Jazz à Rueil : Virginie Teychené dégivre le conservatoire

Hier 19 septembre, Virginie Teychené était à l’affiche du festival “Jazz de femmes” de Rueil-Malmaison dont la plus grande partie de la programmation a été établie par l’équipe du festival Jazz à Porquerolles.

Conservatoire, festival “Jazz de femmes”, Rueil Malmaison (92), le 19 septembre 2013.

Virginie Teychené chant), Stéphane Bernard (piano), Gérard Maurin (contrebasse, arrangements), Jean-Pierre Arnaud (batterie).

Sur ce blog et dans nos pages, j’ai déjà souvent dit le pourquoi de mon admiration pour Virginie Teychené et son quartette et j’ai mis le paquet dans mes derniers blogs pour annoncer son concert à Rueil-Malmaison, à 10 minutes de chez moi, avec les boules d’apprendre en début de semaine que les réservations étaient à la peine. Et finalement l’auditorium du conservatoire était plein, pour une Virginie Teychené qui commence à avoir son public et qui a gagné en décontraction et en naturel, peut-être l’effet de son vrai triomphe à Marciac en première partie de George Benson. Je n’en dirai pas plus ayant rendez-vous ce matin avec les lames et les tubes de la chirurgie, pour une opération bénigne, mais où il faut tout même tendre son bras à l’anesthésie pour cet abandon toujours ravissant qui est tout de même chaque fois un petit jeu à la vie à la mort. Je ne courrai donc probablement pas, ce soir 20 juin,  les treize restaurants accueillants des concerts à partir de 20h30, la projection à partir de 19h de différents documentaires place du l’Église (Les Elles du jazz par Malénie Golin, avec Anne Paceo, Géraldine Laurent, Airelle Besson et Sophia Domancich, Billie for Ever de Franck Cassenti avec notamment Patricia Barber, Cécile McLorin, Jacky Terrasson, Sandra Nkaké et Archie Shepp). Enfin, à 19h également, l’excellente Librairie Dédicaces accueillera Gilles Leroy pour son roman Nina Simone chroniqué dans notre numéro d’août.

Franck Bergerot

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Hier 19 septembre, Virginie Teychené était à l’affiche du festival “Jazz de femmes” de Rueil-Malmaison dont la plus grande partie de la programmation a été établie par l’équipe du festival Jazz à Porquerolles.

Conservatoire, festival “Jazz de femmes”, Rueil Malmaison (92), le 19 septembre 2013.

Virginie Teychené chant), Stéphane Bernard (piano), Gérard Maurin (contrebasse, arrangements), Jean-Pierre Arnaud (batterie).

Sur ce blog et dans nos pages, j’ai déjà souvent dit le pourquoi de mon admiration pour Virginie Teychené et son quartette et j’ai mis le paquet dans mes derniers blogs pour annoncer son concert à Rueil-Malmaison, à 10 minutes de chez moi, avec les boules d’apprendre en début de semaine que les réservations étaient à la peine. Et finalement l’auditorium du conservatoire était plein, pour une Virginie Teychené qui commence à avoir son public et qui a gagné en décontraction et en naturel, peut-être l’effet de son vrai triomphe à Marciac en première partie de George Benson. Je n’en dirai pas plus ayant rendez-vous ce matin avec les lames et les tubes de la chirurgie, pour une opération bénigne, mais où il faut tout même tendre son bras à l’anesthésie pour cet abandon toujours ravissant qui est tout de même chaque fois un petit jeu à la vie à la mort. Je ne courrai donc probablement pas, ce soir 20 juin,  les treize restaurants accueillants des concerts à partir de 20h30, la projection à partir de 19h de différents documentaires place du l’Église (Les Elles du jazz par Malénie Golin, avec Anne Paceo, Géraldine Laurent, Airelle Besson et Sophia Domancich, Billie for Ever de Franck Cassenti avec notamment Patricia Barber, Cécile McLorin, Jacky Terrasson, Sandra Nkaké et Archie Shepp). Enfin, à 19h également, l’excellente Librairie Dédicaces accueillera Gilles Leroy pour son roman Nina Simone chroniqué dans notre numéro d’août.

