Jazz live
Publié le 3 Déc 2013

Pierre et le Loup par l’Amazing Keystone Big band sur RTL

Hier 2 décembre, au Grand Studio de RTL, l’Amazing Keystone Big Band enregistrait sa version de Pierre et le loup dans le cadre de l’Heure du jazz de Jean-Yves Chaperon. Diffusion le 29 décembre.

 

Grand Studio RTL, Paris (75), le 2 décembre (diffusion le 29 décembre, de 23h à minuit)

 

Leslie Menu, Sébastien Denigues (récitants).

The Amazing Keystone Big Band : Vincent Labarre, Thierry Seneau, Joël Chausse, David Enhco (trompettes, bugles), Bastien Ballaz, Loïc Bachevillier, Aloïs Benoit (trombones), Sylvain Thomas (tuba), Ghyslain Regard (flûte, piccolo), Kenny Jeanney (saxophones soprano et alto), Pierre Desassis (clarinette, saxophone alto), Jon Boutellier, Eric Prost (sax ténor), Jean-Philippe Scali (sax baryton, clarinette basse), Thibaut François (guitare), Frédéric Nardin (piano, Fender Rhodes), Patrick Maradan (contrebasse), Romain Sarron (batterie).

 

Entendre un big band “classique” dans un petit lieu, le ventre collé au souffle des sections, c’est un plaisir que je ne me refuse pas, même si dans l’acoustique du grand studio RTL c’était presque un peu trop. Un peu trop en tout cas pour les deux récitants qui peinent à se faire entendre et sont mis à dure épreuve, mais probablement il n’y paraîtra rien à la diffusion de cet enregistrement public le 29 décembre sur RTL. Car c’est Jean-Yves Chaperon qui accueillait, dans son émission hebdomadaire L’Heure du jazz (tous les dimanches de 23h à minuit), l’Amazing Keystone Big dans son programme Pierre et le Loup. Lorraine Soliman attribuait 4 étoiles au CD paru au Chant du Monde, dans notre numéro 655 de novembre (elle n’avait hélas pas en main au moment de la chronique, le livre-disque illustré par Martin Jarre) et je voulais entendre en direct ces partitions imaginées par les quatre responsables de l’orchestre, Frédéric Nardin, Bastien Ballaz, David Enhco et Jon Boutellier. Ce sont ces deux derniers qui sont invités à présenter le projet au micro de Jean-Yves Chaperon, rappelant la genèse de l’orchestre entre le CNSM de Paris et la scène lyonnaise, la commande par le patron de Jazz à Vienne, Jean-Paul Boutellier (père de Jon) d’une version pour big band du conte musical de Serge Prokoviev, Pierre et le loup, et la création au Théâtre antique devant quelques milliers d’enfants euphoriques. Depuis, on s’arrache ce programme qui donne à l’orchestre l’élan pour défendre ses autres projets lorsque d’autres big bands peinent à trouver des scènes d’accueil.

 

Et il faut bien dire que l’on ne résiste guère à retrouver ces thèmes qui ont bercé notre enfance revisités avec toute la dynamique et la puissance de feu, la gamme de nuances et d’effets propres au big band dont nos quatre compères et leurs comparses ont acquis le tour de main et le supplément d’âme sans lequel les meilleures recettes ne sont que des recettes. Et ce qu’il s’agisse du conte lui-même ou de la suite orchestrale qui suit (ne pas oublier d’aller l’entendre à la fin du disque) dont ils reprennent deux extraits de part et d’autre d’une version bien à eux du célèbre générique de l’orchestre de Duke Ellington, Take the A Train. Bien à eux, car c’est la grâce de cet orchestre que d’avoir sa propre sonorité à force de fidélité de ses membres à leurs pupitres. Mention spéciale aux parties de flûte tenues (notamment dans le rôle de l’oiseau) par Ghyslain Regard (et oui, le frère du contrebassiste Jérôme Regard).

