leurs accents. Si Perraud creuse dès les premières minutes ses envies de jouer et de multiplier les timbres et les manières, Rosaly ne tardera pas à prendre du volume et diversifier ses techniques et son rapport aux éléments de sa panoplie, notamment de la bouche à la peau et autres réjouissantes impertinences. Quant aux souffleurs, c’est apparemment sans effort, qu’ils confirmeront la fonction déjà éprouvée de The Bridge qui leur a permis de peaufiner et d’approfondir ce transatlantisme fondamental et, du même coup, d’accroître le nombre de locuteurs virtuoses de cet esperanto : la nouvelle musique improvisée. Et puis, last but not least, surprise délicieusement espérée et mélancoliquement écoutée : un conclusif et très respectueux Lonely Womanentonné par le quartette dont l’un des altistes (Jackson) nous confirmait plus tard qu’il était né, comme Ornette Coleman, à Fort Worth (Texas).
Philippe Carles
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Fred Jackson, Stéphane Payen (saxophone alto), Edward Perraud, Frank Rosaly (dm, percussions).
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Oui, free au sens d’entrée libre et de musique aussi libre(ment improvisée). Avec, ce qui ne gâchait rien et exhaussait cette vertu essentielle, un climat de douceur champêtre printanière agrémenté de bambins et de vêtures quasi estivales. Comme pour nous rappeler ces reportages et pochettes de disques “live” at Music Inn ou dans le jardin du MOMA, sans parler de l’American Center du boulevard Raspail (l’Art Ensemble, Steve Lacy, Braxton, Ginsberg, Ted Joans…) à quoi ce Mona Bismarck American Center commence à succéder de façon prometteuse… Dans l’ensemble (spectateurs et musiciens), la moyenne d’âge est d’ailleurs plus printanière qu’hivernale, et d’emblée les quatre instrumentistes imposent une vivacité irrésistible, favorisée-excitée par le double jeu des idiophones. En même temps, à suivre l’action du double duo (manière d’abrégé du double quartette dont l’inventeur vient de nous laisser à nos foules de solitudes), on pourrait avoir le sentiment d’assister à une pièce de théâtre où les couples se font, se défont, se croisent et s’échangent, mélangeant leurs textes et leurs accents. Si Perraud creuse dès les premières minutes ses envies de jouer et de multiplier les timbres et les manières, Rosaly ne tardera pas à prendre du volume et diversifier ses techniques et son rapport aux éléments de sa panoplie, notamment de la bouche à la peau et autres réjouissantes impertinences. Quant aux souffleurs, c’est apparemment sans effort, qu’ils confirmeront la fonction déjà éprouvée de The Bridge qui leur a permis de peaufiner et d’approfondir ce transatlantisme fondamental et, du même coup, d’accroître le nombre de locuteurs virtuoses de cet esperanto : la nouvelle musique improvisée. Et puis, last but not least, surprise délicieusement espérée et mélancoliquement écoutée : un conclusif et très respectueux Lonely Woman entonné par le quartette dont l’un des altistes (Jackson) nous confirmait plus tard qu’il était né, comme Ornette Coleman, à Fort Worth (Texas).
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Fred Jackson, Stéphane Payen (saxophone alto), Edward Perraud, Frank Rosaly (dm, percussions).
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Oui, free au sens d’entrée libre et de musique aussi libre(ment improvisée). Avec, ce qui ne gâchait rien et exhaussait cette vertu essentielle, un climat de douceur champêtre printanière agrémenté de bambins et de vêtures quasi estivales. Comme pour nous rappeler ces reportages et pochettes de disques “live” at Music Inn ou dans le jardin du MOMA, sans parler de l’American Center du boulevard Raspail (l’Art Ensemble, Steve Lacy, Braxton, Ginsberg, Ted Joans…) à quoi ce Mona Bismarck American Center commence à succéder de façon prometteuse… Dans l’ensemble (spectateurs et musiciens), la moyenne d’âge est d’ailleurs plus printanière qu’hivernale, et d’emblée les quatre instrumentistes imposent une vivacité irrésistible, favorisée-excitée par le double jeu des idiophones. En même temps, à suivre l’action du double duo (manière d’abrégé du double quartette dont l’inventeur vient de nous laisser à nos foules de solitudes), on pourrait avoir le sentiment d’assister à une pièce de théâtre où les couples se font, se défont, se croisent et s’échangent, mélangeant leurs textes et leurs accents. Si Perraud creuse dès les premières minutes ses envies de jouer et de multiplier les timbres et les manières, Rosaly ne tardera pas à prendre du volume et diversifier ses techniques et son rapport aux éléments de sa panoplie, notamment de la bouche à la peau et autres réjouissantes impertinences. Quant aux souffleurs, c’est apparemment sans effort, qu’ils confirmeront la fonction déjà éprouvée de The Bridge qui leur a permis de peaufiner et d’approfondir ce transatlantisme fondamental et, du même coup, d’accroître le nombre de locuteurs virtuoses de cet esperanto : la nouvelle musique improvisée. Et puis, last but not least, surprise délicieusement espérée et mélancoliquement écoutée : un conclusif et très respectueux Lonely Womanentonné par le quartette dont l’un des altistes (Jackson) nous confirmait plus tard qu’il était né, comme Ornette Coleman, à Fort Worth (Texas).
Philippe Carles
Photo Alexandre Pierrepont