Concert sur le pouce n° 11, Bruno Maurice & Jacques Di Donato, Centre St Pierre à Bordeaux
Vendredi 27 janvier 2017, 12.30. Le Centre Social St Pierre, à deux pas de chez moi, se remplit de personnes de tous âges et de toutes conditions. L’entrée est libre, la participation aussi. On peut apporter son sandwich, son bol de soupe, sa barre de céréales. Devant une carte du monde qui symbolise l’échange, le rapprochement des peuples, Bruno Maurice (accordéon, enseignant au CNR de région) et Jacques Di Donato (cl) présentent un récital désormais bien au point, dont j’ai déjà vanté ailleurs les mérites.
Bruno Maurice (acc), Jacques Di Donato (cl), « Man On The Road »
C’est une circulation, et même s’ils ont « supprimé » le Piazzolla, ils ont cet art suprême de rendre accessible, mieux encore, évidente, la musique improvisée qu’ils inventent, puis doucement ramènent vers des airs mieux connus, pour finir dans une ambiance de bal populaire à rallumer les lampions. Voilà. Si vous voulez une illustration musicale de ce que l’art le plus vif est aussi (pour peu qu’on y mette pas mal de soi) le mieux partagé, ce duo est le votre. C’est comme le disait Descartes à propos de la raison, d’ailleurs c’est normal puisque l’idée de ces concerts « sur le pouce », voués à la musique « classique » est venue de Marianne Muglioni, petite-fille d’un philosophe inspecteur qui me fit passer la CAPES pratique en 1966… Vous le croyez ? J’espère.
Beñat Achiary est là, qui anime un stage de chant dans le même lieu, cette même dernière semaine de janvier 2017. Ils mangent un bout « sur le pouce », vite, car le train n’attendra pas. Messieurs à bientôt j’espère, ici, là, ou encore ailleurs. On vous embrasse.
Philippe Méziat|Vendredi 27 janvier 2017, 12.30. Le Centre Social St Pierre, à deux pas de chez moi, se remplit de personnes de tous âges et de toutes conditions. L’entrée est libre, la participation aussi. On peut apporter son sandwich, son bol de soupe, sa barre de céréales. Devant une carte du monde qui symbolise l’échange, le rapprochement des peuples, Bruno Maurice (accordéon, enseignant au CNR de région) et Jacques Di Donato (cl) présentent un récital désormais bien au point, dont j’ai déjà vanté ailleurs les mérites.
Bruno Maurice (acc), Jacques Di Donato (cl), « Man On The Road »
C’est une circulation, et même s’ils ont « supprimé » le Piazzolla, ils ont cet art suprême de rendre accessible, mieux encore, évidente, la musique improvisée qu’ils inventent, puis doucement ramènent vers des airs mieux connus, pour finir dans une ambiance de bal populaire à rallumer les lampions. Voilà. Si vous voulez une illustration musicale de ce que l’art le plus vif est aussi (pour peu qu’on y mette pas mal de soi) le mieux partagé, ce duo est le votre. C’est comme le disait Descartes à propos de la raison, d’ailleurs c’est normal puisque l’idée de ces concerts « sur le pouce », voués à la musique « classique » est venue de Marianne Muglioni, petite-fille d’un philosophe inspecteur qui me fit passer la CAPES pratique en 1966… Vous le croyez ? J’espère.
Beñat Achiary est là, qui anime un stage de chant dans le même lieu, cette même dernière semaine de janvier 2017. Ils mangent un bout « sur le pouce », vite, car le train n’attendra pas. Messieurs à bientôt j’espère, ici, là, ou encore ailleurs. On vous embrasse.
Philippe Méziat|Vendredi 27 janvier 2017, 12.30. Le Centre Social St Pierre, à deux pas de chez moi, se remplit de personnes de tous âges et de toutes conditions. L’entrée est libre, la participation aussi. On peut apporter son sandwich, son bol de soupe, sa barre de céréales. Devant une carte du monde qui symbolise l’échange, le rapprochement des peuples, Bruno Maurice (accordéon, enseignant au CNR de région) et Jacques Di Donato (cl) présentent un récital désormais bien au point, dont j’ai déjà vanté ailleurs les mérites.
Bruno Maurice (acc), Jacques Di Donato (cl), « Man On The Road »
C’est une circulation, et même s’ils ont « supprimé » le Piazzolla, ils ont cet art suprême de rendre accessible, mieux encore, évidente, la musique improvisée qu’ils inventent, puis doucement ramènent vers des airs mieux connus, pour finir dans une ambiance de bal populaire à rallumer les lampions. Voilà. Si vous voulez une illustration musicale de ce que l’art le plus vif est aussi (pour peu qu’on y mette pas mal de soi) le mieux partagé, ce duo est le votre. C’est comme le disait Descartes à propos de la raison, d’ailleurs c’est normal puisque l’idée de ces concerts « sur le pouce », voués à la musique « classique » est venue de Marianne Muglioni, petite-fille d’un philosophe inspecteur qui me fit passer la CAPES pratique en 1966… Vous le croyez ? J’espère.
Beñat Achiary est là, qui anime un stage de chant dans le même lieu, cette même dernière semaine de janvier 2017. Ils mangent un bout « sur le pouce », vite, car le train n’attendra pas. Messieurs à bientôt j’espère, ici, là, ou encore ailleurs. On vous embrasse.
Philippe Méziat|Vendredi 27 janvier 2017, 12.30. Le Centre Social St Pierre, à deux pas de chez moi, se remplit de personnes de tous âges et de toutes conditions. L’entrée est libre, la participation aussi. On peut apporter son sandwich, son bol de soupe, sa barre de céréales. Devant une carte du monde qui symbolise l’échange, le rapprochement des peuples, Bruno Maurice (accordéon, enseignant au CNR de région) et Jacques Di Donato (cl) présentent un récital désormais bien au point, dont j’ai déjà vanté ailleurs les mérites.
Bruno Maurice (acc), Jacques Di Donato (cl), « Man On The Road »
C’est une circulation, et même s’ils ont « supprimé » le Piazzolla, ils ont cet art suprême de rendre accessible, mieux encore, évidente, la musique improvisée qu’ils inventent, puis doucement ramènent vers des airs mieux connus, pour finir dans une ambiance de bal populaire à rallumer les lampions. Voilà. Si vous voulez une illustration musicale de ce que l’art le plus vif est aussi (pour peu qu’on y mette pas mal de soi) le mieux partagé, ce duo est le votre. C’est comme le disait Descartes à propos de la raison, d’ailleurs c’est normal puisque l’idée de ces concerts « sur le pouce », voués à la musique « classique » est venue de Marianne Muglioni, petite-fille d’un philosophe inspecteur qui me fit passer la CAPES pratique en 1966… Vous le croyez ? J’espère.
Beñat Achiary est là, qui anime un stage de chant dans le même lieu, cette même dernière semaine de janvier 2017. Ils mangent un bout « sur le pouce », vite, car le train n’attendra pas. Messieurs à bientôt j’espère, ici, là, ou encore ailleurs. On vous embrasse.
Philippe Méziat