 

On se congratule en coulisses ou David et Jon me racontent le concert de la veille à la Salle Gaveau devant un public d’enfants, avec Denis Podalydès (qui donne la réplique à Leslie Menu sur le disque), et commentent, émerveillés, l’interaction triangulaire entre les réactions des enfants, l’interprétation des comédiens et le jeu de l’orchestre.

 

J’en profite aussi pour échanger quelques mots avec Eric Prost qui m’apprend l’ouverture d’un nouveau lieu à Mâcon au printemps, vaste équipement qui accueillera l’historique Crescent dont il fut l’un des co-fondateurs-plâtriers-peintres. L’idéal mâconnais (1) !

 

Franck Bergerot

 

(1) L’Idéal mâconnais est la spécialité des pâtissiers de Mâcon, une pâte meringuée aux amandes fourrée de crème au beurre pralinée. Appelée Saint-Anthelme à Chambéry, Dacquoise ou Russe à Dax, Summus ou Succès à Paris, on pourrait la rebaptiser Crescent à Mâcon, non ? Un Crescent pour 8 personnes, s’il vous plaît !

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Hier 2 décembre, au Grand Studio de RTL, l’Amazing Keystone Big Band enregistrait sa version de Pierre et le loup dans le cadre de l’Heure du jazz de Jean-Yves Chaperon. Diffusion le 29 décembre.

 

Grand Studio RTL, Paris (75), le 2 décembre (diffusion le 29 décembre, de 23h à minuit)

 

Leslie Menu, Sébastien Denigues (récitants).

The Amazing Keystone Big Band : Vincent Labarre, Thierry Seneau, Joël Chausse, David Enhco (trompettes, bugles), Bastien Ballaz, Loïc Bachevillier, Aloïs Benoit (trombones), Sylvain Thomas (tuba), Ghyslain Regard (flûte, piccolo), Kenny Jeanney (saxophones soprano et alto), Pierre Desassis (clarinette, saxophone alto), Jon Boutellier, Eric Prost (sax ténor), Jean-Philippe Scali (sax baryton, clarinette basse), Thibaut François (guitare), Frédéric Nardin (piano, Fender Rhodes), Patrick Maradan (contrebasse), Romain Sarron (batterie).

 

Entendre un big band “classique” dans un petit lieu, le ventre collé au souffle des sections, c’est un plaisir que je ne me refuse pas, même si dans l’acoustique du grand studio RTL c’était presque un peu trop. Un peu trop en tout cas pour les deux récitants qui peinent à se faire entendre et sont mis à dure épreuve, mais probablement il n’y paraîtra rien à la diffusion de cet enregistrement public le 29 décembre sur RTL. Car c’est Jean-Yves Chaperon qui accueillait, dans son émission hebdomadaire L’Heure du jazz (tous les dimanches de 23h à minuit), l’Amazing Keystone Big dans son programme Pierre et le Loup. Lorraine Soliman attribuait 4 étoiles au CD paru au Chant du Monde, dans notre numéro 655 de novembre (elle n’avait hélas pas en main au moment de la chronique, le livre-disque illustré par Martin Jarre) et je voulais entendre en direct ces partitions imaginées par les quatre responsables de l’orchestre, Frédéric Nardin, Bastien Ballaz, David Enhco et Jon Boutellier. Ce sont ces deux derniers qui sont invités à présenter le projet au micro de Jean-Yves Chaperon, rappelant la genèse de l’orchestre entre le CNSM de Paris et la scène lyonnaise, la commande par le patron de Jazz à Vienne, Jean-Paul Boutellier (père de Jon) d’une version pour big band du conte musical de Serge Prokoviev, Pierre et le loup, et la création au Théâtre antique devant quelques milliers d’enfants euphoriques. Depuis, on s’arrache ce programme qui donne à l’orchestre l’élan pour défendre ses autres projets lorsque d’autres big bands peinent à trouver des scènes d’accueil.

