Jazz live
Publié le 13 Juin 2012

Léon, showman soulful

Le décor du théâtre montmartrois recèle quelques effluves de kitsch rétro, témoin ce cliché de Patrick Dewaere en goguette placardé au mur du bar. Le public du soir s’avère truffé de fans, d’aficionados invités, règle d’or désormais pour des concerts promos. Léon entre en scène sous la claque. Aussitôt dans le vif du sujet il chante et danse sans lâcher son micro.

 

Paris, Le Palace, 11 juin.

Sur les planches il bondit et rebondit, ondule du bassin, sensuel et provoc’ à la fois, place son pendentif imposant dans un drôle de mouvement pendulaire permanent. Il transpire à grosses gouttes et s’éponge d’un mouchoir blanc toujours gardé à portée de main. Rapidement en surchauffe il jette sa veste blanche. Léon est showman jusqu’au bout des ongles. Né à Kinshasa mais formaté R& B à Toulouse, Léon est oussé par un orchestre made in Toulouse carré en diable, et cultive une totale soul attitude. On songe alors fatalement à James Brown, avec quelques pincée de Fela, ou même de Papa Wemba. Lorsque sa voix manie et/ou mixe des phrases en anglais ou en français, la musique est toujours parfaitement cadrée, chargée à blanc et très noir afro. Puis le registre s’élargit (belle version du Michelle de Lennon-McCartney boosté rythmiquement) et les références glissent alors jusqu’à Marvin Gaye, époque Motown sixties. Ne reste plus qu’à Léon qu’à s’émanciper définitivement de ses modèles…

 

CD “Léon, Chocolate” (Vaziva Music).

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Le décor du théâtre montmartrois recèle quelques effluves de kitsch rétro, témoin ce cliché de Patrick Dewaere en goguette placardé au mur du bar. Le public du soir s’avère truffé de fans, d’aficionados invités, règle d’or désormais pour des concerts promos. Léon entre en scène sous la claque. Aussitôt dans le vif du sujet il chante et danse sans lâcher son micro.

 

Paris, Le Palace, 11 juin.

Sur les planches il bondit et rebondit, ondule du bassin, sensuel et provoc’ à la fois, place son pendentif imposant dans un drôle de mouvement pendulaire permanent. Il transpire à grosses gouttes et s’éponge d’un mouchoir blanc toujours gardé à portée de main. Rapidement en surchauffe il jette sa veste blanche. Léon est showman jusqu’au bout des ongles. Né à Kinshasa mais formaté R& B à Toulouse, Léon est oussé par un orchestre made in Toulouse carré en diable, et cultive une totale soul attitude. On songe alors fatalement à James Brown, avec quelques pincée de Fela, ou même de Papa Wemba. Lorsque sa voix manie et/ou mixe des phrases en anglais ou en français, la musique est toujours parfaitement cadrée, chargée à blanc et très noir afro. Puis le registre s’élargit (belle version du Michelle de Lennon-McCartney boosté rythmiquement) et les références glissent alors jusqu’à Marvin Gaye, époque Motown sixties. Ne reste plus qu’à Léon qu’à s’émanciper définitivement de ses modèles…

 

CD “Léon, Chocolate” (Vaziva Music).

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Le décor du théâtre montmartrois recèle quelques effluves de kitsch rétro, témoin ce cliché de Patrick Dewaere en goguette placardé au mur du bar. Le public du soir s’avère truffé de fans, d’aficionados invités, règle d’or désormais pour des concerts promos. Léon entre en scène sous la claque. Aussitôt dans le vif du sujet il chante et danse sans lâcher son micro.

 

Paris, Le Palace, 11 juin.

Sur les planches il bondit et rebondit, ondule du bassin, sensuel et provoc’ à la fois, place son pendentif imposant dans un drôle de mouvement pendulaire permanent. Il transpire à grosses gouttes et s’éponge d’un mouchoir blanc toujours gardé à portée de main. Rapidement en surchauffe il jette sa veste blanche. Léon est showman jusqu’au bout des ongles. Né à Kinshasa mais formaté R& B à Toulouse, Léon est oussé par un orchestre made in Toulouse carré en diable, et cultive une totale soul attitude. On songe alors fatalement à James Brown, avec quelques pincée de Fela, ou même de Papa Wemba. Lorsque sa voix manie et/ou mixe des phrases en anglais ou en français, la musique est toujours parfaitement cadrée, chargée à blanc et très noir afro. Puis le registre s’élargit (belle version du Michelle de Lennon-McCartney boosté rythmiquement) et les références glissent alors jusqu’à Marvin Gaye, époque Motown sixties. Ne reste plus qu’à Léon qu’à s’émanciper définitivement de ses modèles…

 

CD “Léon, Chocolate” (Vaziva Music).

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Le décor du théâtre montmartrois recèle quelques effluves de kitsch rétro, témoin ce cliché de Patrick Dewaere en goguette placardé au mur du bar. Le public du soir s’avère truffé de fans, d’aficionados invités, règle d’or désormais pour des concerts promos. Léon entre en scène sous la claque. Aussitôt dans le vif du sujet il chante et danse sans lâcher son micro.

 

Paris, Le Palace, 11 juin.

Sur les planches il bondit et rebondit, ondule du bassin, sensuel et provoc’ à la fois, place son pendentif imposant dans un drôle de mouvement pendulaire permanent. Il transpire à grosses gouttes et s’éponge d’un mouchoir blanc toujours gardé à portée de main. Rapidement en surchauffe il jette sa veste blanche. Léon est showman jusqu’au bout des ongles. Né à Kinshasa mais formaté R& B à Toulouse, Léon est oussé par un orchestre made in Toulouse carré en diable, et cultive une totale soul attitude. On songe alors fatalement à James Brown, avec quelques pincée de Fela, ou même de Papa Wemba. Lorsque sa voix manie et/ou mixe des phrases en anglais ou en français, la musique est toujours parfaitement cadrée, chargée à blanc et très noir afro. Puis le registre s’élargit (belle version du Michelle de Lennon-McCartney boosté rythmiquement) et les références glissent alors jusqu’à Marvin Gaye, époque Motown sixties. Ne reste plus qu’à Léon qu’à s’émanciper définitivement de ses modèles…

 

CD “Léon, Chocolate” (Vaziva Music).