Programmation électrisante à La Dynamo!
A l’extérieur, tout n’était que vent froidure et pluie. Heureusement, le programme de soirée pantinoise annonçait une chaude soirée électrisante…….
Metal-O-Phone
Mercredi 20 novembre 2013, La Dynamo de Banlieues Bleues, Pantin (93)
Benjamin Flament (vib), Joachim Florent (b), Elie Duris dm)
La moyenne d’age du public venu ce soir, à quelques encablures du périphérique parisien, a sérieusement diminué avec l’arrivée de collégiens de La Courneuve, ville qui accueille en résidence, le vibraphoniste Benjamin Flament. Sur scène, trois jeunes membres fringants de l’impétueux collectif Coax. Le concert commence dans le grave, à l’archet. Pour la basse de Joachim Florent, quoi de plus naturel !
Dans les lames duvibraphone, cela produit de profondes basses bidouillées par une électronique malicieuse. Seul, le batteur, Elie Duris, conservera tout au long du set un son luxuriant purement acoustique. Par la suite, on retrouve un vibraphone dans l’esprit de Gary Burton, accompagné par une basse rugissante et une batterie intense. Les échanges entre ces énergiques frondeurs sont productifs et audacieux. Ce trio infernal, qui présentait son second CD et nous aussi donné un apercu d’un futur troisième opus. Affaire à suivre….
Luc Ex’ Assemblée
Un peu plus tard, au même endroit…..
Ingrid Laubrock (ts, ss), Ab Baars (ts, cla, fl), Luc Ex (elb), Hamid Drake (dm)
Elle a une superbe gueule, cette Assemblée constitué par Luc Ex, le trublion batave, échappé pour cette tournée, du groupe de rock punk « The Ex ». Ingrid Laubrock, la gracieuse valkirie libertaire, en débardeur fleuri et botillons rouges, aux cotés du toujours très élégant, Ab Baars qui arbore un splendide gilet de laine aux boutons rutilants, un pantalon au pli irréprochable et des pompes impécablement cirées. Quelle classe. A la batterie, le partenaire idéal pour partir à l’aventure, Hamid Drake, l’homme qui sait faire parler les peaux et chanter les cymbales.
Voici donc un beau quartet transatlantique qui défriche avec appétit des territoires où le jazz hard bop ou free se marrie avec des sonoriés héritées du rock et de la noise music. Il existe une très belle symbiose entre les deux soufleurs. Propulssé par une rythmique superlative, les solos de ténor sont larges, puissants, inventifs et très libres et souvent ourlés avec goût par le ou la partenaire d’anche. Luc Ex est aux anges et trépigne de satisfaction. Les deux soufleurs sont aussi capables de momments beaucoup plus aériens et poétiques quand Ingrid duétise au soprano avec la clarinette boisée ou le sakuhachi (flute japonaise en bois) d’Ab. Hamid, le sourire aux lèvres, trouve toujours, le drumming efficace et pertinent. Superbe soirée!!
Paul Jaillet
Prochains concerts à la Dynamo de Banlieues Bleues :
Samedi 30 novembre : Festival UMLAUT
Vendredi 6 décembre : Soirée ROGUE ART
|
A l’extérieur, tout n’était que vent froidure et pluie. Heureusement, le programme de soirée pantinoise annonçait une chaude soirée électrisante…….
Metal-O-Phone
Mercredi 20 novembre 2013, La Dynamo de Banlieues Bleues, Pantin (93)
Benjamin Flament (vib), Joachim Florent (b), Elie Duris dm)
La moyenne d’age du public venu ce soir, à quelques encablures du périphérique parisien, a sérieusement diminué avec l’arrivée de collégiens de La Courneuve, ville qui accueille en résidence, le vibraphoniste Benjamin Flament. Sur scène, trois jeunes membres fringants de l’impétueux collectif Coax. Le concert commence dans le grave, à l’archet. Pour la basse de Joachim Florent, quoi de plus naturel !
