Les Rendez-vous de l'Erdre : surprenantes !!!
Il me revient, en tant que doyen des rédacteurs de ce blog, d’inaugurer la nouvelle présentation de ce site, et conséquemment du « Jazz Live ». J’en suis honoré, même si la tâche est lourde, et la responsabilité écrasante, les opérations de migration s’étant heurtés à des problèmes techniques qu’il m’a été également donné de découvrir le premier en voulant placer le compte rendu qui suit. Les désordres entrainés sont nombreux, notamment la disparition de tous nos comptes rendus depuis le 17 juillet. En lisant le “faux texte” qui constitue l’en-tête de cette page, nos lecteurs auront compris que ce site est en travaux . Mais, pendant les travaux, la vie du jazz continue: les « Rendez-vous de l’Erdre », point d’orgue des festivals de jazz des mois d’été les plus emblématiques (juillet et août), nous donnent chaque année l’occasion d’une fête unique de « tous les jazz(s) », et c’est bien qu’ils soient ainsi à l’honneur. Surprenantes scènes jazz à Nantes !!!
On commencera donc par la photo qui a donné son titre à ce petit article « princeps ». Prise hier soir au moment du concert de Nguyên Lê « The Dark Side nine », quand je devisais (backstage évidemment) avec notre ami Pierre-Henri Ardonceau, dont j’espère que vous lirez bien vite les pages qu’il a consacrées à Marciac, et celles qu’il consacrera au jazz vif qu’il continue à aimer et dont il sait si bien pénétrer les arcanes.
Ayant enfin réussi à insérer ma photo du bandeau « surprenantes », je continue en direct live à improviser cette première publication du nouvel habillage de notre site (blog). Dans le plus grand désordre, je dirai donc avoir entendu la balance du groupe italien C’Mon Tigre (prononcez « Come On Tigré »), et avoir bien aimé leur son fourni, leur engagement habile, et j’ai su que leur prestation du soir avait été très appréciée. Pour mémoire, ils forment un groupe à géométrie variable avec vibraphone, trompette, guitare, basse et batterie.
Sur la scène nautique, qui sera très utilisée cette année en raison du fait que la scène Sully est impraticable (travaux) nous avons écouté la fin de la prestation d’Armel Dupas en solo (sur un piano droit alors qu’un magnifique Steinway trônait derrière lui…), l’intégralité du concert de Baptiste Trotignon en trio avec Thomas Bramerie (b) et Jeff Ballard (dm), et une bonne moitié de la prestation du super-groupe de Nguyên Lê.
Toujours autant de monde pour assister à ces concerts, avec une sonorisation excellente, peut-être un peu trop réservée lors des premières minutes du concert de Baptiste Trotignon. Ce trio avec Bramerie et Ballard fonctionne à merveille, rebondit à souhait, développe des thématiques à base de notes répétées obsédantes, circule et voyage du côté du Cuba, passe facilement la rampe liquide qui sépare la scène du public. Un joli rappel, et place à la « pop music » revisitée par quelques-uns de nos meilleurs éléments. Plaisir de retrouver – par exemple – Stéphane Guillaume au soprano et notre (toujours surprenante) Céline Bonacina au baryton.
Philippe Méziat
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Il me revient, en tant que doyen des rédacteurs de ce blog, d’inaugurer la nouvelle présentation de ce site, et conséquemment du « Jazz Live ». J’en suis honoré, même si la tâche est lourde, et la responsabilité écrasante, les opérations de migration s’étant heurtés à des problèmes techniques qu’il m’a été également donné de découvrir le premier en voulant placer le compte rendu qui suit. Les désordres entrainés sont nombreux, notamment la disparition de tous nos comptes rendus depuis le 17 juillet. En lisant le “faux texte” qui constitue l’en-tête de cette page, nos lecteurs auront compris que ce site est en travaux . Mais, pendant les travaux, la vie du jazz continue: les « Rendez-vous de l’Erdre », point d’orgue des festivals de jazz des mois d’été les plus emblématiques (juillet et août), nous donnent chaque année l’occasion d’une fête unique de « tous les jazz(s) », et c’est bien qu’ils soient ainsi à l’honneur. Surprenantes scènes jazz à Nantes !!!
