Le violon éclectique d'Héloïse Lefebvre
Vendredi 15 avril, dans le cadre feutré et boisé du Studio Sextan de Malakoff, la violoniste Héloïse Lefebvre et son groupe ont donné un concert servant aussi de répétition générale à l’enregistrement de leur premier disque sur le label Laborie. La musique proposée se caractérisait par son éclectisme avec des atmosphères intimes et délicates relevant d’un jazz de chambre et une pulsation rock assumée.
Héloïse Lefebvre (violon et compositions), Paul Audoynaud (guitare et compositions), Liron Yariv (violoncelle),Johannes von Ballestrem (piano)
Paul santner (contrebasse), Christian Tschugnall (batterie) au Studio Sextan (Malakoff), vendredi 15 avril 2016
Voici donc un orchestre de musiciens très beaux, très jeunes, très doués (Héloïse Lefebvre a 27 ans, et ses copains semblent dans les mêmes alentours générationnels). Ils vivent à Berlin et proposent une musique ouverte à tous les vents du monde qui enjambe avec insouciance une grande diversité de styles et de registres. La composition du groupe témoigne d’ailleurs de cet éclectisme: un violon, donc, (réalisé par Fabien Gram et portant la signature de Yehudi Menuhin, comme le précisera Héloïse Lefebvre au cours du concert), un violoncelle, une contrebasse d’un côté, et de l’autre, un piano et un fender, une guitare volontiers distordue et un batteur puissant, énergique, volontiers binaire, soit un équilibre soigneusement pensé et pesé entre des instruments d’obédience classique et instruments d’allégeance rock, avec la contrebasse à la charnière de tous ces univers.
Le groupe d’Héloïse Lefebvre prélève donc ses épices et ses parfums dans un grand nombre d’univers différents: le jazz, le classique, le rock et même la musique du monde, avec ce guitariste étonnant, Paul Audoynaud, qui fait un usage très poétique et coloriste de la distorsion, et qui est manifestement aimanté par les musiques d’Amérique latines. Il propose avec Black Stach, troisième morceau du concert, une sorte de tango industriel qu’on croirait joué dans une usine désaffectée de la banlieue de Buenos Aires. En règle générale, j’ai tendance à penser (et à éprouver) que l’accumulation de goûts et de parfums est plus propice au nivellement des saveurs qu’à leur exaltation. Mais ici c’est un peu différent car les compositions sont portées par une énergie irrésistible. Elle se manifeste, à chaque morceau, par des moments de décollage vertical de la musique, où l’on admire la force de propulsion du batteur Christian Tschuggnall, du guitariste Paul Audoynaud, et du contrebassiste Paul Santner.
Ces brusques montées d’énergie coexistent avec des moments plus doux, comme par exemple au début de Méandres où Heloïse Lefebvre explore les nuances de son instrument pour faire naître une atmosphère délicatement suspendue. Parmi les autres beaux moments de la soirée je retiens aussi deux belles compositions (de la plume d’héloïse Lefebvre et de paul Audoynaud). D’abord Toons from Backhood, morceau inspiré par la froidure de l’hiver berlinois avec notamment cette guitar lap-steel du batteur qui évoque irrésistiblement un vent glacé s’engouffrant sous les portes et aux encoignures des fenêtres… Quant à L’echo du songe, la mélodie est exposée avec une grande sensibilité et musicalité par la violoncelliste Liron Yariv. C’est un moment délicieux, un peu trop bref à mon goût (de manière générale, les chorus sont denses mais courts).
