Le prix Pulitzer pour Henry Threadgill
Lundi 18 avril 2016, le Pulitzer Prize (qui n’est pas réservé aux journalistes) a été octroyé au compositeur, saxophoniste et flûtiste Henry Threadgill, pour le double-album « In for a Penny, In for a Pound » paru en 2015 sur Pi Recordings et crédité à la formation Zooid, au moment-même où paraît son disque suivant, « Old Locks and Irregular Verbs » interprété par l’Ensemble Double Up.
En mars 2014, le producteur Bill Laswell nous disait sa fierté d’avoir enregistré une poignée d’albums de Threadgill dans les années 90, soulignant à quel point le Chicagoan et membre de la première heure de l’A.A.C.M. (Association for the Advancement of Creative Musicians) était l’une des figures importantes du jazz contemporain, ses disques trouvant alors un écho public et critique non négligeable. L’actualité du septuagénaire s’est ensuite faite plus discrète jusqu’à son association fructueuse avec le label Pi. La célèbre académie honore ainsi une œuvre relevant du jazz, presque 20 ans après avoir décerné le prix à « Blood on the Fields » de Wynton Marsalis. A noter que la candidature de Duke Ellington avait été rejetée en 1965, l’institution ayant surtout distingué au fil du temps des travaux appartenant au champ de la musique classique.
Ce coup de projecteur est particulièrement bienvenu dans le cas de cet artiste authentique et entier, ne suivant rien d’autre que son inspiration depuis plus de quarante ans, et partageant ses concepts avec de jeunes musiciens aujourd’hui reconnus et reconnaissants. C’est donc toute la sphère du (free) jazz qui est en émoi, avec cette validation officielle décernée à l’un de ses acteurs éminents.
La suite musicale honorée est typique du style original et évolutif de son auteur, adepte de méthodologies transversales tenant de la musique de chambre aussi bien que de l’improvisation des participants.
Le groupe Zooid est la principale formation de Threadgill depuis une quinzaine d’années. Ses membres sont : Henry Threadgill (as, fl, bfl), José Davila (tb, tuba), Liberty Ellman (elg), Christopher Hoffman (cello), Elliot Humberto Kavee (dm, perc).
Actualité CD : « Old Locks and Irregular Verbs » (Pi Recordings, 2016, distribué par Orkhêstra)| Lundi 18 avril 2016, le Pulitzer Prize (qui n’est pas réservé aux journalistes) a été octroyé au compositeur, saxophoniste et flûtiste Henry Threadgill, pour le double-album « In for a Penny, In for a Pound » paru en 2015 sur Pi Recordings et crédité à la formation Zooid, au moment-même où paraît son disque suivant, « Old Locks and Irregular Verbs » interprété par l’Ensemble Double Up.
En mars 2014, le producteur Bill Laswell nous disait sa fierté d’avoir enregistré une poignée d’albums de Threadgill dans les années 90, soulignant à quel point le Chicagoan et membre de la première heure de l’A.A.C.M. (Association for the Advancement of Creative Musicians) était l’une des figures importantes du jazz contemporain, ses disques trouvant alors un écho public et critique non négligeable. L’actualité du septuagénaire s’est ensuite faite plus discrète jusqu’à son association fructueuse avec le label Pi. La célèbre académie honore ainsi une œuvre relevant du jazz, presque 20 ans après avoir décerné le prix à « Blood on the Fields » de Wynton Marsalis. A noter que la candidature de Duke Ellington avait été rejetée en 1965, l’institution ayant surtout distingué au fil du temps des travaux appartenant au champ de la musique classique.
Ce coup de projecteur est particulièrement bienvenu dans le cas de cet artiste authentique et entier, ne suivant rien d’autre que son inspiration depuis plus de quarante ans, et partageant ses concepts avec de jeunes musiciens aujourd’hui reconnus et reconnaissants. C’est donc toute la sphère du (free) jazz qui est en émoi, avec cette validation officielle décernée à l’un de ses acteurs éminents.
La suite musicale honorée est typique du style original et évolutif de son auteur, adepte de méthodologies transversales tenant de la musique de chambre aussi bien que de l’improvisation des participants.
Le groupe Zooid est la principale formation de Threadgill depuis une quinzaine d’années. Ses membres sont : Henry Threadgill (as, fl, bfl), José Davila (tb, tuba), Liberty Ellman (elg), Christopher Hoffman (cello), Elliot Humberto Kavee (dm, perc).
