Rendez-vous de l'Erdre (II), belle plaisance et belle présence du jazz
C’est à bord d’une toue cabanée de la meilleure provenance, conduite d’une main sûre par Yann, que nous remontons samedi vers 16.30 la cohorte des bateaux qui vont se diriger vers le fond de l’Erdre, là où est posée la scène nautique. Cette régate un peu particulière regroupe chaque année les bateaux les plus divers, en provenance de notre hexagone mais aussi parfois au-delà, et donne aux abords de la petite rivière parfaitement navigable un air de fête populaire tout à fait réjouissant. La musique accompagne depuis longtemps cet évènement de la fin du mois d’août, et depuis une huitaine d’années c’est Armand Meignan qui est chargé de lui donner sa partition musicale, sur le thème du jazz, décliné sous toutes ses formes. L’accès aux bords de l’Erdre est totalement gratuit, et les commerces provisoires installés sur les quais sont tenus par des associations, et pratiquent des tarifs très accessibles.
Voilà de quoi réunir plus de 150.000 personnes en trois jours, et faire de ces « Rendez-vous » un peu particuliers l’un des festivals de jazz les plus importants de France, et en tous cas le plus accessible : où est-il possible d’assister gratuitement, dans de bonnes conditions, à des concerts de Michel Portal, Médéric Collignon, Aldo Romano, Daniel Humair, Anne Paceo, Romane, ou encore de Rubatong qu’on attend cet après-midi sur la scène « Jazz Mix » ? Au-delà de ces questions de chiffres, la diversité des scènes et leur accessibilité permet de penser que le(s) jazz(s) y gagnent en audience, et se donnent à voir et à entendre comme des musiques très aisément écoutables, loin de la réputation d’élitisme qu’on leur fait, et loin également de cette autre forme de sélection qu’est le prix excessif des places. Donc, belle plaisance et belle présence du jazz font bon ménage, ce que nous montrons aujourd’hui par quelques images.
Aujourd’hui Rubatong donc à 18.00 (Scène Jazz Mix), Papanosh à 14.30 (Scène Sully), le trio Reis-Demuth-Wiltgen qu’on présente comme le successeur inventif d’EST (16.30 scène Sully), Anne Paceo avec les enfants (16.30 scène Souris Verte), Nicolas Folmer & Daniel Humair Project (Scène Sully 19.30), et pour finir en beauté Sandra Nkaké (21.00 scène nautique Ceineray). Pas mal non ?
Philippe Méziat
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C’est à bord d’une toue cabanée de la meilleure provenance, conduite d’une main sûre par Yann, que nous remontons samedi vers 16.30 la cohorte des bateaux qui vont se diriger vers le fond de l’Erdre, là où est posée la scène nautique. Cette régate un peu particulière regroupe chaque année les bateaux les plus divers, en provenance de notre hexagone mais aussi parfois au-delà, et donne aux abords de la petite rivière parfaitement navigable un air de fête populaire tout à fait réjouissant. La musique accompagne depuis longtemps cet évènement de la fin du mois d’août, et depuis une huitaine d’années c’est Armand Meignan qui est chargé de lui donner sa partition musicale, sur le thème du jazz, décliné sous toutes ses formes. L’accès aux bords de l’Erdre est totalement gratuit, et les commerces provisoires installés sur les quais sont tenus par des associations, et pratiquent des tarifs très accessibles.
Voilà de quoi réunir plus de 150.000 personnes en trois jours, et faire de ces « Rendez-vous » un peu particuliers l’un des festivals de jazz les plus importants de France, et en tous cas le plus accessible : où est-il possible d’assister gratuitement, dans de bonnes conditions, à des concerts de Michel Portal, Médéric Collignon, Aldo Romano, Daniel Humair, Anne Paceo, Romane, ou encore de Rubatong qu’on attend cet après-midi sur la scène « Jazz Mix » ? Au-delà de ces questions de chiffres, la diversité des scènes et leur accessibilité permet de penser que le(s) jazz(s) y gagnent en audience, et se donnent à voir et à entendre comme des musiques très aisément écoutables, loin de la réputation d’élitisme qu’on leur fait, et loin également de cette autre forme de sélection qu’est le prix excessif des places. Donc, belle plaisance et belle présence du jazz font bon ménage, ce que nous montrons aujourd’hui par quelques images.
Aujourd’hui Rubatong donc à 18.00 (Scène Jazz Mix), Papanosh à 14.30 (Scène Sully), le trio Reis-Demuth-Wiltgen qu’on présente comme le successeur inventif d’EST (16.30 scène Sully), Anne Paceo avec les enfants (16.30 scène Souris Verte), Nicolas Folmer & Daniel Humair Project (Scène Sully 19.30), et pour finir en beauté Sandra Nkaké (21.00 scène nautique Ceineray). Pas mal non ?
