Rhinojazz(s), le jazz en grand format
Europe, Etats-Unis, Asie, jazz, soul, blues : ce n’est pas pour rien que le festival au rhinocéros conjugue son jazz au pluriel, au point qu’on risque d’avoir du mal à savoir où donner de la tête pendant ces quelques semaines de musique.
Parmi les têtes d’affiche françaises de cette nouvelle édition, on ne saurait oublier la harpiste-caméléon Laura Perrudin (le 2 octobre), le quintette de Michel Portal (le 9), le trio de Théo Ceccaldi autour d’un répertoire consacré au grand Django Reinhardt ou celui de Raphaël Imbert, consacré à son projet “Bach Coltrane”.
Mais les artistes étrangers ne leur laisseront pas leur part : l’un des évènements de cette rentrée jazz tous festivals confondus, la venue du trompettiste Theo Croker le 16 octobre, dont le nouvel album “BLK2LIFE : A Future Past” s’impose comme le sommet de sa discographie. Puis (plus tardivement, le 18 novembre) le contrebassiste Kyle Eastwood, dont l’adaptation au format quintette jazz de ses thèmes de musique de film préféré lui vaut un succès qui ne s’est jamais démenti. Et puis, l
On profitera aussi du Grand Barouf, le parcours pluri-artistique imaginé par les organisateurs mêlant concerts, expositions, conférences et projections au sein de la Grande Usine Créative de Saint-Etienne. Une sacré fête pour prendre sa revanche sur la trop longue absence du jazz live !