Jef Lee Johnson, la magie intacte
Ainsi, en ce soir d’hiver à Sons d’Hiver, Jef Lee Johnson alias Rainbow Crow n’était donc plus des nôtres. Mais grâce à l’amour vrai de Reggie Washington pour le blues arc-en-ciel de son compagnon de route envolé, sa magie résonnait à travers les cordes d’un autre guitariste singulier : Jean-Paul Bourelly.
Jean-Paul Bourelly (guitare, chant), Reggie Washington (basse électrique, chant), Patrick Dorcéan (batterie). Créteil, Maison des Arts, vendredi 22 février.
L’hommage fut donc aussi envoûtant qu’émouvant, car l’ex-bassiste des Five Elements de Steve Coleman, de Buckshot LeFonque et du RH Factor n’aurait pas pu trouver meilleur blues preacher que Jean-Paul Bourelly pour que la musique de Jef Lee Johnson revive sur scène – une dernière fois ? Croisons les doigts pour que d’autres continuent d’interpréter ces chansons fragiles et bleues aux paroles volontiers poétiques.
Nous reviendrons bientôt, dans un autre magazine et dans les grandes largeurs, sur l’art et la manière de Jef Lee Johnson. Car, comme il le chantait si bien,
« Everyting starts right now ».
En attendant, rendez-vous sur Arte Live Web pour (re)voir ce concert :
Frédéric Goaty
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Ainsi, en ce soir d’hiver à Sons d’Hiver, Jef Lee Johnson alias Rainbow Crow n’était donc plus des nôtres. Mais grâce à l’amour vrai de Reggie Washington pour le blues arc-en-ciel de son compagnon de route envolé, sa magie résonnait à travers les cordes d’un autre guitariste singulier : Jean-Paul Bourelly.
Jean-Paul Bourelly (guitare, chant), Reggie Washington (basse électrique, chant), Patrick Dorcéan (batterie). Créteil, Maison des Arts, vendredi 22 février.
L’hommage fut donc aussi envoûtant qu’émouvant, car l’ex-bassiste des Five Elements de Steve Coleman, de Buckshot LeFonque et du RH Factor n’aurait pas pu trouver meilleur blues preacher que Jean-Paul Bourelly pour que la musique de Jef Lee Johnson revive sur scène – une dernière fois ? Croisons les doigts pour que d’autres continuent d’interpréter ces chansons fragiles et bleues aux paroles volontiers poétiques.
Nous reviendrons bientôt, dans un autre magazine et dans les grandes largeurs, sur l’art et la manière de Jef Lee Johnson. Car, comme il le chantait si bien,
« Everyting starts right now ».
En attendant, rendez-vous sur Arte Live Web pour (re)voir ce concert :
Frédéric Goaty
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Ainsi, en ce soir d’hiver à Sons d’Hiver, Jef Lee Johnson alias Rainbow Crow n’était donc plus des nôtres. Mais grâce à l’amour vrai de Reggie Washington pour le blues arc-en-ciel de son compagnon de route envolé, sa magie résonnait à travers les cordes d’un autre guitariste singulier : Jean-Paul Bourelly.
Jean-Paul Bourelly (guitare, chant), Reggie Washington (basse électrique, chant), Patrick Dorcéan (batterie). Créteil, Maison des Arts, vendredi 22 février.
L’hommage fut donc aussi envoûtant qu’émouvant, car l’ex-bassiste des Five Elements de Steve Coleman, de Buckshot LeFonque et du RH Factor n’aurait pas pu trouver meilleur blues preacher que Jean-Paul Bourelly pour que la musique de Jef Lee Johnson revive sur scène – une dernière fois ? Croisons les doigts pour que d’autres continuent d’interpréter ces chansons fragiles et bleues aux paroles volontiers poétiques.
Nous reviendrons bientôt, dans un autre magazine et dans les grandes largeurs, sur l’art et la manière de Jef Lee Johnson. Car, comme il le chantait si bien,
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En attendant, rendez-vous sur Arte Live Web pour (re)voir ce concert :
Frédéric Goaty
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Ainsi, en ce soir d’hiver à Sons d’Hiver, Jef Lee Johnson alias Rainbow Crow n’était donc plus des nôtres. Mais grâce à l’amour vrai de Reggie Washington pour le blues arc-en-ciel de son compagnon de route envolé, sa magie résonnait à travers les cordes d’un autre guitariste singulier : Jean-Paul Bourelly.
Jean-Paul Bourelly (guitare, chant), Reggie Washington (basse électrique, chant), Patrick Dorcéan (batterie). Créteil, Maison des Arts, vendredi 22 février.
L’hommage fut donc aussi envoûtant qu’émouvant, car l’ex-bassiste des Five Elements de Steve Coleman, de Buckshot LeFonque et du RH Factor n’aurait pas pu trouver meilleur blues preacher que Jean-Paul Bourelly pour que la musique de Jef Lee Johnson revive sur scène – une dernière fois ? Croisons les doigts pour que d’autres continuent d’interpréter ces chansons fragiles et bleues aux paroles volontiers poétiques.
Nous reviendrons bientôt, dans un autre magazine et dans les grandes largeurs, sur l’art et la manière de Jef Lee Johnson. Car, comme il le chantait si bien,
« Everyting starts right now ».
En attendant, rendez-vous sur Arte Live Web pour (re)voir ce concert :
Frédéric Goaty