Actualité CD : « Old Locks and Irregular Verbs » (Pi Recordings, 2016, distribué par Orkhêstra)| Lundi 18 avril 2016, le Pulitzer Prize (qui n’est pas réservé aux journalistes) a été octroyé au compositeur, saxophoniste et flûtiste Henry Threadgill, pour le double-album « In for a Penny, In for a Pound » paru en 2015 sur Pi Recordings et crédité à la formation Zooid, au moment-même où paraît son disque suivant, « Old Locks and Irregular Verbs » interprété par l’Ensemble Double Up.
En mars 2014, le producteur Bill Laswell nous disait sa fierté d’avoir enregistré une poignée d’albums de Threadgill dans les années 90, soulignant à quel point le Chicagoan et membre de la première heure de l’A.A.C.M. (Association for the Advancement of Creative Musicians) était l’une des figures importantes du jazz contemporain, ses disques trouvant alors un écho public et critique non négligeable. L’actualité du septuagénaire s’est ensuite faite plus discrète jusqu’à son association fructueuse avec le label Pi. La célèbre académie honore ainsi une œuvre relevant du jazz, presque 20 ans après avoir décerné le prix à « Blood on the Fields » de Wynton Marsalis. A noter que la candidature de Duke Ellington avait été rejetée en 1965, l’institution ayant surtout distingué au fil du temps des travaux appartenant au champ de la musique classique.
Ce coup de projecteur est particulièrement bienvenu dans le cas de cet artiste authentique et entier, ne suivant rien d’autre que son inspiration depuis plus de quarante ans, et partageant ses concepts avec de jeunes musiciens aujourd’hui reconnus et reconnaissants. C’est donc toute la sphère du (free) jazz qui est en émoi, avec cette validation officielle décernée à l’un de ses acteurs éminents.
La suite musicale honorée est typique du style original et évolutif de son auteur, adepte de méthodologies transversales tenant de la musique de chambre aussi bien que de l’improvisation des participants.
Le groupe Zooid est la principale formation de Threadgill depuis une quinzaine d’années. Ses membres sont : Henry Threadgill (as, fl, bfl), José Davila (tb, tuba), Liberty Ellman (elg), Christopher Hoffman (cello), Elliot Humberto Kavee (dm, perc).
Actualité CD : « Old Locks and Irregular Verbs » (Pi Recordings, 2016, distribué par Orkhêstra)| Lundi 18 avril 2016, le Pulitzer Prize (qui n’est pas réservé aux journalistes) a été octroyé au compositeur, saxophoniste et flûtiste Henry Threadgill, pour le double-album « In for a Penny, In for a Pound » paru en 2015 sur Pi Recordings et crédité à la formation Zooid, au moment-même où paraît son disque suivant, « Old Locks and Irregular Verbs » interprété par l’Ensemble Double Up.
En mars 2014, le producteur Bill Laswell nous disait sa fierté d’avoir enregistré une poignée d’albums de Threadgill dans les années 90, soulignant à quel point le Chicagoan et membre de la première heure de l’A.A.C.M. (Association for the Advancement of Creative Musicians) était l’une des figures importantes du jazz contemporain, ses disques trouvant alors un écho public et critique non négligeable. L’actualité du septuagénaire s’est ensuite faite plus discrète jusqu’à son association fructueuse avec le label Pi. La célèbre académie honore ainsi une œuvre relevant du jazz, presque 20 ans après avoir décerné le prix à « Blood on the Fields » de Wynton Marsalis. A noter que la candidature de Duke Ellington avait été rejetée en 1965, l’institution ayant surtout distingué au fil du temps des travaux appartenant au champ de la musique classique.
Ce coup de projecteur est particulièrement bienvenu dans le cas de cet artiste authentique et entier, ne suivant rien d’autre que son inspiration depuis plus de quarante ans, et partageant ses concepts avec de jeunes musiciens aujourd’hui reconnus et reconnaissants. C’est donc toute la sphère du (free) jazz qui est en émoi, avec cette validation officielle décernée à l’un de ses acteurs éminents.
La suite musicale honorée est typique du style original et évolutif de son auteur, adepte de méthodologies transversales tenant de la musique de chambre aussi bien que de l’improvisation des participants.
Le groupe Zooid est la principale formation de Threadgill depuis une quinzaine d’années. Ses membres sont : Henry Threadgill (as, fl, bfl), José Davila (tb, tuba), Liberty Ellman (elg), Christopher Hoffman (cello), Elliot Humberto Kavee (dm, perc).
Actualité CD : « Old Locks and Irregular Verbs » (Pi Recordings, 2016, distribué par Orkhêstra)