Jazz live
Publié le 31 Jan 2015

"Encore heureux", par le collectif "Yes Igor", à l'opéra de Bordeaux

 

On a suffisamment reproché à l’opéra de Bordeaux et à son directeur de faire des choix artistiques peu risqués pour applaudir sans réserves à cet accueil d’une adaptation de « La Mouette » de Tchekov par un collectif d’artistes bordelais qui, sans en être à leur coup d’essai, n’en sont pas moins encore tout frais dans le champ de l’écriture théâtrale. Au-delà même du théâtre, puisque cette « opérette » (avec happy-end inclus) contient et comporte beaucoup de musique, et qu’elle est structurée formellement de façon classique en « moments parlés » (récitatifs) et « numéros » (chansons). Nous avons suivi déjà deux étapes de ce travail, nous avons rendu compte ici-même (http://www.jazzmagazine.com/index.php/le-jazz-live/1-le-jazz-live/838-a-voix-haute-bagneres-de-bigorre-collectif-qyes-igorq-et-qbaa-boxq) de la première version qui fut présentée à Bagnères-de-Bigorre. Parler de ce spectacle ici, c’est être fidèle avant tout à deux ou trois musiciens qui ont avec le jazz des rapports très étroits, même si la situation fait qu’ils parviennent mieux à inscrire leur désir et surtout leur travail dans le champ du théâtre que dans celui de la musique « pure ». Et donc…

 

« Encore Heureux », de et avec Christophe Cattoen, Manuel Coursin, M. Gadou, Isabelle Jelen, Pierre Lachaud, Bruno Lahontâa, Andrea Sitter. Musique : M. Gadou, et Cédric Jeanneaud et M. Gadou pour le final. Chansons : Isabelle Jelen et M. Gadou. Chorégraphie : Andrea Sitter.

 

A en croire l’état de la scène, et donc du monde, à la fin de l’action, à en croire aussi ce double de l’ordinateur  de « 2001 » caché dans un réfrigérateur qui annonce finalement le pire sans omettre de bien préciser que nous n’en sommes pas innocents, nous sommes peut-être « encore heureux » mais pas pour longtemps. Une leçon qui se déduit fort justement d’une lecture attentive de la pièce de Tchekov, lequel sous couvert de bavardages impénitents ayant trait à l’amour, au théâtre, et finalement à la vie, anticipait avec une cruelle lucidité sur la fin des temps, laquelle, au sens strict, ne saurait se présenter que sous la forme de l’abolition de tout, et même du souvenir de ce qui fut.

 

Le « théâtre dans le théâtre » est parfaitement respecté, petite scène avec écran de projection installée/dessinée au centre de la grande. La visibilité des effets spéciaux est évidemment totale (neige, vent, pluie, brumes, fumées, orages, etc.) et elle produit pas mal de situations comiques, dans la mesure où ils ratent évidemment la plupart du temps leur effet supposé. Une équipe de « bras cassés » qui tentent de monter une pièce, et n’y parviennent qu’au prix de dévoiler la dérision de l’entreprise, et au-delà la déreliction dans laquelle ils sont engagés, et nous avec.

 

Tchekov aurait-il cherché à nous faire toucher du doigt ce qui se produit quand la « signification » disparaît ? Quelque chose qui aurait à voir avec ce que Lévi-Strauss lui même annonçait sous la forme de l’abolition finale de tout, y compris du souvenir de ce qui fut ? Le lien avec « Hamlet » de Shakespeare est manifeste dans « La Mouette », nous ne sommes donc pas loin d’une manifestation du non-sens, qu’en termes freudiens on comprendrait comme une sorte de chute de ce qui symbolise le désir.

 

C’est en tous cas ce qui ressort de cette « adaptation » dont les rires cachent mal la dévastation finale. Musicalement, littérairement, c’est écrit avec un sens du minimalisme et de la distance très appréciables. Si, parfois, on ressent comme des brisures de rythme (et ce n’est pas la première fois dans les production du collectif), c’est aussi que cette mise « à plat » des choses irait mal avec l’accélération, l’enthousiasme, et l’énergie. Il en faut beaucoup pour parvenir à ce beau résultat, mais elle doit rester secrète, cachée. 