Dans les lames duvibraphone, cela produit de profondes basses bidouillées par une électronique malicieuse. Seul, le batteur, Elie Duris, conservera tout au long du set un son luxuriant purement acoustique. Par la suite, on retrouve un vibraphone dans l’esprit de Gary Burton, accompagné par une basse rugissante et une batterie intense. Les échanges entre ces énergiques frondeurs sont productifs et audacieux. Ce trio infernal, qui présentait son second CD et nous aussi donné un apercu d’un futur troisième opus. Affaire à suivre….
Luc Ex’ Assemblée
Un peu plus tard, au même endroit…..
Ingrid Laubrock (ts, ss), Ab Baars (ts, cla, fl), Luc Ex (elb), Hamid Drake (dm)
Elle a une superbe gueule, cette Assemblée constitué par Luc Ex, le trublion batave, échappé pour cette tournée, du groupe de rock punk « The Ex ». Ingrid Laubrock, la gracieuse valkirie libertaire, en débardeur fleuri et botillons rouges, aux cotés du toujours très élégant, Ab Baars qui arbore un splendide gilet de laine aux boutons rutilants, un pantalon au pli irréprochable et des pompes impécablement cirées. Quelle classe. A la batterie, le partenaire idéal pour partir à l’aventure, Hamid Drake, l’homme qui sait faire parler les peaux et chanter les cymbales.
Voici donc un beau quartet transatlantique qui défriche avec appétit des territoires où le jazz hard bop ou free se marrie avec des sonoriés héritées du rock et de la noise music. Il existe une très belle symbiose entre les deux soufleurs. Propulssé par une rythmique superlative, les solos de ténor sont larges, puissants, inventifs et très libres et souvent ourlés avec goût par le ou la partenaire d’anche. Luc Ex est aux anges et trépigne de satisfaction. Les deux soufleurs sont aussi capables de momments beaucoup plus aériens et poétiques quand Ingrid duétise au soprano avec la clarinette boisée ou le sakuhachi (flute japonaise en bois) d’Ab. Hamid, le sourire aux lèvres, trouve toujours, le drumming efficace et pertinent. Superbe soirée!!
Paul Jaillet
Prochains concerts à la Dynamo de Banlieues Bleues :
Samedi 30 novembre : Festival UMLAUT
Vendredi 6 décembre : Soirée ROGUE ART
|
A l’extérieur, tout n’était que vent froidure et pluie. Heureusement, le programme de soirée pantinoise annonçait une chaude soirée électrisante…….
Metal-O-Phone
Mercredi 20 novembre 2013, La Dynamo de Banlieues Bleues, Pantin (93)
Benjamin Flament (vib), Joachim Florent (b), Elie Duris dm)
La moyenne d’age du public venu ce soir, à quelques encablures du périphérique parisien, a sérieusement diminué avec l’arrivée de collégiens de La Courneuve, ville qui accueille en résidence, le vibraphoniste Benjamin Flament. Sur scène, trois jeunes membres fringants de l’impétueux collectif Coax. Le concert commence dans le grave, à l’archet. Pour la basse de Joachim Florent, quoi de plus naturel !
Dans les lames duvibraphone, cela produit de profondes basses bidouillées par une électronique malicieuse. Seul, le batteur, Elie Duris, conservera tout au long du set un son luxuriant purement acoustique. Par la suite, on retrouve un vibraphone dans l’esprit de Gary Burton, accompagné par une basse rugissante et une batterie intense. Les échanges entre ces énergiques frondeurs sont productifs et audacieux. Ce trio infernal, qui présentait son second CD et nous aussi donné un apercu d’un futur troisième opus. Affaire à suivre….
Luc Ex’ Assemblée
Un peu plus tard, au même endroit…..
Ingrid Laubrock (ts, ss), Ab Baars (ts, cla, fl), Luc Ex (elb), Hamid Drake (dm)
Elle a une superbe gueule, cette Assemblée constitué par Luc Ex, le trublion batave, échappé pour cette tournée, du groupe de rock punk « The Ex ». Ingrid Laubrock, la gracieuse valkirie libertaire, en débardeur fleuri et botillons rouges, aux cotés du toujours très élégant, Ab Baars qui arbore un splendide gilet de laine aux boutons rutilants, un pantalon au pli irréprochable et des pompes impécablement cirées. Quelle classe. A la batterie, le partenaire idéal pour partir à l’aventure, Hamid Drake, l’homme qui sait faire parler les peaux et chanter les cymbales.
