Das Kapital à Oloron
Dans la coquette sous-préfecture béarnaise, Das Kapital a séduit un auditoire composé en très forte majorité d’un public qui ne connaissait pas son travail. A l’arrivée… une découverte étonnée et jubilatoire. Trois rappels enthousiastes: que dire de plus!
Un samedi soir de premiers frimas hivernaux (moins 2 degrés à la sortie du concert…) et de rues désertes, une salle emplie aux 2/3 est venue écouter, dans le bel et chaleureux Espace Jéliote, l’assez incroyable et a-typique trio franco-germano-danois : Das Kapital (étonnante et intrigante appellation).
Le Service Culturel du Piémont Oloronais proposait pour 2016/2017 une programmation originale autour d’une trentaine de propositions (théâtre, marionnettes, musique, chanson, humour…). Das Kapital était le seul concert proche de l’univers jazzy. « Musique improvisée européenne » ou « Improvisations Libres », sous influences multiformes, conviendraient mieux pour définir leur approche à dominante jazz indubitable dans l’esprit (impros, énergie) mais pimentée de rock, folk, country, blue grass (un chouia..), opéras « brechtiens », musique contemporaine et de bien d’autres choses surprenantes (certains érudits branchouilles parlent à leur propos d’une influence « twang » ! terme à googeliser pour en savoir, peut-être, plus…).
Daniel Erdmann (ts,ss), Hasse Poulsen (g), Edward Perraud (dr, perc). Oloron 3 décembre.
Le répertoire du concert était principalement centré sur les thèmes de leur dernier disque (qui existe en 2 versions : vinyl et cd) : A Kind of Red. Un album couvert de louanges dans de nombreux médias, spécialisés ou généralistes. Il y aurait donc désormais dans l’espace de la musique improvisée le Kind of Blue de Miles Davis (1959) et…le Kind of Red de Das Kapital (2015 ) ! Un « classique » et un pas tout à fait « classique » encore! Comparaison audacieuse proposée par Yvan Duvivier dans le Ouest France Dimanche du 3 janvier 2016.
Toutes les compositions sont originales à tous les sens du terme : inédites dans leurs constructions et souvent excentriques dans leurs développements…Le trio (sans contrebasse) est basé sur des personnalités affirmées et fort différentes.
Daniel Erdmann aux saxophones ténor et soprano joue d’une manière assez proche des grands du ténor mainstream. Son généreux, « calme », sensuel qui dérape rarement. Hasse Poulsen «envoie du bois » comme ont dit lorsqu’on commente (un peu facilement et rapidement) des concerts où le guitariste, comme lui, dépote. Edward Perraud, hyper actif, est littéralement sidérant de la première à la dernière minute. Groove d’enfer, colorations toujours surprenante de ses « riffs » percussifs. Jeu puissant. Gestuelle spectaculaire. Gimmicks surprenants mais jamais gratuits et toujours en parfaite adéquation avec le climat du morceau. E. Perraud est aussi un compositeur épatant et drôle : Western, Iris, Au fond des Yeux : thèmes « conceptuels » présentés avec un humour décalé aux accents surréalistes. Au fond des Yeux est dédicacé au photographe Jacques Henri Lartigue. Qui fut un éternel dandy.
Edward, un dandy de la percussion ? On peut tout à fait le penser. Pas ironiquement mais fort positivement : élégance, second degré, cocasserie.
Das Kapital « rue dans les brancards » depuis 2001.. Déjà.
Les Pyrénées lui réussissent : en 2001, justement, à Luz Saint Sauveur le trio qui venait d’être créé nous avait fait tomber de l’armoire lors d’un concert donné au pied d’une centrale hydro-électrique en pleine montagne. Quinze ans plus tard le groupe étonne toujours. Démarche identique mais répertoire renouvelé. Gaieté, allégresse, jubilation pendant pratiquement 120 minutes.
Au rappel, bien sûr, l‘Internationale dans une version aérienne et subtile.