 

Et rappelons pour finir que M. Gadou (compositeur, arrangeur, guitariste, tromboniste, etc.) fut, il y a quelques années, du premier « concert du dimanche » à l’opéra consacré à des formations de jazz. Il y dirigeait avec discrétion et talent une formation qui aurait pu connaître une succès plus large : « Grand Six ». Il y aurait beaucoup à dire, par ailleurs, sur la façon dont les musiciens « de jazz » en Aquitaine n’ont trouvé leur survivance qu’à travers les formes théâtrales : ainsi Marc Depond (Théâtre de la Voix, Christine Dormoy), ou encore Christian Vieussens. C’est donc encore une fois pour moi l’occasion de rappeler, tel Caton à propos de Carthage, que la situation du jazz dans notre région appellerait des actions plus déterminées.

 

Philippe Méziat

|

 

On a suffisamment reproché à l’opéra de Bordeaux et à son directeur de faire des choix artistiques peu risqués pour applaudir sans réserves à cet accueil d’une adaptation de « La Mouette » de Tchekov par un collectif d’artistes bordelais qui, sans en être à leur coup d’essai, n’en sont pas moins encore tout frais dans le champ de l’écriture théâtrale. Au-delà même du théâtre, puisque cette « opérette » (avec happy-end inclus) contient et comporte beaucoup de musique, et qu’elle est structurée formellement de façon classique en « moments parlés » (récitatifs) et « numéros » (chansons). Nous avons suivi déjà deux étapes de ce travail, nous avons rendu compte ici-même (http://www.jazzmagazine.com/index.php/le-jazz-live/1-le-jazz-live/838-a-voix-haute-bagneres-de-bigorre-collectif-qyes-igorq-et-qbaa-boxq) de la première version qui fut présentée à Bagnères-de-Bigorre. Parler de ce spectacle ici, c’est être fidèle avant tout à deux ou trois musiciens qui ont avec le jazz des rapports très étroits, même si la situation fait qu’ils parviennent mieux à inscrire leur désir et surtout leur travail dans le champ du théâtre que dans celui de la musique « pure ». Et donc…

 

« Encore Heureux », de et avec Christophe Cattoen, Manuel Coursin, M. Gadou, Isabelle Jelen, Pierre Lachaud, Bruno Lahontâa, Andrea Sitter. Musique : M. Gadou, et Cédric Jeanneaud et M. Gadou pour le final. Chansons : Isabelle Jelen et M. Gadou. Chorégraphie : Andrea Sitter.

 

A en croire l’état de la scène, et donc du monde, à la fin de l’action, à en croire aussi ce double de l’ordinateur  de « 2001 » caché dans un réfrigérateur qui annonce finalement le pire sans omettre de bien préciser que nous n’en sommes pas innocents, nous sommes peut-être « encore heureux » mais pas pour longtemps. Une leçon qui se déduit fort justement d’une lecture attentive de la pièce de Tchekov, lequel sous couvert de bavardages impénitents ayant trait à l’amour, au théâtre, et finalement à la vie, anticipait avec une cruelle lucidité sur la fin des temps, laquelle, au sens strict, ne saurait se présenter que sous la forme de l’abolition de tout, et même du souvenir de ce qui fut.

 

Le « théâtre dans le théâtre » est parfaitement respecté, petite scène avec écran de projection installée/dessinée au centre de la grande. La visibilité des effets spéciaux est évidemment totale (neige, vent, pluie, brumes, fumées, orages, etc.) et elle produit pas mal de situations comiques, dans la mesure où ils ratent évidemment la plupart du temps leur effet supposé. Une équipe de « bras cassés » qui tentent de monter une pièce, et n’y parviennent qu’au prix de dévoiler la dérision de l’entreprise, et au-delà la déreliction dans laquelle ils sont engagés, et nous avec.

