Une minute de silence Place de la République à 18h
Charlie-Hebdo : c’est la liberté d’expression qu’on assassine
Il n’y a pas de mot assez fort pour exprimer aujourd’hui la tristesse et la colère de la profession. Le massacre perpétré contre la rédaction de « Charlie-Hebdo » est une horreur qui nous frappe toutes et tous. Quand on tue des journalistes, c’est pour faire peur à toute une profession, c’est pour faire taire. Attaquer un journal, c’est vouloir museler la liberté d’expression dans une démocratie.
Le fait que ce soit Charlie-Hebdo qui ait été visé est un symbole important. C’est la liberté d’expression qu’on assassine. Le Syndicat National des Journalistes (SNJ), première organisation de la profession, tient à assurer « Charlie-Hebdo » de tout son soutien en ce moment particulièrement cruel. Il tient à assurer les familles de toutes les victimes de cette attaque de toute sa solidarité.
Le SNJ rappelle que, depuis l’été 2014, pas moins de 5 journalistes sont directement menacés de mort pour des articles publiés sur des sujets divers. Hier encore, mardi 6 janvier 2015, un de nos confrères du Monde à reçu une quatrième menace de mort. Le SNJ demande un rendez-vous au Ministre de l’Intérieur pour avoir connaissance de l’état de l’enquête sur l’attentat commis contre « Charlie Hebdo » ce terrible mercredi 7 janvier et des autres enquêtes concernant tous les journalistes menacés.
Le SNJ appelle toutes les rédactions à observer une minute de silence, et à un rassemblement citoyen à 18 heures près du siège de Charlie-Hebdo, place de la République à Paris.
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Charlie-Hebdo : c’est la liberté d’expression qu’on assassine
Il n’y a pas de mot assez fort pour exprimer aujourd’hui la tristesse et la colère de la profession. Le massacre perpétré contre la rédaction de « Charlie-Hebdo » est une horreur qui nous frappe toutes et tous. Quand on tue des journalistes, c’est pour faire peur à toute une profession, c’est pour faire taire. Attaquer un journal, c’est vouloir museler la liberté d’expression dans une démocratie.
Le fait que ce soit Charlie-Hebdo qui ait été visé est un symbole important. C’est la liberté d’expression qu’on assassine. Le Syndicat National des Journalistes (SNJ), première organisation de la profession, tient à assurer « Charlie-Hebdo » de tout son soutien en ce moment particulièrement cruel. Il tient à assurer les familles de toutes les victimes de cette attaque de toute sa solidarité.
Le SNJ rappelle que, depuis l’été 2014, pas moins de 5 journalistes sont directement menacés de mort pour des articles publiés sur des sujets divers. Hier encore, mardi 6 janvier 2015, un de nos confrères du Monde à reçu une quatrième menace de mort. Le SNJ demande un rendez-vous au Ministre de l’Intérieur pour avoir connaissance de l’état de l’enquête sur l’attentat commis contre « Charlie Hebdo » ce terrible mercredi 7 janvier et des autres enquêtes concernant tous les journalistes menacés.
Le SNJ appelle toutes les rédactions à observer une minute de silence, et à un rassemblement citoyen à 18 heures près du siège de Charlie-Hebdo, place de la République à Paris.
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Charlie-Hebdo : c’est la liberté d’expression qu’on assassine
Il n’y a pas de mot assez fort pour exprimer aujourd’hui la tristesse et la colère de la profession. Le massacre perpétré contre la rédaction de « Charlie-Hebdo » est une horreur qui nous frappe toutes et tous. Quand on tue des journalistes, c’est pour faire peur à toute une profession, c’est pour faire taire. Attaquer un journal, c’est vouloir museler la liberté d’expression dans une démocratie.
Le fait que ce soit Charlie-Hebdo qui ait été visé est un symbole important. C’est la liberté d’expression qu’on assassine. Le Syndicat National des Journalistes (SNJ), première organisation de la profession, tient à assurer « Charlie-Hebdo » de tout son soutien en ce moment particulièrement cruel. Il tient à assurer les familles de toutes les victimes de cette attaque de toute sa solidarité.
Le SNJ rappelle que, depuis l’été 2014, pas moins de 5 journalistes sont directement menacés de mort pour des articles publiés sur des sujets divers. Hier encore, mardi 6 janvier 2015, un de nos confrères du Monde à reçu une quatrième menace de mort. Le SNJ demande un rendez-vous au Ministre de l’Intérieur pour avoir connaissance de l’état de l’enquête sur l’attentat commis contre « Charlie Hebdo » ce terrible mercredi 7 janvier et des autres enquêtes concernant tous les journalistes menacés.
Le SNJ appelle toutes les rédactions à observer une minute de silence, et à un rassemblement citoyen à 18 heures près du siège de Charlie-Hebdo, place de la République à Paris.
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Charlie-Hebdo : c’est la liberté d’expression qu’on assassine
Il n’y a pas de mot assez fort pour exprimer aujourd’hui la tristesse et la colère de la profession. Le massacre perpétré contre la rédaction de « Charlie-Hebdo » est une horreur qui nous frappe toutes et tous. Quand on tue des journalistes, c’est pour faire peur à toute une profession, c’est pour faire taire. Attaquer un journal, c’est vouloir museler la liberté d’expression dans une démocratie.
Le fait que ce soit Charlie-Hebdo qui ait été visé est un symbole important. C’est la liberté d’expression qu’on assassine. Le Syndicat National des Journalistes (SNJ), première organisation de la profession, tient à assurer « Charlie-Hebdo » de tout son soutien en ce moment particulièrement cruel. Il tient à assurer les familles de toutes les victimes de cette attaque de toute sa solidarité.
Le SNJ rappelle que, depuis l’été 2014, pas moins de 5 journalistes sont directement menacés de mort pour des articles publiés sur des sujets divers. Hier encore, mardi 6 janvier 2015, un de nos confrères du Monde à reçu une quatrième menace de mort. Le SNJ demande un rendez-vous au Ministre de l’Intérieur pour avoir connaissance de l’état de l’enquête sur l’attentat commis contre « Charlie Hebdo » ce terrible mercredi 7 janvier et des autres enquêtes concernant tous les journalistes menacés.
Le SNJ appelle toutes les rédactions à observer une minute de silence, et à un rassemblement citoyen à 18 heures près du siège de Charlie-Hebdo, place de la République à Paris.