Tony Tixier enchante le Duc
Hier soir, 24 novembre, le pianiste Tony Tixier célébrait la sortie de son disque en trio, « Life of Sensitive Creatures », à paraître le 8 décembre sous label Whirlwind. La célébration se poursuit ce soir 25 novembre. En deux mots : allez-y. Et en cinq : vous ne serez pas déçus.
Le disque fut enregistré à New York, en avril 2016, avec Karl McComas-Reichl (contrebasse) et Tommy Crane (batterie). Hier et ce soir, McComas est à bien à la basse (« il veut s’installer à Paris, il adore le vin rouge… » explique Tony Tixier au public, s’amusant de ce que son compère ne comprend rien et qu’il lui reste à apprendre la langue), mais c’est son vieil ami Guilhem Flouzat qui est à la batterie. Et demain, ce sera son batteur habituel lorsqu’il joue en France, Gautier Garrigue.
J’arrive alors que le premier set est bien entamé et que le trio entame un AABA de Monk sur lequel j’essaie vainement de mettre un titre et dont il reminéralise à sa manière les angularités… Il y aura des originalités propice à l’évasion avec en exposé de très belles lignes de basse doublée piano-contrebasse, un emprunt à Stevie Wonder (Isn’t She Lovely) que l’on retrouvera sur le disque (où il nous surprendra beaucoup plus encore avec une reprise de Tight Like This de Louis Armstrong que j’écoute en rédigeant cette notule de concert) au cours d’un deuxième set totalement débridé. Je n’en dis pas plus, appelé par d’autres devoirs. Le disque sera dans les bacs le 8 décembre et comme il m’a été remis hier, vous en lirez la chronique sous ma plume ou une autre dans notre numéro de février (notre numéro double décembre-janvier étant déjà imprimé et en route vers les abonnés et les kiosque où on le trouvera le 30 novembre). D’ici là, filez écoutez Tony Tixier dès ce soir. Et si vous êtes plus audacieux que moi hier, restez à la jam after hours d’après concert hier animée par le contrebassiste Géraud Portal (j’y ai vu Boris Blanchet préparer ses anches alors que je filais attraper la dernière diligence pour la banlieue) et ce soir par le saxophoniste Jon Boutellier (et, au Duc, c’est comme ça tous les week-end!). • Franck Bergerot|Hier soir, 24 novembre, le pianiste Tony Tixier célébrait la sortie de son disque en trio, « Life of Sensitive Creatures », à paraître le 8 décembre sous label Whirlwind. La célébration se poursuit ce soir 25 novembre. En deux mots : allez-y. Et en cinq : vous ne serez pas déçus.
Le disque fut enregistré à New York, en avril 2016, avec Karl McComas-Reichl (contrebasse) et Tommy Crane (batterie). Hier et ce soir, McComas est à bien à la basse (« il veut s’installer à Paris, il adore le vin rouge… » explique Tony Tixier au public, s’amusant de ce que son compère ne comprend rien et qu’il lui reste à apprendre la langue), mais c’est son vieil ami Guilhem Flouzat qui est à la batterie. Et demain, ce sera son batteur habituel lorsqu’il joue en France, Gautier Garrigue.
J’arrive alors que le premier set est bien entamé et que le trio entame un AABA de Monk sur lequel j’essaie vainement de mettre un titre et dont il reminéralise à sa manière les angularités… Il y aura des originalités propice à l’évasion avec en exposé de très belles lignes de basse doublée piano-contrebasse, un emprunt à Stevie Wonder (Isn’t She Lovely) que l’on retrouvera sur le disque (où il nous surprendra beaucoup plus encore avec une reprise de Tight Like This de Louis Armstrong que j’écoute en rédigeant cette notule de concert) au cours d’un deuxième set totalement débridé. Je n’en dis pas plus, appelé par d’autres devoirs. Le disque sera dans les bacs le 8 décembre et comme il m’a été remis hier, vous en lirez la chronique sous ma plume ou une autre dans notre numéro de février (notre numéro double décembre-janvier étant déjà imprimé et en route vers les abonnés et les kiosque où on le trouvera le 30 novembre). D’ici là, filez écoutez Tony Tixier dès ce soir. Et si vous êtes plus audacieux que moi hier, restez à la jam after hours d’après concert hier animée par le contrebassiste Géraud Portal (j’y ai vu Boris Blanchet préparer ses anches alors que je filais attraper la dernière diligence pour la banlieue) et ce soir par le saxophoniste Jon Boutellier (et, au Duc, c’est comme ça tous les week-end!). • Franck Bergerot|Hier soir, 24 novembre, le pianiste Tony Tixier célébrait la sortie de son disque en trio, « Life of Sensitive Creatures », à paraître le 8 décembre sous label Whirlwind. La célébration se poursuit ce soir 25 novembre. En deux mots : allez-y. Et en cinq : vous ne serez pas déçus.