 

Tchekov aurait-il cherché à nous faire toucher du doigt ce qui se produit quand la « signification » disparaît ? Quelque chose qui aurait à voir avec ce que Lévi-Strauss lui même annonçait sous la forme de l’abolition finale de tout, y compris du souvenir de ce qui fut ? Le lien avec « Hamlet » de Shakespeare est manifeste dans « La Mouette », nous ne sommes donc pas loin d’une manifestation du non-sens, qu’en termes freudiens on comprendrait comme une sorte de chute de ce qui symbolise le désir.

 

C’est en tous cas ce qui ressort de cette « adaptation » dont les rires cachent mal la dévastation finale. Musicalement, littérairement, c’est écrit avec un sens du minimalisme et de la distance très appréciables. Si, parfois, on ressent comme des brisures de rythme (et ce n’est pas la première fois dans les production du collectif), c’est aussi que cette mise « à plat » des choses irait mal avec l’accélération, l’enthousiasme, et l’énergie. Il en faut beaucoup pour parvenir à ce beau résultat, mais elle doit rester secrète, cachée. 

 

Et rappelons pour finir que M. Gadou (compositeur, arrangeur, guitariste, tromboniste, etc.) fut, il y a quelques années, du premier « concert du dimanche » à l’opéra consacré à des formations de jazz. Il y dirigeait avec discrétion et talent une formation qui aurait pu connaître une succès plus large : « Grand Six ». Il y aurait beaucoup à dire, par ailleurs, sur la façon dont les musiciens « de jazz » en Aquitaine n’ont trouvé leur survivance qu’à travers les formes théâtrales : ainsi Marc Depond (Théâtre de la Voix, Christine Dormoy), ou encore Christian Vieussens. C’est donc encore une fois pour moi l’occasion de rappeler, tel Caton à propos de Carthage, que la situation du jazz dans notre région appellerait des actions plus déterminées.

 

Philippe Méziat

|

 

On a suffisamment reproché à l’opéra de Bordeaux et à son directeur de faire des choix artistiques peu risqués pour applaudir sans réserves à cet accueil d’une adaptation de « La Mouette » de Tchekov par un collectif d’artistes bordelais qui, sans en être à leur coup d’essai, n’en sont pas moins encore tout frais dans le champ de l’écriture théâtrale. Au-delà même du théâtre, puisque cette « opérette » (avec happy-end inclus) contient et comporte beaucoup de musique, et qu’elle est structurée formellement de façon classique en « moments parlés » (récitatifs) et « numéros » (chansons). Nous avons suivi déjà deux étapes de ce travail, nous avons rendu compte ici-même (http://www.jazzmagazine.com/index.php/le-jazz-live/1-le-jazz-live/838-a-voix-haute-bagneres-de-bigorre-collectif-qyes-igorq-et-qbaa-boxq) de la première version qui fut présentée à Bagnères-de-Bigorre. Parler de ce spectacle ici, c’est être fidèle avant tout à deux ou trois musiciens qui ont avec le jazz des rapports très étroits, même si la situation fait qu’ils parviennent mieux à inscrire leur désir et surtout leur travail dans le champ du théâtre que dans celui de la musique « pure ». Et donc…

 

« Encore Heureux », de et avec Christophe Cattoen, Manuel Coursin, M. Gadou, Isabelle Jelen, Pierre Lachaud, Bruno Lahontâa, Andrea Sitter. Musique : M. Gadou, et Cédric Jeanneaud et M. Gadou pour le final. Chansons : Isabelle Jelen et M. Gadou. Chorégraphie : Andrea Sitter.