On commencera donc par la photo qui a donné son titre à ce petit article « princeps ». Prise hier soir au moment du concert de Nguyên Lê « The Dark Side nine », quand je devisais (backstage évidemment) avec notre ami Pierre-Henri Ardonceau, dont j’espère que vous lirez bien vite les pages qu’il a consacrées à Marciac, et celles qu’il consacrera au jazz vif qu’il continue à aimer et dont il sait si bien pénétrer les arcanes.
Ayant enfin réussi à insérer ma photo du bandeau « surprenantes », je continue en direct live à improviser cette première publication du nouvel habillage de notre site (blog). Dans le plus grand désordre, je dirai donc avoir entendu la balance du groupe italien C’Mon Tigre (prononcez « Come On Tigré »), et avoir bien aimé leur son fourni, leur engagement habile, et j’ai su que leur prestation du soir avait été très appréciée. Pour mémoire, ils forment un groupe à géométrie variable avec vibraphone, trompette, guitare, basse et batterie.
Sur la scène nautique, qui sera très utilisée cette année en raison du fait que la scène Sully est impraticable (travaux) nous avons écouté la fin de la prestation d’Armel Dupas en solo (sur un piano droit alors qu’un magnifique Steinway trônait derrière lui…), l’intégralité du concert de Baptiste Trotignon en trio avec Thomas Bramerie (b) et Jeff Ballard (dm), et une bonne moitié de la prestation du super-groupe de Nguyên Lê.
Toujours autant de monde pour assister à ces concerts, avec une sonorisation excellente, peut-être un peu trop réservée lors des premières minutes du concert de Baptiste Trotignon. Ce trio avec Bramerie et Ballard fonctionne à merveille, rebondit à souhait, développe des thématiques à base de notes répétées obsédantes, circule et voyage du côté du Cuba, passe facilement la rampe liquide qui sépare la scène du public. Un joli rappel, et place à la « pop music » revisitée par quelques-uns de nos meilleurs éléments. Plaisir de retrouver – par exemple – Stéphane Guillaume au soprano et notre (toujours surprenante) Céline Bonacina au baryton.
Philippe Méziat
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Il me revient, en tant que doyen des rédacteurs de ce blog, d’inaugurer la nouvelle présentation de ce site, et conséquemment du « Jazz Live ». J’en suis honoré, même si la tâche est lourde, et la responsabilité écrasante, les opérations de migration s’étant heurtés à des problèmes techniques qu’il m’a été également donné de découvrir le premier en voulant placer le compte rendu qui suit. Les désordres entrainés sont nombreux, notamment la disparition de tous nos comptes rendus depuis le 17 juillet. En lisant le “faux texte” qui constitue l’en-tête de cette page, nos lecteurs auront compris que ce site est en travaux . Mais, pendant les travaux, la vie du jazz continue: les « Rendez-vous de l’Erdre », point d’orgue des festivals de jazz des mois d’été les plus emblématiques (juillet et août), nous donnent chaque année l’occasion d’une fête unique de « tous les jazz(s) », et c’est bien qu’ils soient ainsi à l’honneur. Surprenantes scènes jazz à Nantes !!!
On commencera donc par la photo qui a donné son titre à ce petit article « princeps ». Prise hier soir au moment du concert de Nguyên Lê « The Dark Side nine », quand je devisais (backstage évidemment) avec notre ami Pierre-Henri Ardonceau, dont j’espère que vous lirez bien vite les pages qu’il a consacrées à Marciac, et celles qu’il consacrera au jazz vif qu’il continue à aimer et dont il sait si bien pénétrer les arcanes.
Ayant enfin réussi à insérer ma photo du bandeau « surprenantes », je continue en direct live à improviser cette première publication du nouvel habillage de notre site (blog). Dans le plus grand désordre, je dirai donc avoir entendu la balance du groupe italien C’Mon Tigre (prononcez « Come On Tigré »), et avoir bien aimé leur son fourni, leur engagement habile, et j’ai su que leur prestation du soir avait été très appréciée. Pour mémoire, ils forment un groupe à géométrie variable avec vibraphone, trompette, guitare, basse et batterie.