Philippe Méziat écrivait en décembre 2015 dans une chronique Citizen Jazz, consacrée à A Kind of Red, qu’il aimait beaucoup « l’ambiance un peu férocement grinçante de « Macht Nix, In Der Mitte Ist Noch Platz », avec ses effets d’échos entre ténor et soprano, mais aussi la ballade paresseuse appelée « How Long, So Low », et le côté râpeux et janséniste de la pièce finale, « Nothing Will Ever Be Enough Again ». En espérant pouvoir entendre ces pièces en concert ! ».
Cher Philippe à Oloron ton vœu aurait pu être pleinement exaucé… Vive le « live »…
Photo : Edward Perraud, Jackie Challa, Daniel Herdmann, Hasse Poulsen…
Après le concert, dédicaces joyeuses et détendues des disques dans le hall de la salle Jéliote. Jackie Challa, la directrice heureuse et soulagée du beau succès obtenu par le trio. Avant le concert elle se demandait comment allaient réagir ses fidèles adhérents à une proposition aussi décoiffante…
Pierre-Henri Ardonceau
|Dans la coquette sous-préfecture béarnaise, Das Kapital a séduit un auditoire composé en très forte majorité d’un public qui ne connaissait pas son travail. A l’arrivée… une découverte étonnée et jubilatoire. Trois rappels enthousiastes: que dire de plus!
Un samedi soir de premiers frimas hivernaux (moins 2 degrés à la sortie du concert…) et de rues désertes, une salle emplie aux 2/3 est venue écouter, dans le bel et chaleureux Espace Jéliote, l’assez incroyable et a-typique trio franco-germano-danois : Das Kapital (étonnante et intrigante appellation).
Le Service Culturel du Piémont Oloronais proposait pour 2016/2017 une programmation originale autour d’une trentaine de propositions (théâtre, marionnettes, musique, chanson, humour…). Das Kapital était le seul concert proche de l’univers jazzy. « Musique improvisée européenne » ou « Improvisations Libres », sous influences multiformes, conviendraient mieux pour définir leur approche à dominante jazz indubitable dans l’esprit (impros, énergie) mais pimentée de rock, folk, country, blue grass (un chouia..), opéras « brechtiens », musique contemporaine et de bien d’autres choses surprenantes (certains érudits branchouilles parlent à leur propos d’une influence « twang » ! terme à googeliser pour en savoir, peut-être, plus…).
Daniel Erdmann (ts,ss), Hasse Poulsen (g), Edward Perraud (dr, perc). Oloron 3 décembre.
Le répertoire du concert était principalement centré sur les thèmes de leur dernier disque (qui existe en 2 versions : vinyl et cd) : A Kind of Red. Un album couvert de louanges dans de nombreux médias, spécialisés ou généralistes. Il y aurait donc désormais dans l’espace de la musique improvisée le Kind of Blue de Miles Davis (1959) et…le Kind of Red de Das Kapital (2015 ) ! Un « classique » et un pas tout à fait « classique » encore! Comparaison audacieuse proposée par Yvan Duvivier dans le Ouest France Dimanche du 3 janvier 2016.
Toutes les compositions sont originales à tous les sens du terme : inédites dans leurs constructions et souvent excentriques dans leurs développements…Le trio (sans contrebasse) est basé sur des personnalités affirmées et fort différentes.
Daniel Erdmann aux saxophones ténor et soprano joue d’une manière assez proche des grands du ténor mainstream. Son généreux, « calme », sensuel qui dérape rarement. Hasse Poulsen «envoie du bois » comme ont dit lorsqu’on commente (un peu facilement et rapidement) des concerts où le guitariste, comme lui, dépote. Edward Perraud, hyper actif, est littéralement sidérant de la première à la dernière minute. Groove d’enfer, colorations toujours surprenante de ses « riffs » percussifs. Jeu puissant. Gestuelle spectaculaire. Gimmicks surprenants mais jamais gratuits et toujours en parfaite adéquation avec le climat du morceau. E. Perraud est aussi un compositeur épatant et drôle : Western, Iris, Au fond des Yeux : thèmes « conceptuels » présentés avec un humour décalé aux accents surréalistes. Au fond des Yeux est dédicacé au photographe Jacques Henri Lartigue. Qui fut un éternel dandy.