 

A en croire l’état de la scène, et donc du monde, à la fin de l’action, à en croire aussi ce double de l’ordinateur  de « 2001 » caché dans un réfrigérateur qui annonce finalement le pire sans omettre de bien préciser que nous n’en sommes pas innocents, nous sommes peut-être « encore heureux » mais pas pour longtemps. Une leçon qui se déduit fort justement d’une lecture attentive de la pièce de Tchekov, lequel sous couvert de bavardages impénitents ayant trait à l’amour, au théâtre, et finalement à la vie, anticipait avec une cruelle lucidité sur la fin des temps, laquelle, au sens strict, ne saurait se présenter que sous la forme de l’abolition de tout, et même du souvenir de ce qui fut.

 

Le « théâtre dans le théâtre » est parfaitement respecté, petite scène avec écran de projection installée/dessinée au centre de la grande. La visibilité des effets spéciaux est évidemment totale (neige, vent, pluie, brumes, fumées, orages, etc.) et elle produit pas mal de situations comiques, dans la mesure où ils ratent évidemment la plupart du temps leur effet supposé. Une équipe de « bras cassés » qui tentent de monter une pièce, et n’y parviennent qu’au prix de dévoiler la dérision de l’entreprise, et au-delà la déreliction dans laquelle ils sont engagés, et nous avec.

 

Tchekov aurait-il cherché à nous faire toucher du doigt ce qui se produit quand la « signification » disparaît ? Quelque chose qui aurait à voir avec ce que Lévi-Strauss lui même annonçait sous la forme de l’abolition finale de tout, y compris du souvenir de ce qui fut ? Le lien avec « Hamlet » de Shakespeare est manifeste dans « La Mouette », nous ne sommes donc pas loin d’une manifestation du non-sens, qu’en termes freudiens on comprendrait comme une sorte de chute de ce qui symbolise le désir.

 

C’est en tous cas ce qui ressort de cette « adaptation » dont les rires cachent mal la dévastation finale. Musicalement, littérairement, c’est écrit avec un sens du minimalisme et de la distance très appréciables. Si, parfois, on ressent comme des brisures de rythme (et ce n’est pas la première fois dans les production du collectif), c’est aussi que cette mise « à plat » des choses irait mal avec l’accélération, l’enthousiasme, et l’énergie. Il en faut beaucoup pour parvenir à ce beau résultat, mais elle doit rester secrète, cachée. 

 

Et rappelons pour finir que M. Gadou (compositeur, arrangeur, guitariste, tromboniste, etc.) fut, il y a quelques années, du premier « concert du dimanche » à l’opéra consacré à des formations de jazz. Il y dirigeait avec discrétion et talent une formation qui aurait pu connaître une succès plus large : « Grand Six ». Il y aurait beaucoup à dire, par ailleurs, sur la façon dont les musiciens « de jazz » en Aquitaine n’ont trouvé leur survivance qu’à travers les formes théâtrales : ainsi Marc Depond (Théâtre de la Voix, Christine Dormoy), ou encore Christian Vieussens. C’est donc encore une fois pour moi l’occasion de rappeler, tel Caton à propos de Carthage, que la situation du jazz dans notre région appellerait des actions plus déterminées.

 

Philippe Méziat

|

 

On a suffisamment reproché à l’opéra de Bordeaux et à son directeur de faire des choix artistiques peu risqués pour applaudir sans réserves à cet accueil d’une adaptation de « La Mouette » de Tchekov par un collectif d’artistes bordelais qui, sans en être à leur coup d’essai, n’en sont pas moins encore tout frais dans le champ de l’écriture théâtrale. Au-delà même du théâtre, puisque cette « opérette » (avec happy-end inclus) contient et comporte beaucoup de musique, et qu’elle est structurée formellement de façon classique en « moments parlés » (récitatifs) et « numéros » (chansons). Nous avons suivi déjà deux étapes de ce travail, nous avons rendu compte ici-même (http://www.jazzmagazine.com/index.php/le-jazz-live/1-le-jazz-live/838-a-voix-haute-bagneres-de-bigorre-collectif-qyes-igorq-et-qbaa-boxq) de la première version qui fut présentée à Bagnères-de-Bigorre. Parler de ce spectacle ici, c’est être fidèle avant tout à deux ou trois musiciens qui ont avec le jazz des rapports très étroits, même si la situation fait qu’ils parviennent mieux à inscrire leur désir et surtout leur travail dans le champ du théâtre que dans celui de la musique « pure ». Et donc…

