Branford Marsalis et Kurt Elling, l’un chante, l’autre aussi (et inversement)
Le souvenir ému d’un concert tient à peu de choses. Il y a vingt-cinq ans, celui du trio de Branford Marsalis, au New Morning déjà, avait basculé dans la folie lors du second set, après qu’une bande young cats, avec à sa tête un certain Roy Hargrove, ait été conviée par le saxophoniste pour jammer sur des tempos frénétiques – fait rare au “New”. Ce soir, le concert du Branford Marsalis Quartet Featuring Kurt Elling est passé dans une autre dimension grâce à Sting.
Sting était là ?! Passé dire « hello » à son ancien saxophoniste ? On se calme. Sting était là, mais via l’une de ses récentes chansons, Practical Arrangement, peut-être l’une des plus belles de son fastueux catalogue de pop songs destinées à devenir des standards de jazz (pas toutes, mais quand même, un certain nombre). Practical Arrangement figure dans le disque que viennent de publier Marsalis et Elling, “Upward Spiral” (Okeh / Sony Music) et, sur scène, c’est un grand moment de classe et d’émotion mêlées.
Avec sa gouaille et sa sophistication héritées de Jon Hendricks, d’Eddie Jefferson et de Mark Murphy (entre autres), le vocaliste chicagoan s’est délicatement imposé non comme “un chanteur accompagné par un super quartette”, mais comme le cinquième membre du groupe, musicalement aussi impliqué qu’un instrumentiste. L’extrême musicalité de Kurt Elling “ouvre” chaque chanson, et sa voix s’accorde à merveille avec celle du leader qui, souvent, se retrouve ainsi à la place du chanteur : ça tombe bien, puisque son saxophone (ténor et soprano) gagne toujours plus en profondeur de chant.
Kurt Elling Featuring le Branford Marsalis Quartet a aussi interprété I’m A Fool To Want You (en duo ténor/voix, comme sur le disque), Cassandra Song (solo inspiré du désormais vétéran Joey Calderazzo au piano), Só Tinha De Ser Com Você et There’s A Boat Dats Leavin’ Soon For New York. On était bien.|Le souvenir ému d’un concert tient à peu de choses. Il y a vingt-cinq ans, celui du trio de Branford Marsalis, au New Morning déjà, avait basculé dans la folie lors du second set, après qu’une bande young cats, avec à sa tête un certain Roy Hargrove, ait été conviée par le saxophoniste pour jammer sur des tempos frénétiques – fait rare au “New”. Ce soir, le concert du Branford Marsalis Quartet Featuring Kurt Elling est passé dans une autre dimension grâce à Sting.
Sting était là ?! Passé dire « hello » à son ancien saxophoniste ? On se calme. Sting était là, mais via l’une de ses récentes chansons, Practical Arrangement, peut-être l’une des plus belles de son fastueux catalogue de pop songs destinées à devenir des standards de jazz (pas toutes, mais quand même, un certain nombre). Practical Arrangement figure dans le disque que viennent de publier Marsalis et Elling, “Upward Spiral” (Okeh / Sony Music) et, sur scène, c’est un grand moment de classe et d’émotion mêlées.
Avec sa gouaille et sa sophistication héritées de Jon Hendricks, d’Eddie Jefferson et de Mark Murphy (entre autres), le vocaliste chicagoan s’est délicatement imposé non comme “un chanteur accompagné par un super quartette”, mais comme le cinquième membre du groupe, musicalement aussi impliqué qu’un instrumentiste. L’extrême musicalité de Kurt Elling “ouvre” chaque chanson, et sa voix s’accorde à merveille avec celle du leader qui, souvent, se retrouve ainsi à la place du chanteur : ça tombe bien, puisque son saxophone (ténor et soprano) gagne toujours plus en profondeur de chant.
