JR, le jazz, les arts et lettres au Sporting Casino de Monte Carlo
Lové dans le Sporting Casino, l’Opéra Garnier figure un écrin à bijoux qui aurait été décoré d’une main par Michel Ange, de l’autre par Gaudi. Lorsque Pino Daniele, rock star transalpine de toujours, aujourd’hui crinière blanche et léger embonpoint lâche ses mots en langue napolitaine de sa drôle de de voix de castrat, soudaiń dans l’obscurité de la salle d’étranges petites lucarnes s’allument au fur et à mesures. Dix, vingt, cinquante écrans de téléphones portables fixent sa silhouette bardée d’une guitare électrique affinée par un assistant. Hier à ses vingt ans, à Naples, aux arènes de Nîmes, à Hyde Park ou même Monterey sans doute mille flammes de briquets auraient jailli en simultané Aujourd’hui dans le théâtre à l’italienne cossu de Monte Carlo les feux de l’amore envers le chanteur chéri brûlent en mode cristaux liquides…
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Lové dans le Sporting Casino, l’Opéra Garnier figure un écrin à bijoux qui aurait été décoré d’une main par Michel Ange, de l’autre par Gaudi. Lorsque Pino Daniele, rock star transalpine de toujours, aujourd’hui crinière blanche et léger embonpoint lâche ses mots en langue napolitaine de sa drôle de de voix de castrat, soudaiń dans l’obscurité de la salle d’étranges petites lucarnes s’allument au fur et à mesures. Dix, vingt, cinquante écrans de téléphones portables fixent sa silhouette bardée d’une guitare électrique affinée par un assistant. Hier à ses vingt ans, à Naples, aux arènes de Nîmes, à Hyde Park ou même Monterey sans doute mille flammes de briquets auraient jailli en simultané Aujourd’hui dans le théâtre à l’italienne cossu de Monte Carlo les feux de l’amore envers le chanteur chéri brûlent en mode cristaux liquides…
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Lové dans le Sporting Casino, l’Opéra Garnier figure un écrin à bijoux qui aurait été décoré d’une main par Michel Ange, de l’autre par Gaudi. Lorsque Pino Daniele, rock star transalpine de toujours, aujourd’hui crinière blanche et léger embonpoint lâche ses mots en langue napolitaine de sa drôle de de voix de castrat, soudaiń dans l’obscurité de la salle d’étranges petites lucarnes s’allument au fur et à mesures. Dix, vingt, cinquante écrans de téléphones portables fixent sa silhouette bardée d’une guitare électrique affinée par un assistant. Hier à ses vingt ans, à Naples, aux arènes de Nîmes, à Hyde Park ou même Monterey sans doute mille flammes de briquets auraient jailli en simultané Aujourd’hui dans le théâtre à l’italienne cossu de Monte Carlo les feux de l’amore envers le chanteur chéri brûlent en mode cristaux liquides…
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Lové dans le Sporting Casino, l’Opéra Garnier figure un écrin à bijoux qui aurait été décoré d’une main par Michel Ange, de l’autre par Gaudi. Lorsque Pino Daniele, rock star transalpine de toujours, aujourd’hui crinière blanche et léger embonpoint lâche ses mots en langue napolitaine de sa drôle de de voix de castrat, soudaiń dans l’obscurité de la salle d’étranges petites lucarnes s’allument au fur et à mesures. Dix, vingt, cinquante écrans de téléphones portables fixent sa silhouette bardée d’une guitare électrique affinée par un assistant. Hier à ses vingt ans, à Naples, aux arènes de Nîmes, à Hyde Park ou même Monterey sans doute mille flammes de briquets auraient jailli en simultané Aujourd’hui dans le théâtre à l’italienne cossu de Monte Carlo les feux de l’amore envers le chanteur chéri brûlent en mode cristaux liquides…