On quitte le studio Sextan avec l’impression d’une musique qui avance vite et qui embrasse large. Le lendemain, on discute quelques minutes avec Héloïse Lefebvre juste avant l’enregistrement de son disque pour Laborie. Elle vient de Tours, a reçu une formation classique complétée par l’Ecole de Didider Lockwood. Plusieurs rubans et médailles sont accrochés à son violon (lauréate du prix Stéphane Grappelli 2011, par exemple). Elle confirme que le groupe a été construit dans un souci d’équilibre des forces,pour que les violon et violoncelle puissent rivaliser avec la batterie et la guitare…
Je lui demande les musiques qui l’ont influencée: « En ce moment j’écoute Bill Frisell, surtout quand il joue avec un orchestre de cordes, Mark feldman, Tigran hamasyan…En ce qui concerne ce dernier, j’aime beaucoup les projets musicaux qui sont ancrés dans une tradition musicale particulière, comme l’Arménie pour Tigran Hamasyan. C’est une dimension qui apparaît déjà dans la musique du groupe, et que j’ai envie d’approfondir pour la suite… ».
texte JF Mondot
Dessins AC Alvoët
(autres dessins de jazzmen par AC alvoët visibles sur son site : wwww. annie-claire.com
Par ailleurs, la dessinatrice étant également plasticienne, une exposition, De Pictura, qui retrace ses travaux depuis trois ans, soit une centaine de toiles, lui est consacrée à Château-Thierry jusqu’au 30 avril)
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Vendredi 15 avril, dans le cadre feutré et boisé du Studio Sextan de Malakoff, la violoniste Héloïse Lefebvre et son groupe ont donné un concert servant aussi de répétition générale à l’enregistrement de leur premier disque sur le label Laborie. La musique proposée se caractérisait par son éclectisme avec des atmosphères intimes et délicates relevant d’un jazz de chambre et une pulsation rock assumée.
Héloïse Lefebvre (violon et compositions), Paul Audoynaud (guitare et compositions), Liron Yariv (violoncelle),Johannes von Ballestrem (piano)
Paul santner (contrebasse), Christian Tschugnall (batterie) au Studio Sextan (Malakoff), vendredi 15 avril 2016
Voici donc un orchestre de musiciens très beaux, très jeunes, très doués (Héloïse Lefebvre a 27 ans, et ses copains semblent dans les mêmes alentours générationnels). Ils vivent à Berlin et proposent une musique ouverte à tous les vents du monde qui enjambe avec insouciance une grande diversité de styles et de registres. La composition du groupe témoigne d’ailleurs de cet éclectisme: un violon, donc, (réalisé par Fabien Gram et portant la signature de Yehudi Menuhin, comme le précisera Héloïse Lefebvre au cours du concert), un violoncelle, une contrebasse d’un côté, et de l’autre, un piano et un fender, une guitare volontiers distordue et un batteur puissant, énergique, volontiers binaire, soit un équilibre soigneusement pensé et pesé entre des instruments d’obédience classique et instruments d’allégeance rock, avec la contrebasse à la charnière de tous ces univers.
Le groupe d’Héloïse Lefebvre prélève donc ses épices et ses parfums dans un grand nombre d’univers différents: le jazz, le classique, le rock et même la musique du monde, avec ce guitariste étonnant, Paul Audoynaud, qui fait un usage très poétique et coloriste de la distorsion, et qui est manifestement aimanté par les musiques d’Amérique latines. Il propose avec Black Stach, troisième morceau du concert, une sorte de tango industriel qu’on croirait joué dans une usine désaffectée de la banlieue de Buenos Aires. En règle générale, j’ai tendance à penser (et à éprouver) que l’accumulation de goûts et de parfums est plus propice au nivellement des saveurs qu’à leur exaltation. Mais ici c’est un peu différent car les compositions sont portées par une énergie irrésistible. Elle se manifeste, à chaque morceau, par des moments de décollage vertical de la musique, où l’on admire la force de propulsion du batteur Christian Tschuggnall, du guitariste Paul Audoynaud, et du contrebassiste Paul Santner.