Philippe Méziat
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C’est à bord d’une toue cabanée de la meilleure provenance, conduite d’une main sûre par Yann, que nous remontons samedi vers 16.30 la cohorte des bateaux qui vont se diriger vers le fond de l’Erdre, là où est posée la scène nautique. Cette régate un peu particulière regroupe chaque année les bateaux les plus divers, en provenance de notre hexagone mais aussi parfois au-delà, et donne aux abords de la petite rivière parfaitement navigable un air de fête populaire tout à fait réjouissant. La musique accompagne depuis longtemps cet évènement de la fin du mois d’août, et depuis une huitaine d’années c’est Armand Meignan qui est chargé de lui donner sa partition musicale, sur le thème du jazz, décliné sous toutes ses formes. L’accès aux bords de l’Erdre est totalement gratuit, et les commerces provisoires installés sur les quais sont tenus par des associations, et pratiquent des tarifs très accessibles.
Voilà de quoi réunir plus de 150.000 personnes en trois jours, et faire de ces « Rendez-vous » un peu particuliers l’un des festivals de jazz les plus importants de France, et en tous cas le plus accessible : où est-il possible d’assister gratuitement, dans de bonnes conditions, à des concerts de Michel Portal, Médéric Collignon, Aldo Romano, Daniel Humair, Anne Paceo, Romane, ou encore de Rubatong qu’on attend cet après-midi sur la scène « Jazz Mix » ? Au-delà de ces questions de chiffres, la diversité des scènes et leur accessibilité permet de penser que le(s) jazz(s) y gagnent en audience, et se donnent à voir et à entendre comme des musiques très aisément écoutables, loin de la réputation d’élitisme qu’on leur fait, et loin également de cette autre forme de sélection qu’est le prix excessif des places. Donc, belle plaisance et belle présence du jazz font bon ménage, ce que nous montrons aujourd’hui par quelques images.
Aujourd’hui Rubatong donc à 18.00 (Scène Jazz Mix), Papanosh à 14.30 (Scène Sully), le trio Reis-Demuth-Wiltgen qu’on présente comme le successeur inventif d’EST (16.30 scène Sully), Anne Paceo avec les enfants (16.30 scène Souris Verte), Nicolas Folmer & Daniel Humair Project (Scène Sully 19.30), et pour finir en beauté Sandra Nkaké (21.00 scène nautique Ceineray). Pas mal non ?
Philippe Méziat
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C’est à bord d’une toue cabanée de la meilleure provenance, conduite d’une main sûre par Yann, que nous remontons samedi vers 16.30 la cohorte des bateaux qui vont se diriger vers le fond de l’Erdre, là où est posée la scène nautique. Cette régate un peu particulière regroupe chaque année les bateaux les plus divers, en provenance de notre hexagone mais aussi parfois au-delà, et donne aux abords de la petite rivière parfaitement navigable un air de fête populaire tout à fait réjouissant. La musique accompagne depuis longtemps cet évènement de la fin du mois d’août, et depuis une huitaine d’années c’est Armand Meignan qui est chargé de lui donner sa partition musicale, sur le thème du jazz, décliné sous toutes ses formes. L’accès aux bords de l’Erdre est totalement gratuit, et les commerces provisoires installés sur les quais sont tenus par des associations, et pratiquent des tarifs très accessibles.
Voilà de quoi réunir plus de 150.000 personnes en trois jours, et faire de ces « Rendez-vous » un peu particuliers l’un des festivals de jazz les plus importants de France, et en tous cas le plus accessible : où est-il possible d’assister gratuitement, dans de bonnes conditions, à des concerts de Michel Portal, Médéric Collignon, Aldo Romano, Daniel Humair, Anne Paceo, Romane, ou encore de Rubatong qu’on attend cet après-midi sur la scène « Jazz Mix » ? Au-delà de ces questions de chiffres, la diversité des scènes et leur accessibilité permet de penser que le(s) jazz(s) y gagnent en audience, et se donnent à voir et à entendre comme des musiques très aisément écoutables, loin de la réputation d’élitisme qu’on leur fait, et loin également de cette autre forme de sélection qu’est le prix excessif des places. Donc, belle plaisance et belle présence du jazz font bon ménage, ce que nous montrons aujourd’hui par quelques images.
Aujourd’hui Rubatong donc à 18.00 (Scène Jazz Mix), Papanosh à 14.30 (Scène Sully), le trio Reis-Demuth-Wiltgen qu’on présente comme le successeur inventif d’EST (16.30 scène Sully), Anne Paceo avec les enfants (16.30 scène Souris Verte), Nicolas Folmer & Daniel Humair Project (Scène Sully 19.30), et pour finir en beauté Sandra Nkaké (21.00 scène nautique Ceineray). Pas mal non ?
Philippe Méziat