Jazz à Luz 2017 ou la réussite de l'improbable (1)
Chaque année depuis 27 ans, le festival Jazz à Luz propose une programmation étonnante. Cette année, une fois encore, les organisateurs n’ont pas failli à leur réputation : convivialité, surprises, ébahissements furent quelques-uns des ingrédients ayant contribué à la réussite du cru 2017.
Mercredi 12 juillet 2017, 18h, Festival « Jazz à Luz », Parking du Bastan, Luz-Saint-Sauveur (65)
Compagnie Yann Lheureux & K’Arts Troop, « Red Circle »
Yann Lheureux (chorégraphe), Jeongho Nam (dramaturge), Taesun Yoo (designer sonore), Kwan-Zi Kim, Lee Seahyun, Kang Soobin, Im Eunjoung, Son Eungyo, Kim Joseph, Kim Jongwoo, Son Jongmin, Oh Jinmin, Kim Hyunho, Lee Jeongho, Ku Eunhye (danseurs)
Une fois n’est pas coutume, le festival s’ouvrit cette année par de la danse. Quelle heureuse initiative ! Douze danseurs de la Korea National University of Arts firent honneur à la chorégraphie réglée par Yann Lheureux, les corps s’animant d’abord autour des spectateurs avant d’intégrer un cercle sacré représenté au sol. L’expression des visages et des corps des danseurs frappèrent les esprits des festivaliers, ainsi que de nombreux vacanciers attirés par l’attroupement (la prestation se déroulait gratuitement en plein air).
Mercredi 12 juillet 2017, 22h, Festival « Jazz à Luz », Chapiteau du Verger, Luz-Saint-Sauveur (65)
Freaks
Théo Ceccaldi (vl, kb, vx), Benjamin Dousteyssier (as, bs), Quentin Bardiau (ts, kb), Giani Caserotto (elg), Valentin Ceccaldi (horizoncelle, vlle), Etienne Ziemniak (dr).
Après l’inauguration et l’apéritif (y compris musical) d’ouverture vint le premier concert sous le chapiteau, le Freaks de Théo Ceccaldi. Le groupe proposa à son auditoire une « musique tous azimuts », entre Zappa, Reich, du free, Meshuggah, la Carla Bley d’Escalator Over the Hill, Braxton (duo Benjamin Dousteyssier / Etienne Ziemniak) et bien d’autres choses encore – notamment des paroles dites et chantées par Théo Ceccaldi de Robin Mercier (ne faisant pas du tout l’unanimité d’ailleurs). Il semble qu’un principe de jeu sur les extrêmes (contrastes, sentiments, dynamiques, ruptures…) ait été à la source de cette musique, du moins cela est-il ainsi apparu à votre rapporteur. In fine, Freaks mit à mal la fameuse réplique de Michel Audiard : « les cons, ça ose tout, c’est à ça qu’on les r’connaît ». Freaks ose tout, et c’est loin, très loin même, de tomber dans la bêtise !
Trop fatigué par une journée éreintante, l’auteur de ces lignes ne se rendit pas à la Maison de la Vallée pour entendre la performance de Gwyn Wurst dans la nuit (sans compter la journée de balade musicale à venir). Votre rapporteur le regretta amèrement le lendemain lorsque le mélomane Neimad Soul lui expliqua combien le musicien avait produit une musique dite « électro » extrêmement créative, celui-ci commandant tous les éléments de la production musicale seul à l’aide de claviers et de pédales diverses, pour un résultat aux antipodes de l’indigence. D’autres échos confirmèrent la remarquable prestation.|Chaque année depuis 27 ans, le festival Jazz à Luz propose une programmation étonnante. Cette année, une fois encore, les organisateurs n’ont pas failli à leur réputation : convivialité, surprises, ébahissements furent quelques-uns des ingrédients ayant contribué à la réussite du cru 2017.
Mercredi 12 juillet 2017, 18h, Festival « Jazz à Luz », Parking du Bastan, Luz-Saint-Sauveur (65)
Compagnie Yann Lheureux & K’Arts Troop, « Red Circle »
Yann Lheureux (chorégraphe), Jeongho Nam (dramaturge), Taesun Yoo (designer sonore), Kwan-Zi Kim, Lee Seahyun, Kang Soobin, Im Eunjoung, Son Eungyo, Kim Joseph, Kim Jongwoo, Son Jongmin, Oh Jinmin, Kim Hyunho, Lee Jeongho, Ku Eunhye (danseurs)
Une fois n’est pas coutume, le festival s’ouvrit cette année par de la danse. Quelle heureuse initiative ! Douze danseurs de la Korea National University of Arts firent honneur à la chorégraphie réglée par Yann Lheureux, les corps s’animant d’abord autour des spectateurs avant d’intégrer un cercle sacré représenté au sol. L’expression des visages et des corps des danseurs frappèrent les esprits des festivaliers, ainsi que de nombreux vacanciers attirés par l’attroupement (la prestation se déroulait gratuitement en plein air).