Ces brusques montées d’énergie coexistent avec des moments plus doux, comme par exemple au début de Méandres où Heloïse Lefebvre explore les nuances de son instrument pour faire naître une atmosphère délicatement suspendue. Parmi les autres beaux moments de la soirée je retiens aussi deux belles compositions (de la plume d’héloïse Lefebvre et de paul Audoynaud). D’abord Toons from Backhood, morceau inspiré par la froidure de l’hiver berlinois avec notamment cette guitar lap-steel du batteur qui évoque irrésistiblement un vent glacé s’engouffrant sous les portes et aux encoignures des fenêtres… Quant à L’echo du songe, la mélodie est exposée avec une grande sensibilité et musicalité par la violoncelliste Liron Yariv. C’est un moment délicieux, un peu trop bref à mon goût (de manière générale, les chorus sont denses mais courts).
On quitte le studio Sextan avec l’impression d’une musique qui avance vite et qui embrasse large. Le lendemain, on discute quelques minutes avec Héloïse Lefebvre juste avant l’enregistrement de son disque pour Laborie. Elle vient de Tours, a reçu une formation classique complétée par l’Ecole de Didider Lockwood. Plusieurs rubans et médailles sont accrochés à son violon (lauréate du prix Stéphane Grappelli 2011, par exemple). Elle confirme que le groupe a été construit dans un souci d’équilibre des forces,pour que les violon et violoncelle puissent rivaliser avec la batterie et la guitare…
Je lui demande les musiques qui l’ont influencée: « En ce moment j’écoute Bill Frisell, surtout quand il joue avec un orchestre de cordes, Mark feldman, Tigran hamasyan…En ce qui concerne ce dernier, j’aime beaucoup les projets musicaux qui sont ancrés dans une tradition musicale particulière, comme l’Arménie pour Tigran Hamasyan. C’est une dimension qui apparaît déjà dans la musique du groupe, et que j’ai envie d’approfondir pour la suite… ».
texte JF Mondot
Dessins AC Alvoët
(autres dessins de jazzmen par AC alvoët visibles sur son site : wwww. annie-claire.com
Par ailleurs, la dessinatrice étant également plasticienne, une exposition, De Pictura, qui retrace ses travaux depuis trois ans, soit une centaine de toiles, lui est consacrée à Château-Thierry jusqu’au 30 avril)
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Vendredi 15 avril, dans le cadre feutré et boisé du Studio Sextan de Malakoff, la violoniste Héloïse Lefebvre et son groupe ont donné un concert servant aussi de répétition générale à l’enregistrement de leur premier disque sur le label Laborie. La musique proposée se caractérisait par son éclectisme avec des atmosphères intimes et délicates relevant d’un jazz de chambre et une pulsation rock assumée.
Héloïse Lefebvre (violon et compositions), Paul Audoynaud (guitare et compositions), Liron Yariv (violoncelle),Johannes von Ballestrem (piano)
Paul santner (contrebasse), Christian Tschugnall (batterie) au Studio Sextan (Malakoff), vendredi 15 avril 2016
Voici donc un orchestre de musiciens très beaux, très jeunes, très doués (Héloïse Lefebvre a 27 ans, et ses copains semblent dans les mêmes alentours générationnels). Ils vivent à Berlin et proposent une musique ouverte à tous les vents du monde qui enjambe avec insouciance une grande diversité de styles et de registres. La composition du groupe témoigne d’ailleurs de cet éclectisme: un violon, donc, (réalisé par Fabien Gram et portant la signature de Yehudi Menuhin, comme le précisera Héloïse Lefebvre au cours du concert), un violoncelle, une contrebasse d’un côté, et de l’autre, un piano et un fender, une guitare volontiers distordue et un batteur puissant, énergique, volontiers binaire, soit un équilibre soigneusement pensé et pesé entre des instruments d’obédience classique et instruments d’allégeance rock, avec la contrebasse à la charnière de tous ces univers.