Edward, un dandy de la percussion ? On peut tout à fait le penser. Pas ironiquement mais fort positivement : élégance, second degré, cocasserie.
Das Kapital « rue dans les brancards » depuis 2001.. Déjà.
Les Pyrénées lui réussissent : en 2001, justement, à Luz Saint Sauveur le trio qui venait d’être créé nous avait fait tomber de l’armoire lors d’un concert donné au pied d’une centrale hydro-électrique en pleine montagne. Quinze ans plus tard le groupe étonne toujours. Démarche identique mais répertoire renouvelé. Gaieté, allégresse, jubilation pendant pratiquement 120 minutes.
Au rappel, bien sûr, l‘Internationale dans une version aérienne et subtile.
Philippe Méziat écrivait en décembre 2015 dans une chronique Citizen Jazz, consacrée à A Kind of Red, qu’il aimait beaucoup « l’ambiance un peu férocement grinçante de « Macht Nix, In Der Mitte Ist Noch Platz », avec ses effets d’échos entre ténor et soprano, mais aussi la ballade paresseuse appelée « How Long, So Low », et le côté râpeux et janséniste de la pièce finale, « Nothing Will Ever Be Enough Again ». En espérant pouvoir entendre ces pièces en concert ! ».
Cher Philippe à Oloron ton vœu aurait pu être pleinement exaucé… Vive le « live »…
Photo : Edward Perraud, Jackie Challa, Daniel Herdmann, Hasse Poulsen…
Après le concert, dédicaces joyeuses et détendues des disques dans le hall de la salle Jéliote. Jackie Challa, la directrice heureuse et soulagée du beau succès obtenu par le trio. Avant le concert elle se demandait comment allaient réagir ses fidèles adhérents à une proposition aussi décoiffante…
Pierre-Henri Ardonceau
|Dans la coquette sous-préfecture béarnaise, Das Kapital a séduit un auditoire composé en très forte majorité d’un public qui ne connaissait pas son travail. A l’arrivée… une découverte étonnée et jubilatoire. Trois rappels enthousiastes: que dire de plus!
Un samedi soir de premiers frimas hivernaux (moins 2 degrés à la sortie du concert…) et de rues désertes, une salle emplie aux 2/3 est venue écouter, dans le bel et chaleureux Espace Jéliote, l’assez incroyable et a-typique trio franco-germano-danois : Das Kapital (étonnante et intrigante appellation).
Le Service Culturel du Piémont Oloronais proposait pour 2016/2017 une programmation originale autour d’une trentaine de propositions (théâtre, marionnettes, musique, chanson, humour…). Das Kapital était le seul concert proche de l’univers jazzy. « Musique improvisée européenne » ou « Improvisations Libres », sous influences multiformes, conviendraient mieux pour définir leur approche à dominante jazz indubitable dans l’esprit (impros, énergie) mais pimentée de rock, folk, country, blue grass (un chouia..), opéras « brechtiens », musique contemporaine et de bien d’autres choses surprenantes (certains érudits branchouilles parlent à leur propos d’une influence « twang » ! terme à googeliser pour en savoir, peut-être, plus…).
Daniel Erdmann (ts,ss), Hasse Poulsen (g), Edward Perraud (dr, perc). Oloron 3 décembre.
Le répertoire du concert était principalement centré sur les thèmes de leur dernier disque (qui existe en 2 versions : vinyl et cd) : A Kind of Red. Un album couvert de louanges dans de nombreux médias, spécialisés ou généralistes. Il y aurait donc désormais dans l’espace de la musique improvisée le Kind of Blue de Miles Davis (1959) et…le Kind of Red de Das Kapital (2015 ) ! Un « classique » et un pas tout à fait « classique » encore! Comparaison audacieuse proposée par Yvan Duvivier dans le Ouest France Dimanche du 3 janvier 2016.
