L’Ultimo de Dédé Ceccarelli au Châtelet
Il pose ses balais sur le rebord de la caisse claire, tombe la veste, saisit le micro et d’un ton mi bougon mi bourru avoue tout de go : « Je crois bien que c’est la première fois de ma carrière que j’ai gardé une veste pour jouer de la batterie… » André Ceccarelli aura attendu ses cinquante ans de carrière pour changer de rituel avant de s’installer derrière caisses et cymbales. Peut-être parce qu’ainsi placé sur la scène du Châtelet au beau milieu d’une trentaine de musiciens, il encaisse plus d’émotions que l’affiche du concert le suggère. C’est que Dédé de Nice joue sous son nom pour la dernière fois en tant que leader…
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Il pose ses balais sur le rebord de la caisse claire, tombe la veste, saisit le micro et d’un ton mi bougon mi bourru avoue tout de go : « Je crois bien que c’est la première fois de ma carrière que j’ai gardé une veste pour jouer de la batterie… » André Ceccarelli aura attendu ses cinquante ans de carrière pour changer de rituel avant de s’installer derrière caisses et cymbales. Peut-être parce qu’ainsi placé sur la scène du Châtelet au beau milieu d’une trentaine de musiciens, il encaisse plus d’émotions que l’affiche du concert le suggère. C’est que Dédé de Nice joue sous son nom pour la dernière fois en tant que leader…
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Il pose ses balais sur le rebord de la caisse claire, tombe la veste, saisit le micro et d’un ton mi bougon mi bourru avoue tout de go : « Je crois bien que c’est la première fois de ma carrière que j’ai gardé une veste pour jouer de la batterie… » André Ceccarelli aura attendu ses cinquante ans de carrière pour changer de rituel avant de s’installer derrière caisses et cymbales. Peut-être parce qu’ainsi placé sur la scène du Châtelet au beau milieu d’une trentaine de musiciens, il encaisse plus d’émotions que l’affiche du concert le suggère. C’est que Dédé de Nice joue sous son nom pour la dernière fois en tant que leader…
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Il pose ses balais sur le rebord de la caisse claire, tombe la veste, saisit le micro et d’un ton mi bougon mi bourru avoue tout de go : « Je crois bien que c’est la première fois de ma carrière que j’ai gardé une veste pour jouer de la batterie… » André Ceccarelli aura attendu ses cinquante ans de carrière pour changer de rituel avant de s’installer derrière caisses et cymbales. Peut-être parce qu’ainsi placé sur la scène du Châtelet au beau milieu d’une trentaine de musiciens, il encaisse plus d’émotions que l’affiche du concert le suggère. C’est que Dédé de Nice joue sous son nom pour la dernière fois en tant que leader…