Le groupe d’Héloïse Lefebvre prélève donc ses épices et ses parfums dans un grand nombre d’univers différents: le jazz, le classique, le rock et même la musique du monde, avec ce guitariste étonnant, Paul Audoynaud, qui fait un usage très poétique et coloriste de la distorsion, et qui est manifestement aimanté par les musiques d’Amérique latines. Il propose avec Black Stach, troisième morceau du concert, une sorte de tango industriel qu’on croirait joué dans une usine désaffectée de la banlieue de Buenos Aires. En règle générale, j’ai tendance à penser (et à éprouver) que l’accumulation de goûts et de parfums est plus propice au nivellement des saveurs qu’à leur exaltation. Mais ici c’est un peu différent car les compositions sont portées par une énergie irrésistible. Elle se manifeste, à chaque morceau, par des moments de décollage vertical de la musique, où l’on admire la force de propulsion du batteur Christian Tschuggnall, du guitariste Paul Audoynaud, et du contrebassiste Paul Santner.
Ces brusques montées d’énergie coexistent avec des moments plus doux, comme par exemple au début de Méandres où Heloïse Lefebvre explore les nuances de son instrument pour faire naître une atmosphère délicatement suspendue. Parmi les autres beaux moments de la soirée je retiens aussi deux belles compositions (de la plume d’héloïse Lefebvre et de paul Audoynaud). D’abord Toons from Backhood, morceau inspiré par la froidure de l’hiver berlinois avec notamment cette guitar lap-steel du batteur qui évoque irrésistiblement un vent glacé s’engouffrant sous les portes et aux encoignures des fenêtres… Quant à L’echo du songe, la mélodie est exposée avec une grande sensibilité et musicalité par la violoncelliste Liron Yariv. C’est un moment délicieux, un peu trop bref à mon goût (de manière générale, les chorus sont denses mais courts).
On quitte le studio Sextan avec l’impression d’une musique qui avance vite et qui embrasse large. Le lendemain, on discute quelques minutes avec Héloïse Lefebvre juste avant l’enregistrement de son disque pour Laborie. Elle vient de Tours, a reçu une formation classique complétée par l’Ecole de Didider Lockwood. Plusieurs rubans et médailles sont accrochés à son violon (lauréate du prix Stéphane Grappelli 2011, par exemple). Elle confirme que le groupe a été construit dans un souci d’équilibre des forces,pour que les violon et violoncelle puissent rivaliser avec la batterie et la guitare…
Je lui demande les musiques qui l’ont influencée: « En ce moment j’écoute Bill Frisell, surtout quand il joue avec un orchestre de cordes, Mark feldman, Tigran hamasyan…En ce qui concerne ce dernier, j’aime beaucoup les projets musicaux qui sont ancrés dans une tradition musicale particulière, comme l’Arménie pour Tigran Hamasyan. C’est une dimension qui apparaît déjà dans la musique du groupe, et que j’ai envie d’approfondir pour la suite… ».
texte JF Mondot
Dessins AC Alvoët
(autres dessins de jazzmen par AC alvoët visibles sur son site : wwww. annie-claire.com
Par ailleurs, la dessinatrice étant également plasticienne, une exposition, De Pictura, qui retrace ses travaux depuis trois ans, soit une centaine de toiles, lui est consacrée à Château-Thierry jusqu’au 30 avril)
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Vendredi 15 avril, dans le cadre feutré et boisé du Studio Sextan de Malakoff, la violoniste Héloïse Lefebvre et son groupe ont donné un concert servant aussi de répétition générale à l’enregistrement de leur premier disque sur le label Laborie. La musique proposée se caractérisait par son éclectisme avec des atmosphères intimes et délicates relevant d’un jazz de chambre et une pulsation rock assumée.