Toutes les compositions sont originales à tous les sens du terme : inédites dans leurs constructions et souvent excentriques dans leurs développements…Le trio (sans contrebasse) est basé sur des personnalités affirmées et fort différentes.
Daniel Erdmann aux saxophones ténor et soprano joue d’une manière assez proche des grands du ténor mainstream. Son généreux, « calme », sensuel qui dérape rarement. Hasse Poulsen «envoie du bois » comme ont dit lorsqu’on commente (un peu facilement et rapidement) des concerts où le guitariste, comme lui, dépote. Edward Perraud, hyper actif, est littéralement sidérant de la première à la dernière minute. Groove d’enfer, colorations toujours surprenante de ses « riffs » percussifs. Jeu puissant. Gestuelle spectaculaire. Gimmicks surprenants mais jamais gratuits et toujours en parfaite adéquation avec le climat du morceau. E. Perraud est aussi un compositeur épatant et drôle : Western, Iris, Au fond des Yeux : thèmes « conceptuels » présentés avec un humour décalé aux accents surréalistes. Au fond des Yeux est dédicacé au photographe Jacques Henri Lartigue. Qui fut un éternel dandy.
Edward, un dandy de la percussion ? On peut tout à fait le penser. Pas ironiquement mais fort positivement : élégance, second degré, cocasserie.
Das Kapital « rue dans les brancards » depuis 2001.. Déjà.
Les Pyrénées lui réussissent : en 2001, justement, à Luz Saint Sauveur le trio qui venait d’être créé nous avait fait tomber de l’armoire lors d’un concert donné au pied d’une centrale hydro-électrique en pleine montagne. Quinze ans plus tard le groupe étonne toujours. Démarche identique mais répertoire renouvelé. Gaieté, allégresse, jubilation pendant pratiquement 120 minutes.
Au rappel, bien sûr, l‘Internationale dans une version aérienne et subtile.
Philippe Méziat écrivait en décembre 2015 dans une chronique Citizen Jazz, consacrée à A Kind of Red, qu’il aimait beaucoup « l’ambiance un peu férocement grinçante de « Macht Nix, In Der Mitte Ist Noch Platz », avec ses effets d’échos entre ténor et soprano, mais aussi la ballade paresseuse appelée « How Long, So Low », et le côté râpeux et janséniste de la pièce finale, « Nothing Will Ever Be Enough Again ». En espérant pouvoir entendre ces pièces en concert ! ».
Cher Philippe à Oloron ton vœu aurait pu être pleinement exaucé… Vive le « live »…
Photo : Edward Perraud, Jackie Challa, Daniel Herdmann, Hasse Poulsen…
Après le concert, dédicaces joyeuses et détendues des disques dans le hall de la salle Jéliote. Jackie Challa, la directrice heureuse et soulagée du beau succès obtenu par le trio. Avant le concert elle se demandait comment allaient réagir ses fidèles adhérents à une proposition aussi décoiffante…
Pierre-Henri Ardonceau
|Dans la coquette sous-préfecture béarnaise, Das Kapital a séduit un auditoire composé en très forte majorité d’un public qui ne connaissait pas son travail. A l’arrivée… une découverte étonnée et jubilatoire. Trois rappels enthousiastes: que dire de plus!
Un samedi soir de premiers frimas hivernaux (moins 2 degrés à la sortie du concert…) et de rues désertes, une salle emplie aux 2/3 est venue écouter, dans le bel et chaleureux Espace Jéliote, l’assez incroyable et a-typique trio franco-germano-danois : Das Kapital (étonnante et intrigante appellation).
Le Service Culturel du Piémont Oloronais proposait pour 2016/2017 une programmation originale autour d’une trentaine de propositions (théâtre, marionnettes, musique, chanson, humour…). Das Kapital était le seul concert proche de l’univers jazzy. « Musique improvisée européenne » ou « Improvisations Libres », sous influences multiformes, conviendraient mieux pour définir leur approche à dominante jazz indubitable dans l’esprit (impros, énergie) mais pimentée de rock, folk, country, blue grass (un chouia..), opéras « brechtiens », musique contemporaine et de bien d’autres choses surprenantes (certains érudits branchouilles parlent à leur propos d’une influence « twang » ! terme à googeliser pour en savoir, peut-être, plus…).