Kurt Elling Featuring le Branford Marsalis Quartet a aussi interprété I’m A Fool To Want You (en duo ténor/voix, comme sur le disque), Cassandra Song (solo inspiré du désormais vétéran Joey Calderazzo au piano), Só Tinha De Ser Com Você et There’s A Boat Dats Leavin’ Soon For New York. On était bien.|Le souvenir ému d’un concert tient à peu de choses. Il y a vingt-cinq ans, celui du trio de Branford Marsalis, au New Morning déjà, avait basculé dans la folie lors du second set, après qu’une bande young cats, avec à sa tête un certain Roy Hargrove, ait été conviée par le saxophoniste pour jammer sur des tempos frénétiques – fait rare au “New”. Ce soir, le concert du Branford Marsalis Quartet Featuring Kurt Elling est passé dans une autre dimension grâce à Sting.
Sting était là ?! Passé dire « hello » à son ancien saxophoniste ? On se calme. Sting était là, mais via l’une de ses récentes chansons, Practical Arrangement, peut-être l’une des plus belles de son fastueux catalogue de pop songs destinées à devenir des standards de jazz (pas toutes, mais quand même, un certain nombre). Practical Arrangement figure dans le disque que viennent de publier Marsalis et Elling, “Upward Spiral” (Okeh / Sony Music) et, sur scène, c’est un grand moment de classe et d’émotion mêlées.
Avec sa gouaille et sa sophistication héritées de Jon Hendricks, d’Eddie Jefferson et de Mark Murphy (entre autres), le vocaliste chicagoan s’est délicatement imposé non comme “un chanteur accompagné par un super quartette”, mais comme le cinquième membre du groupe, musicalement aussi impliqué qu’un instrumentiste. L’extrême musicalité de Kurt Elling “ouvre” chaque chanson, et sa voix s’accorde à merveille avec celle du leader qui, souvent, se retrouve ainsi à la place du chanteur : ça tombe bien, puisque son saxophone (ténor et soprano) gagne toujours plus en profondeur de chant.
Kurt Elling Featuring le Branford Marsalis Quartet a aussi interprété I’m A Fool To Want You (en duo ténor/voix, comme sur le disque), Cassandra Song (solo inspiré du désormais vétéran Joey Calderazzo au piano), Só Tinha De Ser Com Você et There’s A Boat Dats Leavin’ Soon For New York. On était bien.|Le souvenir ému d’un concert tient à peu de choses. Il y a vingt-cinq ans, celui du trio de Branford Marsalis, au New Morning déjà, avait basculé dans la folie lors du second set, après qu’une bande young cats, avec à sa tête un certain Roy Hargrove, ait été conviée par le saxophoniste pour jammer sur des tempos frénétiques – fait rare au “New”. Ce soir, le concert du Branford Marsalis Quartet Featuring Kurt Elling est passé dans une autre dimension grâce à Sting.
Sting était là ?! Passé dire « hello » à son ancien saxophoniste ? On se calme. Sting était là, mais via l’une de ses récentes chansons, Practical Arrangement, peut-être l’une des plus belles de son fastueux catalogue de pop songs destinées à devenir des standards de jazz (pas toutes, mais quand même, un certain nombre). Practical Arrangement figure dans le disque que viennent de publier Marsalis et Elling, “Upward Spiral” (Okeh / Sony Music) et, sur scène, c’est un grand moment de classe et d’émotion mêlées.
Avec sa gouaille et sa sophistication héritées de Jon Hendricks, d’Eddie Jefferson et de Mark Murphy (entre autres), le vocaliste chicagoan s’est délicatement imposé non comme “un chanteur accompagné par un super quartette”, mais comme le cinquième membre du groupe, musicalement aussi impliqué qu’un instrumentiste. L’extrême musicalité de Kurt Elling “ouvre” chaque chanson, et sa voix s’accorde à merveille avec celle du leader qui, souvent, se retrouve ainsi à la place du chanteur : ça tombe bien, puisque son saxophone (ténor et soprano) gagne toujours plus en profondeur de chant.
Kurt Elling Featuring le Branford Marsalis Quartet a aussi interprété I’m A Fool To Want You (en duo ténor/voix, comme sur le disque), Cassandra Song (solo inspiré du désormais vétéran Joey Calderazzo au piano), Só Tinha De Ser Com Você et There’s A Boat Dats Leavin’ Soon For New York. On était bien.