Jazz à La Villette: Naïssam Jalal toujours convaincante
Dans un blog en date du 5 juin dernier, je vous parlais de la flûtiste Naïssam Jalal en termes élogieux que je pourrais reprendre ici, moins quelques fautes d’orthographes et réflexions sur la présence de Médéric Collignon, une typographie, je l’espère un peu moins sauvage que tel qu’il apparaît depuis la méga-panne de notre site…
…aussi quelques interrogations en plus sur un léger déséquilibre entre l’intensité du triangle Naïssam Jalal (flûte, ney) – Mehdi Chaïb (saxes) – Arnaud Dolmen (batterie) et une apparente timidité du tandem Karsten Hochapfel (guitare électrique, violoncelle) – Matyas Szandai (contrebasse). On ne s’en est pas moins joint à l’ovation du public pour une flûtiste puissante et un écriture collective (comme le sont les arrangements contrairement à ce que j’écrivais en juin) qui mérite le détour. Demain, dans ce même auditorium du musée : le rock instrumental sombre et classieux du saxophoniste Clément Edouard, de la claviériste Alice Perret (oui, la sœur de Guillaume) et la batterie de Jean Joly. À la Philharmonie 2, nu-revival avec Sun Ra revu par Thomas de POurquery et Science Fiction d’Ornette Coleman par The Bad Plus et quelques invités (Tim Berne, Sam Newsome et Ron Miles). Franck Bergerot
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Dans un blog en date du 5 juin dernier, je vous parlais de la flûtiste Naïssam Jalal en termes élogieux que je pourrais reprendre ici, moins quelques fautes d’orthographes et réflexions sur la présence de Médéric Collignon, une typographie, je l’espère un peu moins sauvage que tel qu’il apparaît depuis la méga-panne de notre site…
…aussi quelques interrogations en plus sur un léger déséquilibre entre l’intensité du triangle Naïssam Jalal (flûte, ney) – Mehdi Chaïb (saxes) – Arnaud Dolmen (batterie) et une apparente timidité du tandem Karsten Hochapfel (guitare électrique, violoncelle) – Matyas Szandai (contrebasse). On ne s’en est pas moins joint à l’ovation du public pour une flûtiste puissante et un écriture collective (comme le sont les arrangements contrairement à ce que j’écrivais en juin) qui mérite le détour. Demain, dans ce même auditorium du musée : le rock instrumental sombre et classieux du saxophoniste Clément Edouard, de la claviériste Alice Perret (oui, la sœur de Guillaume) et la batterie de Jean Joly. À la Philharmonie 2, nu-revival avec Sun Ra revu par Thomas de POurquery et Science Fiction d’Ornette Coleman par The Bad Plus et quelques invités (Tim Berne, Sam Newsome et Ron Miles). Franck Bergerot
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Dans un blog en date du 5 juin dernier, je vous parlais de la flûtiste Naïssam Jalal en termes élogieux que je pourrais reprendre ici, moins quelques fautes d’orthographes et réflexions sur la présence de Médéric Collignon, une typographie, je l’espère un peu moins sauvage que tel qu’il apparaît depuis la méga-panne de notre site…
…aussi quelques interrogations en plus sur un léger déséquilibre entre l’intensité du triangle Naïssam Jalal (flûte, ney) – Mehdi Chaïb (saxes) – Arnaud Dolmen (batterie) et une apparente timidité du tandem Karsten Hochapfel (guitare électrique, violoncelle) – Matyas Szandai (contrebasse). On ne s’en est pas moins joint à l’ovation du public pour une flûtiste puissante et un écriture collective (comme le sont les arrangements contrairement à ce que j’écrivais en juin) qui mérite le détour. Demain, dans ce même auditorium du musée : le rock instrumental sombre et classieux du saxophoniste Clément Edouard, de la claviériste Alice Perret (oui, la sœur de Guillaume) et la batterie de Jean Joly. À la Philharmonie 2, nu-revival avec Sun Ra revu par Thomas de POurquery et Science Fiction d’Ornette Coleman par The Bad Plus et quelques invités (Tim Berne, Sam Newsome et Ron Miles). Franck Bergerot
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Dans un blog en date du 5 juin dernier, je vous parlais de la flûtiste Naïssam Jalal en termes élogieux que je pourrais reprendre ici, moins quelques fautes d’orthographes et réflexions sur la présence de Médéric Collignon, une typographie, je l’espère un peu moins sauvage que tel qu’il apparaît depuis la méga-panne de notre site…
…aussi quelques interrogations en plus sur un léger déséquilibre entre l’intensité du triangle Naïssam Jalal (flûte, ney) – Mehdi Chaïb (saxes) – Arnaud Dolmen (batterie) et une apparente timidité du tandem Karsten Hochapfel (guitare électrique, violoncelle) – Matyas Szandai (contrebasse). On ne s’en est pas moins joint à l’ovation du public pour une flûtiste puissante et un écriture collective (comme le sont les arrangements contrairement à ce que j’écrivais en juin) qui mérite le détour. Demain, dans ce même auditorium du musée : le rock instrumental sombre et classieux du saxophoniste Clément Edouard, de la claviériste Alice Perret (oui, la sœur de Guillaume) et la batterie de Jean Joly. À la Philharmonie 2, nu-revival avec Sun Ra revu par Thomas de POurquery et Science Fiction d’Ornette Coleman par The Bad Plus et quelques invités (Tim Berne, Sam Newsome et Ron Miles). Franck Bergerot