Jazz live
Publié le 28 Juin 2012

Avishai Cohen au Café de la Danse

Avishai Cohen est de retour avec un projet duo contrebasse-piano intitulé Duende. Accompagné du jeune pianiste israëlien, Nitai Hershokovits, il était au Café de la Danse ce jeudi 28 juin. Les deux musiciens ont partagé leurs instants musicaux avec une extrême délectation.

 

 

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Photos © Noé Termine 

 

On retrouve bien évidement le style vaporeux du contrebassiste, fait de lignes harmoniques conçues comme des nappes. Sa musique respire plus et (re)trouve sa beauté dans les silences. Le pianiste de vingt-quatre ans, qui jouait pour la première fois à Paris, a fait preuve d’un grand respect pour son ainé, semblant parfois même hésiter à lâcher prise. Il ne manque pourtant pas de talent, car « Il a le swing », comme le répètera à de nombreuses reprises le contrebassiste, comme pour souligner l’évidence. Le jeune homme n’a pas encore un style bien à lui, mais son maître du moment l’encourage, et lui laisse un espace qu’il habitera sans doute progressivement.

 

Entre les morceaux d’Avishai Cohen et les reprises de grands maîtres, de John Coltrane à Thelonious Monk en passant par Cole Porter, pas de « à la manière de », mais plutôt un défi dans l’interprétation de vieux morceaux qui ont marqué leur temps. On placerait ce concert – tout autant que le disque – quelque part entre Tigran Hamasyan pour la mise en espace d’ambiances, et Eric Legnini (ce dernier a lui aussi épuré sa formation et gravé en trio, “Ballads”, sur lequel il reprend des classiques de Duke Ellington). Avishai Cohen a ravi une salle comble et a permis de découvrir un pianiste qu’il faudra suivre.

 

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Avishai Cohen est de retour avec un projet duo contrebasse-piano intitulé Duende. Accompagné du jeune pianiste israëlien, Nitai Hershokovits, il était au Café de la Danse ce jeudi 28 juin. Les deux musiciens ont partagé leurs instants musicaux avec une extrême délectation.

 

 

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Photos © Noé Termine 

 

On retrouve bien évidement le style vaporeux du contrebassiste, fait de lignes harmoniques conçues comme des nappes. Sa musique respire plus et (re)trouve sa beauté dans les silences. Le pianiste de vingt-quatre ans, qui jouait pour la première fois à Paris, a fait preuve d’un grand respect pour son ainé, semblant parfois même hésiter à lâcher prise. Il ne manque pourtant pas de talent, car « Il a le swing », comme le répètera à de nombreuses reprises le contrebassiste, comme pour souligner l’évidence. Le jeune homme n’a pas encore un style bien à lui, mais son maître du moment l’encourage, et lui laisse un espace qu’il habitera sans doute progressivement.

 

Entre les morceaux d’Avishai Cohen et les reprises de grands maîtres, de John Coltrane à Thelonious Monk en passant par Cole Porter, pas de « à la manière de », mais plutôt un défi dans l’interprétation de vieux morceaux qui ont marqué leur temps. On placerait ce concert – tout autant que le disque – quelque part entre Tigran Hamasyan pour la mise en espace d’ambiances, et Eric Legnini (ce dernier a lui aussi épuré sa formation et gravé en trio, “Ballads”, sur lequel il reprend des classiques de Duke Ellington). Avishai Cohen a ravi une salle comble et a permis de découvrir un pianiste qu’il faudra suivre.

 

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Avishai Cohen est de retour avec un projet duo contrebasse-piano intitulé Duende. Accompagné du jeune pianiste israëlien, Nitai Hershokovits, il était au Café de la Danse ce jeudi 28 juin. Les deux musiciens ont partagé leurs instants musicaux avec une extrême délectation.

 

 

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Photos © Noé Termine 

 

On retrouve bien évidement le style vaporeux du contrebassiste, fait de lignes harmoniques conçues comme des nappes. Sa musique respire plus et (re)trouve sa beauté dans les silences. Le pianiste de vingt-quatre ans, qui jouait pour la première fois à Paris, a fait preuve d’un grand respect pour son ainé, semblant parfois même hésiter à lâcher prise. Il ne manque pourtant pas de talent, car « Il a le swing », comme le répètera à de nombreuses reprises le contrebassiste, comme pour souligner l’évidence. Le jeune homme n’a pas encore un style bien à lui, mais son maître du moment l’encourage, et lui laisse un espace qu’il habitera sans doute progressivement.

 

Entre les morceaux d’Avishai Cohen et les reprises de grands maîtres, de John Coltrane à Thelonious Monk en passant par Cole Porter, pas de « à la manière de », mais plutôt un défi dans l’interprétation de vieux morceaux qui ont marqué leur temps. On placerait ce concert – tout autant que le disque – quelque part entre Tigran Hamasyan pour la mise en espace d’ambiances, et Eric Legnini (ce dernier a lui aussi épuré sa formation et gravé en trio, “Ballads”, sur lequel il reprend des classiques de Duke Ellington). Avishai Cohen a ravi une salle comble et a permis de découvrir un pianiste qu’il faudra suivre.

 

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Avishai Cohen est de retour avec un projet duo contrebasse-piano intitulé Duende. Accompagné du jeune pianiste israëlien, Nitai Hershokovits, il était au Café de la Danse ce jeudi 28 juin. Les deux musiciens ont partagé leurs instants musicaux avec une extrême délectation.

 

 

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Photos © Noé Termine 

 

On retrouve bien évidement le style vaporeux du contrebassiste, fait de lignes harmoniques conçues comme des nappes. Sa musique respire plus et (re)trouve sa beauté dans les silences. Le pianiste de vingt-quatre ans, qui jouait pour la première fois à Paris, a fait preuve d’un grand respect pour son ainé, semblant parfois même hésiter à lâcher prise. Il ne manque pourtant pas de talent, car « Il a le swing », comme le répètera à de nombreuses reprises le contrebassiste, comme pour souligner l’évidence. Le jeune homme n’a pas encore un style bien à lui, mais son maître du moment l’encourage, et lui laisse un espace qu’il habitera sans doute progressivement.

 

Entre les morceaux d’Avishai Cohen et les reprises de grands maîtres, de John Coltrane à Thelonious Monk en passant par Cole Porter, pas de « à la manière de », mais plutôt un défi dans l’interprétation de vieux morceaux qui ont marqué leur temps. On placerait ce concert – tout autant que le disque – quelque part entre Tigran Hamasyan pour la mise en espace d’ambiances, et Eric Legnini (ce dernier a lui aussi épuré sa formation et gravé en trio, “Ballads”, sur lequel il reprend des classiques de Duke Ellington). Avishai Cohen a ravi une salle comble et a permis de découvrir un pianiste qu’il faudra suivre.