Sur la scène nautique, qui sera très utilisée cette année en raison du fait que la scène Sully est impraticable (travaux) nous avons écouté la fin de la prestation d’Armel Dupas en solo (sur un piano droit alors qu’un magnifique Steinway trônait derrière lui…), l’intégralité du concert de Baptiste Trotignon en trio avec Thomas Bramerie (b) et Jeff Ballard (dm), et une bonne moitié de la prestation du super-groupe de Nguyên Lê.
Toujours autant de monde pour assister à ces concerts, avec une sonorisation excellente, peut-être un peu trop réservée lors des premières minutes du concert de Baptiste Trotignon. Ce trio avec Bramerie et Ballard fonctionne à merveille, rebondit à souhait, développe des thématiques à base de notes répétées obsédantes, circule et voyage du côté du Cuba, passe facilement la rampe liquide qui sépare la scène du public. Un joli rappel, et place à la « pop music » revisitée par quelques-uns de nos meilleurs éléments. Plaisir de retrouver – par exemple – Stéphane Guillaume au soprano et notre (toujours surprenante) Céline Bonacina au baryton.
Philippe Méziat
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Il me revient, en tant que doyen des rédacteurs de ce blog, d’inaugurer la nouvelle présentation de ce site, et conséquemment du « Jazz Live ». J’en suis honoré, même si la tâche est lourde, et la responsabilité écrasante, les opérations de migration s’étant heurtés à des problèmes techniques qu’il m’a été également donné de découvrir le premier en voulant placer le compte rendu qui suit. Les désordres entrainés sont nombreux, notamment la disparition de tous nos comptes rendus depuis le 17 juillet. En lisant le “faux texte” qui constitue l’en-tête de cette page, nos lecteurs auront compris que ce site est en travaux . Mais, pendant les travaux, la vie du jazz continue: les « Rendez-vous de l’Erdre », point d’orgue des festivals de jazz des mois d’été les plus emblématiques (juillet et août), nous donnent chaque année l’occasion d’une fête unique de « tous les jazz(s) », et c’est bien qu’ils soient ainsi à l’honneur. Surprenantes scènes jazz à Nantes !!!
On commencera donc par la photo qui a donné son titre à ce petit article « princeps ». Prise hier soir au moment du concert de Nguyên Lê « The Dark Side nine », quand je devisais (backstage évidemment) avec notre ami Pierre-Henri Ardonceau, dont j’espère que vous lirez bien vite les pages qu’il a consacrées à Marciac, et celles qu’il consacrera au jazz vif qu’il continue à aimer et dont il sait si bien pénétrer les arcanes.
Ayant enfin réussi à insérer ma photo du bandeau « surprenantes », je continue en direct live à improviser cette première publication du nouvel habillage de notre site (blog). Dans le plus grand désordre, je dirai donc avoir entendu la balance du groupe italien C’Mon Tigre (prononcez « Come On Tigré »), et avoir bien aimé leur son fourni, leur engagement habile, et j’ai su que leur prestation du soir avait été très appréciée. Pour mémoire, ils forment un groupe à géométrie variable avec vibraphone, trompette, guitare, basse et batterie.
Sur la scène nautique, qui sera très utilisée cette année en raison du fait que la scène Sully est impraticable (travaux) nous avons écouté la fin de la prestation d’Armel Dupas en solo (sur un piano droit alors qu’un magnifique Steinway trônait derrière lui…), l’intégralité du concert de Baptiste Trotignon en trio avec Thomas Bramerie (b) et Jeff Ballard (dm), et une bonne moitié de la prestation du super-groupe de Nguyên Lê.
Toujours autant de monde pour assister à ces concerts, avec une sonorisation excellente, peut-être un peu trop réservée lors des premières minutes du concert de Baptiste Trotignon. Ce trio avec Bramerie et Ballard fonctionne à merveille, rebondit à souhait, développe des thématiques à base de notes répétées obsédantes, circule et voyage du côté du Cuba, passe facilement la rampe liquide qui sépare la scène du public. Un joli rappel, et place à la « pop music » revisitée par quelques-uns de nos meilleurs éléments. Plaisir de retrouver – par exemple – Stéphane Guillaume au soprano et notre (toujours surprenante) Céline Bonacina au baryton.
Philippe Méziat