Le disque fut enregistré à New York, en avril 2016, avec Karl McComas-Reichl (contrebasse) et Tommy Crane (batterie). Hier et ce soir, McComas est à bien à la basse (« il veut s’installer à Paris, il adore le vin rouge… » explique Tony Tixier au public, s’amusant de ce que son compère ne comprend rien et qu’il lui reste à apprendre la langue), mais c’est son vieil ami Guilhem Flouzat qui est à la batterie. Et demain, ce sera son batteur habituel lorsqu’il joue en France, Gautier Garrigue.
J’arrive alors que le premier set est bien entamé et que le trio entame un AABA de Monk sur lequel j’essaie vainement de mettre un titre et dont il reminéralise à sa manière les angularités… Il y aura des originalités propice à l’évasion avec en exposé de très belles lignes de basse doublée piano-contrebasse, un emprunt à Stevie Wonder (Isn’t She Lovely) que l’on retrouvera sur le disque (où il nous surprendra beaucoup plus encore avec une reprise de Tight Like This de Louis Armstrong que j’écoute en rédigeant cette notule de concert) au cours d’un deuxième set totalement débridé. Je n’en dis pas plus, appelé par d’autres devoirs. Le disque sera dans les bacs le 8 décembre et comme il m’a été remis hier, vous en lirez la chronique sous ma plume ou une autre dans notre numéro de février (notre numéro double décembre-janvier étant déjà imprimé et en route vers les abonnés et les kiosque où on le trouvera le 30 novembre). D’ici là, filez écoutez Tony Tixier dès ce soir. Et si vous êtes plus audacieux que moi hier, restez à la jam after hours d’après concert hier animée par le contrebassiste Géraud Portal (j’y ai vu Boris Blanchet préparer ses anches alors que je filais attraper la dernière diligence pour la banlieue) et ce soir par le saxophoniste Jon Boutellier (et, au Duc, c’est comme ça tous les week-end!). • Franck Bergerot|Hier soir, 24 novembre, le pianiste Tony Tixier célébrait la sortie de son disque en trio, « Life of Sensitive Creatures », à paraître le 8 décembre sous label Whirlwind. La célébration se poursuit ce soir 25 novembre. En deux mots : allez-y. Et en cinq : vous ne serez pas déçus.
Le disque fut enregistré à New York, en avril 2016, avec Karl McComas-Reichl (contrebasse) et Tommy Crane (batterie). Hier et ce soir, McComas est à bien à la basse (« il veut s’installer à Paris, il adore le vin rouge… » explique Tony Tixier au public, s’amusant de ce que son compère ne comprend rien et qu’il lui reste à apprendre la langue), mais c’est son vieil ami Guilhem Flouzat qui est à la batterie. Et demain, ce sera son batteur habituel lorsqu’il joue en France, Gautier Garrigue.
J’arrive alors que le premier set est bien entamé et que le trio entame un AABA de Monk sur lequel j’essaie vainement de mettre un titre et dont il reminéralise à sa manière les angularités… Il y aura des originalités propice à l’évasion avec en exposé de très belles lignes de basse doublée piano-contrebasse, un emprunt à Stevie Wonder (Isn’t She Lovely) que l’on retrouvera sur le disque (où il nous surprendra beaucoup plus encore avec une reprise de Tight Like This de Louis Armstrong que j’écoute en rédigeant cette notule de concert) au cours d’un deuxième set totalement débridé. Je n’en dis pas plus, appelé par d’autres devoirs. Le disque sera dans les bacs le 8 décembre et comme il m’a été remis hier, vous en lirez la chronique sous ma plume ou une autre dans notre numéro de février (notre numéro double décembre-janvier étant déjà imprimé et en route vers les abonnés et les kiosque où on le trouvera le 30 novembre). D’ici là, filez écoutez Tony Tixier dès ce soir. Et si vous êtes plus audacieux que moi hier, restez à la jam after hours d’après concert hier animée par le contrebassiste Géraud Portal (j’y ai vu Boris Blanchet préparer ses anches alors que je filais attraper la dernière diligence pour la banlieue) et ce soir par le saxophoniste Jon Boutellier (et, au Duc, c’est comme ça tous les week-end!). • Franck Bergerot