Mercredi 12 juillet 2017, 22h, Festival « Jazz à Luz », Chapiteau du Verger, Luz-Saint-Sauveur (65)
Freaks
Théo Ceccaldi (vl, kb, vx), Benjamin Dousteyssier (as, bs), Quentin Bardiau (ts, kb), Giani Caserotto (elg), Valentin Ceccaldi (horizoncelle, vlle), Etienne Ziemniak (dr).
Après l’inauguration et l’apéritif (y compris musical) d’ouverture vint le premier concert sous le chapiteau, le Freaks de Théo Ceccaldi. Le groupe proposa à son auditoire une « musique tous azimuts », entre Zappa, Reich, du free, Meshuggah, la Carla Bley d’Escalator Over the Hill, Braxton (duo Benjamin Dousteyssier / Etienne Ziemniak) et bien d’autres choses encore – notamment des paroles dites et chantées par Théo Ceccaldi de Robin Mercier (ne faisant pas du tout l’unanimité d’ailleurs). Il semble qu’un principe de jeu sur les extrêmes (contrastes, sentiments, dynamiques, ruptures…) ait été à la source de cette musique, du moins cela est-il ainsi apparu à votre rapporteur. In fine, Freaks mit à mal la fameuse réplique de Michel Audiard : « les cons, ça ose tout, c’est à ça qu’on les r’connaît ». Freaks ose tout, et c’est loin, très loin même, de tomber dans la bêtise !
Trop fatigué par une journée éreintante, l’auteur de ces lignes ne se rendit pas à la Maison de la Vallée pour entendre la performance de Gwyn Wurst dans la nuit (sans compter la journée de balade musicale à venir). Votre rapporteur le regretta amèrement le lendemain lorsque le mélomane Neimad Soul lui expliqua combien le musicien avait produit une musique dite « électro » extrêmement créative, celui-ci commandant tous les éléments de la production musicale seul à l’aide de claviers et de pédales diverses, pour un résultat aux antipodes de l’indigence. D’autres échos confirmèrent la remarquable prestation.|Chaque année depuis 27 ans, le festival Jazz à Luz propose une programmation étonnante. Cette année, une fois encore, les organisateurs n’ont pas failli à leur réputation : convivialité, surprises, ébahissements furent quelques-uns des ingrédients ayant contribué à la réussite du cru 2017.
Mercredi 12 juillet 2017, 18h, Festival « Jazz à Luz », Parking du Bastan, Luz-Saint-Sauveur (65)
Compagnie Yann Lheureux & K’Arts Troop, « Red Circle »
Yann Lheureux (chorégraphe), Jeongho Nam (dramaturge), Taesun Yoo (designer sonore), Kwan-Zi Kim, Lee Seahyun, Kang Soobin, Im Eunjoung, Son Eungyo, Kim Joseph, Kim Jongwoo, Son Jongmin, Oh Jinmin, Kim Hyunho, Lee Jeongho, Ku Eunhye (danseurs)
Une fois n’est pas coutume, le festival s’ouvrit cette année par de la danse. Quelle heureuse initiative ! Douze danseurs de la Korea National University of Arts firent honneur à la chorégraphie réglée par Yann Lheureux, les corps s’animant d’abord autour des spectateurs avant d’intégrer un cercle sacré représenté au sol. L’expression des visages et des corps des danseurs frappèrent les esprits des festivaliers, ainsi que de nombreux vacanciers attirés par l’attroupement (la prestation se déroulait gratuitement en plein air).
Mercredi 12 juillet 2017, 22h, Festival « Jazz à Luz », Chapiteau du Verger, Luz-Saint-Sauveur (65)
Freaks
Théo Ceccaldi (vl, kb, vx), Benjamin Dousteyssier (as, bs), Quentin Bardiau (ts, kb), Giani Caserotto (elg), Valentin Ceccaldi (horizoncelle, vlle), Etienne Ziemniak (dr).