 

Et il faut bien dire que l’on ne résiste guère à retrouver ces thèmes qui ont bercé notre enfance revisités avec toute la dynamique et la puissance de feu, la gamme de nuances et d’effets propres au big band dont nos quatre compères et leurs comparses ont acquis le tour de main et le supplément d’âme sans lequel les meilleures recettes ne sont que des recettes. Et ce qu’il s’agisse du conte lui-même ou de la suite orchestrale qui suit (ne pas oublier d’aller l’entendre à la fin du disque) dont ils reprennent deux extraits de part et d’autre d’une version bien à eux du célèbre générique de l’orchestre de Duke Ellington, Take the A Train. Bien à eux, car c’est la grâce de cet orchestre que d’avoir sa propre sonorité à force de fidélité de ses membres à leurs pupitres. Mention spéciale aux parties de flûte tenues (notamment dans le rôle de l’oiseau) par Ghyslain Regard (et oui, le frère du contrebassiste Jérôme Regard).

 

On se congratule en coulisses ou David et Jon me racontent le concert de la veille à la Salle Gaveau devant un public d’enfants, avec Denis Podalydès (qui donne la réplique à Leslie Menu sur le disque), et commentent, émerveillés, l’interaction triangulaire entre les réactions des enfants, l’interprétation des comédiens et le jeu de l’orchestre.

 

J’en profite aussi pour échanger quelques mots avec Eric Prost qui m’apprend l’ouverture d’un nouveau lieu à Mâcon au printemps, vaste équipement qui accueillera l’historique Crescent dont il fut l’un des co-fondateurs-plâtriers-peintres. L’idéal mâconnais (1) !

 

Franck Bergerot

 

(1) L’Idéal mâconnais est la spécialité des pâtissiers de Mâcon, une pâte meringuée aux amandes fourrée de crème au beurre pralinée. Appelée Saint-Anthelme à Chambéry, Dacquoise ou Russe à Dax, Summus ou Succès à Paris, on pourrait la rebaptiser Crescent à Mâcon, non ? Un Crescent pour 8 personnes, s’il vous plaît !

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Hier 2 décembre, au Grand Studio de RTL, l’Amazing Keystone Big Band enregistrait sa version de Pierre et le loup dans le cadre de l’Heure du jazz de Jean-Yves Chaperon. Diffusion le 29 décembre.

 

Grand Studio RTL, Paris (75), le 2 décembre (diffusion le 29 décembre, de 23h à minuit)

 

Leslie Menu, Sébastien Denigues (récitants).

The Amazing Keystone Big Band : Vincent Labarre, Thierry Seneau, Joël Chausse, David Enhco (trompettes, bugles), Bastien Ballaz, Loïc Bachevillier, Aloïs Benoit (trombones), Sylvain Thomas (tuba), Ghyslain Regard (flûte, piccolo), Kenny Jeanney (saxophones soprano et alto), Pierre Desassis (clarinette, saxophone alto), Jon Boutellier, Eric Prost (sax ténor), Jean-Philippe Scali (sax baryton, clarinette basse), Thibaut François (guitare), Frédéric Nardin (piano, Fender Rhodes), Patrick Maradan (contrebasse), Romain Sarron (batterie).

 