Franck Bergerot

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Hier 19 septembre, Virginie Teychené était à l’affiche du festival “Jazz de femmes” de Rueil-Malmaison dont la plus grande partie de la programmation a été établie par l’équipe du festival Jazz à Porquerolles.

Conservatoire, festival “Jazz de femmes”, Rueil Malmaison (92), le 19 septembre 2013.

Virginie Teychené chant), Stéphane Bernard (piano), Gérard Maurin (contrebasse, arrangements), Jean-Pierre Arnaud (batterie).

Sur ce blog et dans nos pages, j’ai déjà souvent dit le pourquoi de mon admiration pour Virginie Teychené et son quartette et j’ai mis le paquet dans mes derniers blogs pour annoncer son concert à Rueil-Malmaison, à 10 minutes de chez moi, avec les boules d’apprendre en début de semaine que les réservations étaient à la peine. Et finalement l’auditorium du conservatoire était plein, pour une Virginie Teychené qui commence à avoir son public et qui a gagné en décontraction et en naturel, peut-être l’effet de son vrai triomphe à Marciac en première partie de George Benson. Je n’en dirai pas plus ayant rendez-vous ce matin avec les lames et les tubes de la chirurgie, pour une opération bénigne, mais où il faut tout même tendre son bras à l’anesthésie pour cet abandon toujours ravissant qui est tout de même chaque fois un petit jeu à la vie à la mort. Je ne courrai donc probablement pas, ce soir 20 juin,  les treize restaurants accueillants des concerts à partir de 20h30, la projection à partir de 19h de différents documentaires place du l’Église (Les Elles du jazz par Malénie Golin, avec Anne Paceo, Géraldine Laurent, Airelle Besson et Sophia Domancich, Billie for Ever de Franck Cassenti avec notamment Patricia Barber, Cécile McLorin, Jacky Terrasson, Sandra Nkaké et Archie Shepp). Enfin, à 19h également, l’excellente Librairie Dédicaces accueillera Gilles Leroy pour son roman Nina Simone chroniqué dans notre numéro d’août.

Franck Bergerot

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Hier 19 septembre, Virginie Teychené était à l’affiche du festival “Jazz de femmes” de Rueil-Malmaison dont la plus grande partie de la programmation a été établie par l’équipe du festival Jazz à Porquerolles.

Conservatoire, festival “Jazz de femmes”, Rueil Malmaison (92), le 19 septembre 2013.

Virginie Teychené chant), Stéphane Bernard (piano), Gérard Maurin (contrebasse, arrangements), Jean-Pierre Arnaud (batterie).

Sur ce blog et dans nos pages, j’ai déjà souvent dit le pourquoi de mon admiration pour Virginie Teychené et son quartette et j’ai mis le paquet dans mes derniers blogs pour annoncer son concert à Rueil-Malmaison, à 10 minutes de chez moi, avec les boules d’apprendre en début de semaine que les réservations étaient à la peine. Et finalement l’auditorium du conservatoire était plein, pour une Virginie Teychené qui commence à avoir son public et qui a gagné en décontraction et en naturel, peut-être l’effet de son vrai triomphe à Marciac en première partie de George Benson. Je n’en dirai pas plus ayant rendez-vous ce matin avec les lames et les tubes de la chirurgie, pour une opération bénigne, mais où il faut tout même tendre son bras à l’anesthésie pour cet abandon toujours ravissant qui est tout de même chaque fois un petit jeu à la vie à la mort. Je ne courrai donc probablement pas, ce soir 20 juin,  les treize restaurants accueillants des concerts à partir de 20h30, la projection à partir de 19h de différents documentaires place du l’Église (Les Elles du jazz par Malénie Golin, avec Anne Paceo, Géraldine Laurent, Airelle Besson et Sophia Domancich, Billie for Ever de Franck Cassenti avec notamment Patricia Barber, Cécile McLorin, Jacky Terrasson, Sandra Nkaké et Archie Shepp). Enfin, à 19h également, l’excellente Librairie Dédicaces accueillera Gilles Leroy pour son roman Nina Simone chroniqué dans notre numéro d’août.

Franck Bergerot