Daniel Erdmann (ts,ss), Hasse Poulsen (g), Edward Perraud (dr, perc). Oloron 3 décembre.
Le répertoire du concert était principalement centré sur les thèmes de leur dernier disque (qui existe en 2 versions : vinyl et cd) : A Kind of Red. Un album couvert de louanges dans de nombreux médias, spécialisés ou généralistes. Il y aurait donc désormais dans l’espace de la musique improvisée le Kind of Blue de Miles Davis (1959) et…le Kind of Red de Das Kapital (2015 ) ! Un « classique » et un pas tout à fait « classique » encore! Comparaison audacieuse proposée par Yvan Duvivier dans le Ouest France Dimanche du 3 janvier 2016.
Toutes les compositions sont originales à tous les sens du terme : inédites dans leurs constructions et souvent excentriques dans leurs développements…Le trio (sans contrebasse) est basé sur des personnalités affirmées et fort différentes.
Daniel Erdmann aux saxophones ténor et soprano joue d’une manière assez proche des grands du ténor mainstream. Son généreux, « calme », sensuel qui dérape rarement. Hasse Poulsen «envoie du bois » comme ont dit lorsqu’on commente (un peu facilement et rapidement) des concerts où le guitariste, comme lui, dépote. Edward Perraud, hyper actif, est littéralement sidérant de la première à la dernière minute. Groove d’enfer, colorations toujours surprenante de ses « riffs » percussifs. Jeu puissant. Gestuelle spectaculaire. Gimmicks surprenants mais jamais gratuits et toujours en parfaite adéquation avec le climat du morceau. E. Perraud est aussi un compositeur épatant et drôle : Western, Iris, Au fond des Yeux : thèmes « conceptuels » présentés avec un humour décalé aux accents surréalistes. Au fond des Yeux est dédicacé au photographe Jacques Henri Lartigue. Qui fut un éternel dandy.
Edward, un dandy de la percussion ? On peut tout à fait le penser. Pas ironiquement mais fort positivement : élégance, second degré, cocasserie.
Das Kapital « rue dans les brancards » depuis 2001.. Déjà.
Les Pyrénées lui réussissent : en 2001, justement, à Luz Saint Sauveur le trio qui venait d’être créé nous avait fait tomber de l’armoire lors d’un concert donné au pied d’une centrale hydro-électrique en pleine montagne. Quinze ans plus tard le groupe étonne toujours. Démarche identique mais répertoire renouvelé. Gaieté, allégresse, jubilation pendant pratiquement 120 minutes.
Au rappel, bien sûr, l‘Internationale dans une version aérienne et subtile.
Philippe Méziat écrivait en décembre 2015 dans une chronique Citizen Jazz, consacrée à A Kind of Red, qu’il aimait beaucoup « l’ambiance un peu férocement grinçante de « Macht Nix, In Der Mitte Ist Noch Platz », avec ses effets d’échos entre ténor et soprano, mais aussi la ballade paresseuse appelée « How Long, So Low », et le côté râpeux et janséniste de la pièce finale, « Nothing Will Ever Be Enough Again ». En espérant pouvoir entendre ces pièces en concert ! ».
Cher Philippe à Oloron ton vœu aurait pu être pleinement exaucé… Vive le « live »…
Photo : Edward Perraud, Jackie Challa, Daniel Herdmann, Hasse Poulsen…
Après le concert, dédicaces joyeuses et détendues des disques dans le hall de la salle Jéliote. Jackie Challa, la directrice heureuse et soulagée du beau succès obtenu par le trio. Avant le concert elle se demandait comment allaient réagir ses fidèles adhérents à une proposition aussi décoiffante…
Pierre-Henri Ardonceau