Entendre un big band “classique” dans un petit lieu, le ventre collé au souffle des sections, c’est un plaisir que je ne me refuse pas, même si dans l’acoustique du grand studio RTL c’était presque un peu trop. Un peu trop en tout cas pour les deux récitants qui peinent à se faire entendre et sont mis à dure épreuve, mais probablement il n’y paraîtra rien à la diffusion de cet enregistrement public le 29 décembre sur RTL. Car c’est Jean-Yves Chaperon qui accueillait, dans son émission hebdomadaire L’Heure du jazz (tous les dimanches de 23h à minuit), l’Amazing Keystone Big dans son programme Pierre et le Loup. Lorraine Soliman attribuait 4 étoiles au CD paru au Chant du Monde, dans notre numéro 655 de novembre (elle n’avait hélas pas en main au moment de la chronique, le livre-disque illustré par Martin Jarre) et je voulais entendre en direct ces partitions imaginées par les quatre responsables de l’orchestre, Frédéric Nardin, Bastien Ballaz, David Enhco et Jon Boutellier. Ce sont ces deux derniers qui sont invités à présenter le projet au micro de Jean-Yves Chaperon, rappelant la genèse de l’orchestre entre le CNSM de Paris et la scène lyonnaise, la commande par le patron de Jazz à Vienne, Jean-Paul Boutellier (père de Jon) d’une version pour big band du conte musical de Serge Prokoviev, Pierre et le loup, et la création au Théâtre antique devant quelques milliers d’enfants euphoriques. Depuis, on s’arrache ce programme qui donne à l’orchestre l’élan pour défendre ses autres projets lorsque d’autres big bands peinent à trouver des scènes d’accueil.

 

Et il faut bien dire que l’on ne résiste guère à retrouver ces thèmes qui ont bercé notre enfance revisités avec toute la dynamique et la puissance de feu, la gamme de nuances et d’effets propres au big band dont nos quatre compères et leurs comparses ont acquis le tour de main et le supplément d’âme sans lequel les meilleures recettes ne sont que des recettes. Et ce qu’il s’agisse du conte lui-même ou de la suite orchestrale qui suit (ne pas oublier d’aller l’entendre à la fin du disque) dont ils reprennent deux extraits de part et d’autre d’une version bien à eux du célèbre générique de l’orchestre de Duke Ellington, Take the A Train. Bien à eux, car c’est la grâce de cet orchestre que d’avoir sa propre sonorité à force de fidélité de ses membres à leurs pupitres. Mention spéciale aux parties de flûte tenues (notamment dans le rôle de l’oiseau) par Ghyslain Regard (et oui, le frère du contrebassiste Jérôme Regard).

 

On se congratule en coulisses ou David et Jon me racontent le concert de la veille à la Salle Gaveau devant un public d’enfants, avec Denis Podalydès (qui donne la réplique à Leslie Menu sur le disque), et commentent, émerveillés, l’interaction triangulaire entre les réactions des enfants, l’interprétation des comédiens et le jeu de l’orchestre.

 

J’en profite aussi pour échanger quelques mots avec Eric Prost qui m’apprend l’ouverture d’un nouveau lieu à Mâcon au printemps, vaste équipement qui accueillera l’historique Crescent dont il fut l’un des co-fondateurs-plâtriers-peintres. L’idéal mâconnais (1) !

 

Franck Bergerot

 

(1) L’Idéal mâconnais est la spécialité des pâtissiers de Mâcon, une pâte meringuée aux amandes fourrée de crème au beurre pralinée. Appelée Saint-Anthelme à Chambéry, Dacquoise ou Russe à Dax, Summus ou Succès à Paris, on pourrait la rebaptiser Crescent à Mâcon, non ? Un Crescent pour 8 personnes, s’il vous plaît !

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Hier 2 décembre, au Grand Studio de RTL, l’Amazing Keystone Big Band enregistrait sa version de Pierre et le loup dans le cadre de l’Heure du jazz de Jean-Yves Chaperon. Diffusion le 29 décembre.

 

Grand Studio RTL, Paris (75), le 2 décembre (diffusion le 29 décembre, de 23h à minuit)

 

Leslie Menu, Sébastien Denigues (récitants).

The Amazing Keystone Big Band : Vincent Labarre, Thierry Seneau, Joël Chausse, David Enhco (trompettes, bugles), Bastien Ballaz, Loïc Bachevillier, Aloïs Benoit (trombones), Sylvain Thomas (tuba), Ghyslain Regard (flûte, piccolo), Kenny Jeanney (saxophones soprano et alto), Pierre Desassis (clarinette, saxophone alto), Jon Boutellier, Eric Prost (sax ténor), Jean-Philippe Scali (sax baryton, clarinette basse), Thibaut François (guitare), Frédéric Nardin (piano, Fender Rhodes), Patrick Maradan (contrebasse), Romain Sarron (batterie).