 

« Encore Heureux », de et avec Christophe Cattoen, Manuel Coursin, M. Gadou, Isabelle Jelen, Pierre Lachaud, Bruno Lahontâa, Andrea Sitter. Musique : M. Gadou, et Cédric Jeanneaud et M. Gadou pour le final. Chansons : Isabelle Jelen et M. Gadou. Chorégraphie : Andrea Sitter.

 

A en croire l’état de la scène, et donc du monde, à la fin de l’action, à en croire aussi ce double de l’ordinateur  de « 2001 » caché dans un réfrigérateur qui annonce finalement le pire sans omettre de bien préciser que nous n’en sommes pas innocents, nous sommes peut-être « encore heureux » mais pas pour longtemps. Une leçon qui se déduit fort justement d’une lecture attentive de la pièce de Tchekov, lequel sous couvert de bavardages impénitents ayant trait à l’amour, au théâtre, et finalement à la vie, anticipait avec une cruelle lucidité sur la fin des temps, laquelle, au sens strict, ne saurait se présenter que sous la forme de l’abolition de tout, et même du souvenir de ce qui fut.

 

Le « théâtre dans le théâtre » est parfaitement respecté, petite scène avec écran de projection installée/dessinée au centre de la grande. La visibilité des effets spéciaux est évidemment totale (neige, vent, pluie, brumes, fumées, orages, etc.) et elle produit pas mal de situations comiques, dans la mesure où ils ratent évidemment la plupart du temps leur effet supposé. Une équipe de « bras cassés » qui tentent de monter une pièce, et n’y parviennent qu’au prix de dévoiler la dérision de l’entreprise, et au-delà la déreliction dans laquelle ils sont engagés, et nous avec.

 

Tchekov aurait-il cherché à nous faire toucher du doigt ce qui se produit quand la « signification » disparaît ? Quelque chose qui aurait à voir avec ce que Lévi-Strauss lui même annonçait sous la forme de l’abolition finale de tout, y compris du souvenir de ce qui fut ? Le lien avec « Hamlet » de Shakespeare est manifeste dans « La Mouette », nous ne sommes donc pas loin d’une manifestation du non-sens, qu’en termes freudiens on comprendrait comme une sorte de chute de ce qui symbolise le désir.

 

C’est en tous cas ce qui ressort de cette « adaptation » dont les rires cachent mal la dévastation finale. Musicalement, littérairement, c’est écrit avec un sens du minimalisme et de la distance très appréciables. Si, parfois, on ressent comme des brisures de rythme (et ce n’est pas la première fois dans les production du collectif), c’est aussi que cette mise « à plat » des choses irait mal avec l’accélération, l’enthousiasme, et l’énergie. Il en faut beaucoup pour parvenir à ce beau résultat, mais elle doit rester secrète, cachée. 

 

Et rappelons pour finir que M. Gadou (compositeur, arrangeur, guitariste, tromboniste, etc.) fut, il y a quelques années, du premier « concert du dimanche » à l’opéra consacré à des formations de jazz. Il y dirigeait avec discrétion et talent une formation qui aurait pu connaître une succès plus large : « Grand Six ». Il y aurait beaucoup à dire, par ailleurs, sur la façon dont les musiciens « de jazz » en Aquitaine n’ont trouvé leur survivance qu’à travers les formes théâtrales : ainsi Marc Depond (Théâtre de la Voix, Christine Dormoy), ou encore Christian Vieussens. C’est donc encore une fois pour moi l’occasion de rappeler, tel Caton à propos de Carthage, que la situation du jazz dans notre région appellerait des actions plus déterminées.

 

Philippe Méziat