Tampere (Finlande), avec Steve Coleman, Tony Allen, Samuel Blaser, Erik Truffaz, Thomas de Pourquery, et beaucoup d'autres.

De façon très exceptionnelle, ce billet n’a d’autre ambition que de vous faire saliver, puis de vous entrainer à Tampere (Finlande), où vous retrouverez tous ces musiciens et beaucoup d’autres dans une ambiance forcément chaleureuse, puisqu’il fait froid dehors (un peu) et chaud dedans (beaucoup).

Hier déjà, le « spotlight » on Estonia a permis d’écouter un saxophoniste dont j’aurais juré qu’il était John Surman lui-même au saxophone basse, ou clarinette contrebasse. Non, il s’appelle Liudas Mokunas, et expédie ses notes graves avec une intensité et une sincérité digne des années fastes. Celles où l’on y croyait. À quoi exactement, là est toute la question.

En tous cas – et la photo qui figure à l’entrée de cette missive finnoise vous le montre explicitement – Tampere s’est doté depuis 2014 d’une tour splendide, au sommet de laquelle on découvre la beauté des paysages lacustres, et les reste somptueux d’une activité industrielle passée (XIX° siècle) dont on a su exploiter l’architecture. Pour en faire des lieux culturels, qui à leur tour en ont appelés d’autres, dont le récent Tampere Hall, qui abrite le Moomin Museum (voir sur le site dédié à cette artiste magnifique et un peu méconnue chez nous), au moins trois auditoriums, et tout ce qu’un lieu voué à l’art et spécialement à la musique peut espérer réunir.

En attendant donc, rendez-vous ce soir avec Steve Coleman, Tony Allen, puis dans un joyeux désordre qui n’est que celui de mon esprit retourné par les Moomin de Tove Jansson (voir et s’enfoncer dans cet univers étrange et pénétrant : https://www.moomin.com/en/), Evan Parker, et avec Samuel Blaser notre ami Benoît Delbecq. Et hop là !

Philippe Méziat|De façon très exceptionnelle, ce billet n’a d’autre ambition que de vous faire saliver, puis de vous entrainer à Tampere (Finlande), où vous retrouverez tous ces musiciens et beaucoup d’autres dans une ambiance forcément chaleureuse, puisqu’il fait froid dehors (un peu) et chaud dedans (beaucoup).

Hier déjà, le « spotlight » on Estonia a permis d’écouter un saxophoniste dont j’aurais juré qu’il était John Surman lui-même au saxophone basse, ou clarinette contrebasse. Non, il s’appelle Liudas Mokunas, et expédie ses notes graves avec une intensité et une sincérité digne des années fastes. Celles où l’on y croyait. À quoi exactement, là est toute la question.

En tous cas – et la photo qui figure à l’entrée de cette missive finnoise vous le montre explicitement – Tampere s’est doté depuis 2014 d’une tour splendide, au sommet de laquelle on découvre la beauté des paysages lacustres, et les reste somptueux d’une activité industrielle passée (XIX° siècle) dont on a su exploiter l’architecture. Pour en faire des lieux culturels, qui à leur tour en ont appelés d’autres, dont le récent Tampere Hall, qui abrite le Moomin Museum (voir sur le site dédié à cette artiste magnifique et un peu méconnue chez nous), au moins trois auditoriums, et tout ce qu’un lieu voué à l’art et spécialement à la musique peut espérer réunir.

En attendant donc, rendez-vous ce soir avec Steve Coleman, Tony Allen, puis dans un joyeux désordre qui n’est que celui de mon esprit retourné par les Moomin de Tove Jansson (voir et s’enfoncer dans cet univers étrange et pénétrant : https://www.moomin.com/en/), Evan Parker, et avec Samuel Blaser notre ami Benoît Delbecq. Et hop là !

Philippe Méziat|De façon très exceptionnelle, ce billet n’a d’autre ambition que de vous faire saliver, puis de vous entrainer à Tampere (Finlande), où vous retrouverez tous ces musiciens et beaucoup d’autres dans une ambiance forcément chaleureuse, puisqu’il fait froid dehors (un peu) et chaud dedans (beaucoup).

Hier déjà, le « spotlight » on Estonia a permis d’écouter un saxophoniste dont j’aurais juré qu’il était John Surman lui-même au saxophone basse, ou clarinette contrebasse. Non, il s’appelle Liudas Mokunas, et expédie ses notes graves avec une intensité et une sincérité digne des années fastes. Celles où l’on y croyait. À quoi exactement, là est toute la question.

En tous cas – et la photo qui figure à l’entrée de cette missive finnoise vous le montre explicitement – Tampere s’est doté depuis 2014 d’une tour splendide, au sommet de laquelle on découvre la beauté des paysages lacustres, et les reste somptueux d’une activité industrielle passée (XIX° siècle) dont on a su exploiter l’architecture. Pour en faire des lieux culturels, qui à leur tour en ont appelés d’autres, dont le récent Tampere Hall, qui abrite le Moomin Museum (voir sur le site dédié à cette artiste magnifique et un peu méconnue chez nous), au moins trois auditoriums, et tout ce qu’un lieu voué à l’art et spécialement à la musique peut espérer réunir.

En attendant donc, rendez-vous ce soir avec Steve Coleman, Tony Allen, puis dans un joyeux désordre qui n’est que celui de mon esprit retourné par les Moomin de Tove Jansson (voir et s’enfoncer dans cet univers étrange et pénétrant : https://www.moomin.com/en/), Evan Parker, et avec Samuel Blaser notre ami Benoît Delbecq. Et hop là !

Philippe Méziat|De façon très exceptionnelle, ce billet n’a d’autre ambition que de vous faire saliver, puis de vous entrainer à Tampere (Finlande), où vous retrouverez tous ces musiciens et beaucoup d’autres dans une ambiance forcément chaleureuse, puisqu’il fait froid dehors (un peu) et chaud dedans (beaucoup).

Hier déjà, le « spotlight » on Estonia a permis d’écouter un saxophoniste dont j’aurais juré qu’il était John Surman lui-même au saxophone basse, ou clarinette contrebasse. Non, il s’appelle Liudas Mokunas, et expédie ses notes graves avec une intensité et une sincérité digne des années fastes. Celles où l’on y croyait. À quoi exactement, là est toute la question.

En tous cas – et la photo qui figure à l’entrée de cette missive finnoise vous le montre explicitement – Tampere s’est doté depuis 2014 d’une tour splendide, au sommet de laquelle on découvre la beauté des paysages lacustres, et les reste somptueux d’une activité industrielle passée (XIX° siècle) dont on a su exploiter l’architecture. Pour en faire des lieux culturels, qui à leur tour en ont appelés d’autres, dont le récent Tampere Hall, qui abrite le Moomin Museum (voir sur le site dédié à cette artiste magnifique et un peu méconnue chez nous), au moins trois auditoriums, et tout ce qu’un lieu voué à l’art et spécialement à la musique peut espérer réunir.

En attendant donc, rendez-vous ce soir avec Steve Coleman, Tony Allen, puis dans un joyeux désordre qui n’est que celui de mon esprit retourné par les Moomin de Tove Jansson (voir et s’enfoncer dans cet univers étrange et pénétrant : https://www.moomin.com/en/), Evan Parker, et avec Samuel Blaser notre ami Benoît Delbecq. Et hop là !

Philippe Méziat