 

Entendre un big band “classique” dans un petit lieu, le ventre collé au souffle des sections, c’est un plaisir que je ne me refuse pas, même si dans l’acoustique du grand studio RTL c’était presque un peu trop. Un peu trop en tout cas pour les deux récitants qui peinent à se faire entendre et sont mis à dure épreuve, mais probablement il n’y paraîtra rien à la diffusion de cet enregistrement public le 29 décembre sur RTL. Car c’est Jean-Yves Chaperon qui accueillait, dans son émission hebdomadaire L’Heure du jazz (tous les dimanches de 23h à minuit), l’Amazing Keystone Big dans son programme Pierre et le Loup. Lorraine Soliman attribuait 4 étoiles au CD paru au Chant du Monde, dans notre numéro 655 de novembre (elle n’avait hélas pas en main au moment de la chronique, le livre-disque illustré par Martin Jarre) et je voulais entendre en direct ces partitions imaginées par les quatre responsables de l’orchestre, Frédéric Nardin, Bastien Ballaz, David Enhco et Jon Boutellier. Ce sont ces deux derniers qui sont invités à présenter le projet au micro de Jean-Yves Chaperon, rappelant la genèse de l’orchestre entre le CNSM de Paris et la scène lyonnaise, la commande par le patron de Jazz à Vienne, Jean-Paul Boutellier (père de Jon) d’une version pour big band du conte musical de Serge Prokoviev, Pierre et le loup, et la création au Théâtre antique devant quelques milliers d’enfants euphoriques. Depuis, on s’arrache ce programme qui donne à l’orchestre l’élan pour défendre ses autres projets lorsque d’autres big bands peinent à trouver des scènes d’accueil.

 

Et il faut bien dire que l’on ne résiste guère à retrouver ces thèmes qui ont bercé notre enfance revisités avec toute la dynamique et la puissance de feu, la gamme de nuances et d’effets propres au big band dont nos quatre compères et leurs comparses ont acquis le tour de main et le supplément d’âme sans lequel les meilleures recettes ne sont que des recettes. Et ce qu’il s’agisse du conte lui-même ou de la suite orchestrale qui suit (ne pas oublier d’aller l’entendre à la fin du disque) dont ils reprennent deux extraits de part et d’autre d’une version bien à eux du célèbre générique de l’orchestre de Duke Ellington, Take the A Train. Bien à eux, car c’est la grâce de cet orchestre que d’avoir sa propre sonorité à force de fidélité de ses membres à leurs pupitres. Mention spéciale aux parties de flûte tenues (notamment dans le rôle de l’oiseau) par Ghyslain Regard (et oui, le frère du contrebassiste Jérôme Regard).

 

On se congratule en coulisses ou David et Jon me racontent le concert de la veille à la Salle Gaveau devant un public d’enfants, avec Denis Podalydès (qui donne la réplique à Leslie Menu sur le disque), et commentent, émerveillés, l’interaction triangulaire entre les réactions des enfants, l’interprétation des comédiens et le jeu de l’orchestre.

 

J’en profite aussi pour échanger quelques mots avec Eric Prost qui m’apprend l’ouverture d’un nouveau lieu à Mâcon au printemps, vaste équipement qui accueillera l’historique Crescent dont il fut l’un des co-fondateurs-plâtriers-peintres. L’idéal mâconnais (1) !

 

Franck Bergerot

 

(1) L’Idéal mâconnais est la spécialité des pâtissiers de Mâcon, une pâte meringuée aux amandes fourrée de crème au beurre pralinée. Appelée Saint-Anthelme à Chambéry, Dacquoise ou Russe à Dax, Summus ou Succès à Paris, on pourrait la rebaptiser Crescent à Mâcon, non ? Un Crescent pour 8 personnes, s’il vous plaît !