Après l’inauguration et l’apéritif (y compris musical) d’ouverture vint le premier concert sous le chapiteau, le Freaks de Théo Ceccaldi. Le groupe proposa à son auditoire une « musique tous azimuts », entre Zappa, Reich, du free, Meshuggah, la Carla Bley d’Escalator Over the Hill, Braxton (duo Benjamin Dousteyssier / Etienne Ziemniak) et bien d’autres choses encore – notamment des paroles dites et chantées par Théo Ceccaldi de Robin Mercier (ne faisant pas du tout l’unanimité d’ailleurs). Il semble qu’un principe de jeu sur les extrêmes (contrastes, sentiments, dynamiques, ruptures…) ait été à la source de cette musique, du moins cela est-il ainsi apparu à votre rapporteur. In fine, Freaks mit à mal la fameuse réplique de Michel Audiard : « les cons, ça ose tout, c’est à ça qu’on les r’connaît ». Freaks ose tout, et c’est loin, très loin même, de tomber dans la bêtise !
Trop fatigué par une journée éreintante, l’auteur de ces lignes ne se rendit pas à la Maison de la Vallée pour entendre la performance de Gwyn Wurst dans la nuit (sans compter la journée de balade musicale à venir). Votre rapporteur le regretta amèrement le lendemain lorsque le mélomane Neimad Soul lui expliqua combien le musicien avait produit une musique dite « électro » extrêmement créative, celui-ci commandant tous les éléments de la production musicale seul à l’aide de claviers et de pédales diverses, pour un résultat aux antipodes de l’indigence. D’autres échos confirmèrent la remarquable prestation.|Chaque année depuis 27 ans, le festival Jazz à Luz propose une programmation étonnante. Cette année, une fois encore, les organisateurs n’ont pas failli à leur réputation : convivialité, surprises, ébahissements furent quelques-uns des ingrédients ayant contribué à la réussite du cru 2017.
Mercredi 12 juillet 2017, 18h, Festival « Jazz à Luz », Parking du Bastan, Luz-Saint-Sauveur (65)
Compagnie Yann Lheureux & K’Arts Troop, « Red Circle »
Yann Lheureux (chorégraphe), Jeongho Nam (dramaturge), Taesun Yoo (designer sonore), Kwan-Zi Kim, Lee Seahyun, Kang Soobin, Im Eunjoung, Son Eungyo, Kim Joseph, Kim Jongwoo, Son Jongmin, Oh Jinmin, Kim Hyunho, Lee Jeongho, Ku Eunhye (danseurs)
Une fois n’est pas coutume, le festival s’ouvrit cette année par de la danse. Quelle heureuse initiative ! Douze danseurs de la Korea National University of Arts firent honneur à la chorégraphie réglée par Yann Lheureux, les corps s’animant d’abord autour des spectateurs avant d’intégrer un cercle sacré représenté au sol. L’expression des visages et des corps des danseurs frappèrent les esprits des festivaliers, ainsi que de nombreux vacanciers attirés par l’attroupement (la prestation se déroulait gratuitement en plein air).
Mercredi 12 juillet 2017, 22h, Festival « Jazz à Luz », Chapiteau du Verger, Luz-Saint-Sauveur (65)
Freaks
Théo Ceccaldi (vl, kb, vx), Benjamin Dousteyssier (as, bs), Quentin Bardiau (ts, kb), Giani Caserotto (elg), Valentin Ceccaldi (horizoncelle, vlle), Etienne Ziemniak (dr).
Après l’inauguration et l’apéritif (y compris musical) d’ouverture vint le premier concert sous le chapiteau, le Freaks de Théo Ceccaldi. Le groupe proposa à son auditoire une « musique tous azimuts », entre Zappa, Reich, du free, Meshuggah, la Carla Bley d’Escalator Over the Hill, Braxton (duo Benjamin Dousteyssier / Etienne Ziemniak) et bien d’autres choses encore – notamment des paroles dites et chantées par Théo Ceccaldi de Robin Mercier (ne faisant pas du tout l’unanimité d’ailleurs). Il semble qu’un principe de jeu sur les extrêmes (contrastes, sentiments, dynamiques, ruptures…) ait été à la source de cette musique, du moins cela est-il ainsi apparu à votre rapporteur. In fine, Freaks mit à mal la fameuse réplique de Michel Audiard : « les cons, ça ose tout, c’est à ça qu’on les r’connaît ». Freaks ose tout, et c’est loin, très loin même, de tomber dans la bêtise !
Trop fatigué par une journée éreintante, l’auteur de ces lignes ne se rendit pas à la Maison de la Vallée pour entendre la performance de Gwyn Wurst dans la nuit (sans compter la journée de balade musicale à venir). Votre rapporteur le regretta amèrement le lendemain lorsque le mélomane Neimad Soul lui expliqua combien le musicien avait produit une musique dite « électro » extrêmement créative, celui-ci commandant tous les éléments de la production musicale seul à l’aide de claviers et de pédales diverses, pour un résultat aux antipodes de l’indigence. D’autres échos confirmèrent la remarquable prestation.