Voici donc un beau quartet transatlantique qui défriche avec appétit des territoires où le jazz hard bop ou free se marrie avec des sonoriés héritées du rock et de la noise music. Il existe une très belle symbiose entre les deux soufleurs. Propulssé par une rythmique superlative, les solos de ténor sont larges, puissants, inventifs et très libres et souvent ourlés avec goût par le ou la partenaire d’anche. Luc Ex est aux anges et trépigne de satisfaction. Les deux soufleurs sont aussi capables de momments beaucoup plus aériens et poétiques quand Ingrid duétise au soprano avec la clarinette boisée ou le sakuhachi (flute japonaise en bois) d’Ab. Hamid, le sourire aux lèvres, trouve toujours, le drumming efficace et pertinent. Superbe soirée!!
Paul Jaillet
Prochains concerts à la Dynamo de Banlieues Bleues :
Samedi 30 novembre : Festival UMLAUT
Vendredi 6 décembre : Soirée ROGUE ART
|
A l’extérieur, tout n’était que vent froidure et pluie. Heureusement, le programme de soirée pantinoise annonçait une chaude soirée électrisante…….
Metal-O-Phone
Mercredi 20 novembre 2013, La Dynamo de Banlieues Bleues, Pantin (93)
Benjamin Flament (vib), Joachim Florent (b), Elie Duris dm)
La moyenne d’age du public venu ce soir, à quelques encablures du périphérique parisien, a sérieusement diminué avec l’arrivée de collégiens de La Courneuve, ville qui accueille en résidence, le vibraphoniste Benjamin Flament. Sur scène, trois jeunes membres fringants de l’impétueux collectif Coax. Le concert commence dans le grave, à l’archet. Pour la basse de Joachim Florent, quoi de plus naturel !
Dans les lames duvibraphone, cela produit de profondes basses bidouillées par une électronique malicieuse. Seul, le batteur, Elie Duris, conservera tout au long du set un son luxuriant purement acoustique. Par la suite, on retrouve un vibraphone dans l’esprit de Gary Burton, accompagné par une basse rugissante et une batterie intense. Les échanges entre ces énergiques frondeurs sont productifs et audacieux. Ce trio infernal, qui présentait son second CD et nous aussi donné un apercu d’un futur troisième opus. Affaire à suivre….
Luc Ex’ Assemblée
Un peu plus tard, au même endroit…..
Ingrid Laubrock (ts, ss), Ab Baars (ts, cla, fl), Luc Ex (elb), Hamid Drake (dm)
Elle a une superbe gueule, cette Assemblée constitué par Luc Ex, le trublion batave, échappé pour cette tournée, du groupe de rock punk « The Ex ». Ingrid Laubrock, la gracieuse valkirie libertaire, en débardeur fleuri et botillons rouges, aux cotés du toujours très élégant, Ab Baars qui arbore un splendide gilet de laine aux boutons rutilants, un pantalon au pli irréprochable et des pompes impécablement cirées. Quelle classe. A la batterie, le partenaire idéal pour partir à l’aventure, Hamid Drake, l’homme qui sait faire parler les peaux et chanter les cymbales.
Voici donc un beau quartet transatlantique qui défriche avec appétit des territoires où le jazz hard bop ou free se marrie avec des sonoriés héritées du rock et de la noise music. Il existe une très belle symbiose entre les deux soufleurs. Propulssé par une rythmique superlative, les solos de ténor sont larges, puissants, inventifs et très libres et souvent ourlés avec goût par le ou la partenaire d’anche. Luc Ex est aux anges et trépigne de satisfaction. Les deux soufleurs sont aussi capables de momments beaucoup plus aériens et poétiques quand Ingrid duétise au soprano avec la clarinette boisée ou le sakuhachi (flute japonaise en bois) d’Ab. Hamid, le sourire aux lèvres, trouve toujours, le drumming efficace et pertinent. Superbe soirée!!
Paul Jaillet
Prochains concerts à la Dynamo de Banlieues Bleues :
Samedi 30 novembre : Festival UMLAUT
Vendredi 6 décembre : Soirée ROGUE ART