Héloïse Lefebvre (violon et compositions), Paul Audoynaud (guitare et compositions), Liron Yariv (violoncelle),Johannes von Ballestrem (piano)
Paul santner (contrebasse), Christian Tschugnall (batterie) au Studio Sextan (Malakoff), vendredi 15 avril 2016
Voici donc un orchestre de musiciens très beaux, très jeunes, très doués (Héloïse Lefebvre a 27 ans, et ses copains semblent dans les mêmes alentours générationnels). Ils vivent à Berlin et proposent une musique ouverte à tous les vents du monde qui enjambe avec insouciance une grande diversité de styles et de registres. La composition du groupe témoigne d’ailleurs de cet éclectisme: un violon, donc, (réalisé par Fabien Gram et portant la signature de Yehudi Menuhin, comme le précisera Héloïse Lefebvre au cours du concert), un violoncelle, une contrebasse d’un côté, et de l’autre, un piano et un fender, une guitare volontiers distordue et un batteur puissant, énergique, volontiers binaire, soit un équilibre soigneusement pensé et pesé entre des instruments d’obédience classique et instruments d’allégeance rock, avec la contrebasse à la charnière de tous ces univers.
Le groupe d’Héloïse Lefebvre prélève donc ses épices et ses parfums dans un grand nombre d’univers différents: le jazz, le classique, le rock et même la musique du monde, avec ce guitariste étonnant, Paul Audoynaud, qui fait un usage très poétique et coloriste de la distorsion, et qui est manifestement aimanté par les musiques d’Amérique latines. Il propose avec Black Stach, troisième morceau du concert, une sorte de tango industriel qu’on croirait joué dans une usine désaffectée de la banlieue de Buenos Aires. En règle générale, j’ai tendance à penser (et à éprouver) que l’accumulation de goûts et de parfums est plus propice au nivellement des saveurs qu’à leur exaltation. Mais ici c’est un peu différent car les compositions sont portées par une énergie irrésistible. Elle se manifeste, à chaque morceau, par des moments de décollage vertical de la musique, où l’on admire la force de propulsion du batteur Christian Tschuggnall, du guitariste Paul Audoynaud, et du contrebassiste Paul Santner.
Ces brusques montées d’énergie coexistent avec des moments plus doux, comme par exemple au début de Méandres où Heloïse Lefebvre explore les nuances de son instrument pour faire naître une atmosphère délicatement suspendue. Parmi les autres beaux moments de la soirée je retiens aussi deux belles compositions (de la plume d’héloïse Lefebvre et de paul Audoynaud). D’abord Toons from Backhood, morceau inspiré par la froidure de l’hiver berlinois avec notamment cette guitar lap-steel du batteur qui évoque irrésistiblement un vent glacé s’engouffrant sous les portes et aux encoignures des fenêtres… Quant à L’echo du songe, la mélodie est exposée avec une grande sensibilité et musicalité par la violoncelliste Liron Yariv. C’est un moment délicieux, un peu trop bref à mon goût (de manière générale, les chorus sont denses mais courts).
On quitte le studio Sextan avec l’impression d’une musique qui avance vite et qui embrasse large. Le lendemain, on discute quelques minutes avec Héloïse Lefebvre juste avant l’enregistrement de son disque pour Laborie. Elle vient de Tours, a reçu une formation classique complétée par l’Ecole de Didider Lockwood. Plusieurs rubans et médailles sont accrochés à son violon (lauréate du prix Stéphane Grappelli 2011, par exemple). Elle confirme que le groupe a été construit dans un souci d’équilibre des forces,pour que les violon et violoncelle puissent rivaliser avec la batterie et la guitare…
Je lui demande les musiques qui l’ont influencée: « En ce moment j’écoute Bill Frisell, surtout quand il joue avec un orchestre de cordes, Mark feldman, Tigran hamasyan…En ce qui concerne ce dernier, j’aime beaucoup les projets musicaux qui sont ancrés dans une tradition musicale particulière, comme l’Arménie pour Tigran Hamasyan. C’est une dimension qui apparaît déjà dans la musique du groupe, et que j’ai envie d’approfondir pour la suite… ».
texte JF Mondot
Dessins AC Alvoët
(autres dessins de jazzmen par AC alvoët visibles sur son site : wwww. annie-claire.com
Par ailleurs, la dessinatrice étant également plasticienne, une exposition, De Pictura, qui retrace ses travaux depuis trois ans, soit une centaine de toiles, lui est consacrée à Château-Thierry jusqu’au 30 avril)