Yoann Loustalot fait tomber des flocons sur le Sunside
Mardi soir, le trio de Yoann Loustalot a joué quelques morceaux issus de son disque « Pièces en forme de flocons », Choc de Jazz magazine 2015, qui ressort fort opportunément sur le label Bruit Chic.
Yoann Loustalot (trompette et bugle), François Chesnel (piano), Antoine Paganotti (batterie)
La musique jouée par le trio donne une sensation d’espace. La musique est dépouillée, ouverte, offrant aux solistes de belles terres vierges à explorer pour leurs improvisations. La musique est aérée mais pas aride : car les mélodies sont très lyriques. De cette belle soirée au Sunside, je retiens notamment deux très beaux moments: l’introduction pleine de méandres de François Chesnel sur Barrages, une de ses compositions, , et le dernier morceau, Doloroso, avec cette mélodie si lyrique, si épurée qui vient naturellement se poser sur l’improvisation des solistes. Le son de trompette de Loustalot, avec cette chrysalide de souffle qui enveloppe le son, est parfait pour suggérer la fragilité et les tourments de l’âme. Ce soir-là, aucune de ses notes ne paraissait s’écarter de l’essentiel.
JF Mondot|
Mardi soir, le trio de Yoann Loustalot a joué quelques morceaux issus de son disque « Pièces en forme de flocons », Choc de Jazz magazine 2015, qui ressort fort opportunément sur le label Bruit Chic.
Yoann Loustalot (trompette et bugle), François Chesnel (piano), Antoine Paganotti (batterie)
La musique jouée par le trio donne une sensation d’espace. La musique est dépouillée, ouverte, offrant aux solistes de belles terres vierges à explorer pour leurs improvisations. La musique est aérée mais pas aride : car les mélodies sont très lyriques. De cette belle soirée au Sunside, je retiens notamment deux très beaux moments: l’introduction pleine de méandres de François Chesnel sur Barrages, une de ses compositions, , et le dernier morceau, Doloroso, avec cette mélodie si lyrique, si épurée qui vient naturellement se poser sur l’improvisation des solistes. Le son de trompette de Loustalot, avec cette chrysalide de souffle qui enveloppe le son, est parfait pour suggérer la fragilité et les tourments de l’âme. Ce soir-là, aucune de ses notes ne paraissait s’écarter de l’essentiel.
JF Mondot|
Mardi soir, le trio de Yoann Loustalot a joué quelques morceaux issus de son disque « Pièces en forme de flocons », Choc de Jazz magazine 2015, qui ressort fort opportunément sur le label Bruit Chic.
Yoann Loustalot (trompette et bugle), François Chesnel (piano), Antoine Paganotti (batterie)
La musique jouée par le trio donne une sensation d’espace. La musique est dépouillée, ouverte, offrant aux solistes de belles terres vierges à explorer pour leurs improvisations. La musique est aérée mais pas aride : car les mélodies sont très lyriques. De cette belle soirée au Sunside, je retiens notamment deux très beaux moments: l’introduction pleine de méandres de François Chesnel sur Barrages, une de ses compositions, , et le dernier morceau, Doloroso, avec cette mélodie si lyrique, si épurée qui vient naturellement se poser sur l’improvisation des solistes. Le son de trompette de Loustalot, avec cette chrysalide de souffle qui enveloppe le son, est parfait pour suggérer la fragilité et les tourments de l’âme. Ce soir-là, aucune de ses notes ne paraissait s’écarter de l’essentiel.
JF Mondot|
Mardi soir, le trio de Yoann Loustalot a joué quelques morceaux issus de son disque « Pièces en forme de flocons », Choc de Jazz magazine 2015, qui ressort fort opportunément sur le label Bruit Chic.
Yoann Loustalot (trompette et bugle), François Chesnel (piano), Antoine Paganotti (batterie)
La musique jouée par le trio donne une sensation d’espace. La musique est dépouillée, ouverte, offrant aux solistes de belles terres vierges à explorer pour leurs improvisations. La musique est aérée mais pas aride : car les mélodies sont très lyriques. De cette belle soirée au Sunside, je retiens notamment deux très beaux moments: l’introduction pleine de méandres de François Chesnel sur Barrages, une de ses compositions, , et le dernier morceau, Doloroso, avec cette mélodie si lyrique, si épurée qui vient naturellement se poser sur l’improvisation des solistes. Le son de trompette de Loustalot, avec cette chrysalide de souffle qui enveloppe le son, est parfait pour suggérer la fragilité et les tourments de l’âme. Ce soir-là, aucune de ses notes ne paraissait s’écarter de l’essentiel.
JF Mondot